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| It's never end - WINNI-FRED | |
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Invité
| Sujet: It's never end - WINNI-FRED Ven 10 Déc - 20:05 | |
| & Take my hand show me the way we are the children that fell from graceJe me réveille en sursaut, le visage noyé d'eau. Des hurlements fantomatique résonnent en accusation extatique. Son corps blafard de poupée ensanglantée toujours aussi mortellement prise entre les phares. Tremblant sur mon lit, les mains plaqués sur mes oreilles en une lâche tentative d'oublie. Petit enfant terrorisé, je concentre toute mon attention à ne pas zapper de respirer. Souffle saccadé, saccagé d'un cerceuil mal enterré. À côté de mon corps replié, une nymphe mieilleuse se réveille me questionnant car, ça n'a pas l'aire d'aller. « Non, t'es encore là, pire tu m'causes. - Elle tente de poser sa mains aux ongles courts dépourvue de vernis sur mon bras. Je me retire immédiatement et le repousse hors dut lit. Le matin on me touche pas. Son visage devient harpie. « Sale con va ! Tu peux te foutre ta putain d'histoire de réincarnation au c... - « Tu as crue que tu pouvais être elle ?! Ridicule.. - « Qu'est c'que tu veux dire par là ? - Visage tiqué, vexée là il m'insupporterait presque jusqu'à la frapper. À la place je me contente de lui balancer son string avec dédain et rage mêlé. « Que t'es navrante, aller casse toi tu m'bouffes mon aire. - Ses allures de damoiselle fragile volent en éclats, elle deviens terrible sorcière. N'ayant point peur de son courroux je me relève d'un bon. Et sa jolie robe d'hier devenue au matin bien vulgaire en main, je chope la miss par la bras la trainant sans ménagement jusqu'au salon. Là-bas je ne lui laisse pas non plus le temps de protester. « Sape toi et dégage j'ai pas envie de me foutre trop après ta peau. - Mon aura peu amène semble la dissuader de tenter toute réclamation, aussi s'empresse-t-elle d'enfiler des fringues et de filer.
Les gens de mon espèce ne sont pas si rare mais dangereux. Notre colère prète à éclater n'étant plus contenue par aucun dieu. Sa déesse. Putain d'traitresse. La bouloir électrique enclenchée je me contente d'enfiler un jean et un pull troué avant d'entendre le doux chant de l'ébullition. Tasse et sachet de thé, l'eau brulante ajoutait et le traitement est là pour me calmer. Remarquant après coup que mon pull est aussi tâché, soupirant je vais me changer. Mon cauchemar de fin de nuit me poursuit. Je traine derrière moi un boulet en forme de cimetière. Les cours me paraissent comme la perspective d'un long hiver. J'traine les pieds comme un condamné. Un cadavre me pointant du doigts comme un obsédant damné. Pour le chasser j'opte pour la nicotine en bâtonné. L'allumant avec délectation je rejète dans le froid matinal de passif nuage de fumée. Pas de musique, pas de notes aux souvenirs qu'on dés-ensevelie. Du coup j'entend les ragots qui glissent sur le chemin, venant des bouches avides des lycéens. Une parole e particulier courir sur toutes les lèvres : le menteur de l'année à ré-intégrer la lycée. Winni-fred, prénom que je capte sans pouvoir mettre de nom dessus. On m'en a vaguement parlé quand j'avais cesser de sécher pour moi aussi revenir dans l'établissement. Un fou, un transsexuel pas assumer se défilant en mentant. Personnellement qu'un gamin se prenne pour une demoiselle ça ne me fait rien, peut-être a-t-il raison, son âme est de nature féminine ? Je n'en sais foutre rien je ne le connais pas, alors tu sais quoi, devine. Bah je me contente tranquille de mon merdique sort. Suffisamment d'emmerdeur avec mon propre esprit et corps. Ma clope se finie alors on arrête le rumeurs comme p'tit-déj. On file s'enfermer dans une sale puante jusqu'à qu'il neige.
Au coin de la rue, même pas 5oo mètres du lycée, une fille ou bien un mec j'ne suis pas, semblé totalement pétrifié. J'approche par pure curiosité. Cheveux court mais visage fin, pas de seins. Une lesbienne ? Une garçon stressé ? Un androgyne bon à violé ? Délicieuse hésitation mais c'est son regard bleus apeuré qui me fait totalement me stoppé. Restant à moins d'un mètre de lui, sans aucune animosité je lui souris.
NAFA - Hey, ça va pas ? T'as pas l'air bien, je peux t'aider ?
Nafanail ou rois de la question con pour le coup. J't'assure beauté au sexe indistinct je ne suis pas, trop, fou. |
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| Sujet: Re: It's never end - WINNI-FRED Mar 14 Déc - 22:18 | |
| Le jeune inconnu a caressé la main que j’avais posée sur son épaule. - Quelle barbe que tu sois si raisonnable… - J’aimerais te… Il m’a fermé les lèvres d’un petit baiser. - Tais-toi, tu veux ? Je me suis tût. Je me contentais de le dévisager d’un air surpris enfantin. Le simple fait qu’il me considérât comme une femme suffisait à faire chavirer mon cœur. Il ne fallait surtout pas qu’il sache. Il s’est redressé et m’a annoncé qu’il allait marcher un peu. - Je peux venir ? - Je crois que je vais faire ça en solo, si tu veux bien. Et il s’est éloigné. J’ai eu l’idée de lui courir après, de l’enlacer, de bredouiller quelques explications confuses sur ce que ma vie avait déjà de compliqué, de l’embrasser encore, de… biip biip biip.
Je me réveille en sursaut et me saisis immédiatement du réveil d’une main tremblante avant de le balancer à l’autre bout de la pièce, comme je l’ai déjà fait plus d’une fois depuis mon arrivée en famille d’accueil. Cette odieuse machine a semble-t-il le don de toujours sonner au mauvais moment. Je me prends la tête entre les mains, tentant vainement de rassembler les souvenirs de la soirée passée avant d’avoir sombré dans ce sommeil éthylique, pour la énième nuit consécutive… Effort inutile. Néant total. Je me redresse et entreprend alors de me lever, me rendant compte qu’une migraine terrible m’étreint les tempes comme dans un étau. Direction salle de bain : cachet d’aspirine, eau gazeuse. Tandis que le breuvage pétille dans ma gorge, des bribes de la soirée viennent occuper l’espace vacant qui fut un jour mon cerveau. J’étais d’abord seule. Encore une fois j’avais renoncé à m’habiller en homme. Il y avait eu plusieurs inconnus, un en particulier… Puis plus rien. J’entre sous la douche. La tiédeur de l’eau a pour effet de me relaxer partiellement et je peux sentir le brouillard dans mon crâne s’estomper quelque peu. Ouah. Merci Aspirine ! Elle qui d'ailleurs est très proche par sa composition chimique du LSD, pourquoi nous retire-t-elle notre mal de tête alors que l'autre nous remplit la tête de fleurs ? Soudain, je suis prise de sueurs froides. C’est aujourd’hui. Comment ais-je pu l’oublier ? Ma réinsertion au lycée est aujourd’hui ! Panique incontrôlée. Je me dirige brusquement jusqu’à mon armoire et l’ouvre en grand. Grimace. Que des fringues d’hommes, à perte de vue. Ils n’ont rien laissé au hasard… Je laisse tomber. De toute façon, j’ai décidé de jouer le jeu. Je prend un jean, une chemise et un pull totalement au hasard et les enfilent hâtivement. Je dévisage le reflet que m’offre le miroir. Image abjecte et honteuse. Je file sans saluer personne, oubliant même mon petit déj’.
Le sac sur le dos, l’esprit angoissé, je me dirige d’un pas mal assuré vers le lycée. Il fait encore nuit et la lumière des réverbères reflètent sur le sol les branches sans feuilles des arbres en des ombres sinistres et inquiétantes. Je croise des élèves en chemin, je n’en reconnais aucun mais tous se taisent sur mon passage, parlant ensuite vivement dans mon dos. Je rougis. Je sais tout ce qu’il doit se dire à mon sujet. J’aimerais pouvoir dire que je m’en fou... J’arrive bientôt à cinq cents mètres du lycée quand j’aperçois une de mes amies. Je lui adresse un signe de la main en souriant timidement. Pour toute réponse elle se détourne de moi. Brusque détresse. Je n’ai plus d’amis, j’ai tendance à l’oublier. Paralysée, je ne peux plus avancer. Je tremble de tous mes membres. Les murmures augmentent, on me scrute de tous côtés. Comme une imbécile je reste clouée, figée. Je suis tétanisée. « Hey, ça va pas ? T'as pas l'air bien, je peux t'aider ? ». Je bondis de surprise. Un jeune homme me souris, bizarrement je ne discerne pas la trace d’une éventuelle moquerie chez lui. Je ne l’avais jamais vu auparavant. Je le contemple encore quelques instants ne me rendant pas tout de suite compte qu’il attend. Je fronce les sourcils. « Les gens veulent tous m’aider. Je n’ai pas besoin d’aide ! ». Je me détourne de lui puis remarque lui avoir parlé un peu brutalement. Je rougis légèrement et me retourne en balbutiant à l’inconnu. Ex-Excuse-moi… ». Je le regarde apeurée comme s’il pouvait représenter pour moi un quelconque danger. « Eh ! Regardez les mecs, c’est Winni-Fred ! ». Des rires moqueurs s’élèvent contre moi, partout on me montre du doigt. En cet instant j’ai tout de la victime expiatoire, du canard boiteux. Je me sais l’objet de la risée générale et sent les larmes me monter aux yeux. Je regarde le jeune homme d’un air suppliant. J’veux pas y aller ! Comme s’il pouvait y changer quelque chose.
Dernière édition par Winni-Fred J. Cree le Sam 18 Déc - 16:03, édité 1 fois |
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| Sujet: Re: It's never end - WINNI-FRED Mer 15 Déc - 16:57 | |
| Je suis poupée de son. Poupée pour pauvre con. Mon âme se laisse balloter dans les remous capricieux. De quoi ? Rien de précisé. Il ne juste pas perdre la foi. Et si j'ai la nuit j'ai trop froid. Il ne me reste qu'à m'en mordre les doigts. Le monde hors de cause. Je suis l'infâme qui n'aurait jamais dut la laisser en pause. Reviens dans mes bras chérie, je souris mais j'en crève. Y'a chaque soir cette machinerie qui t'enlève. Plus rien dans ma cervelle en valise ; en voyage qui s'enlise. Tu n'a jamais été soumise. Mon ange viens on change. On reprend tout à zéro. On efface de tes yeux l'orgueil qui se noyait dans un verre d'eau. Je divague faudrait que je m'en aille. C'est quoi ce regard bleus qui fait que je déraille ? Sa voix à des accents de chose traquée qui me font chavirer. Face à moi une délicatesse froissée, un truc qu'on ne peux pas décemment accepter. Leurs voix sont enrayées d'intolérance glacées.
NAFA - Allez donc vous ailleurs les branleurs, vous voudriez pas vous faire disputer par vos mamans parce que vous êtes en retard ?
Sourire d'enculé qui sais parfaitement qu'il aurons peur de sa seul réputation. Les gamins grandes gueules sous souvent surtout de grands couillons. Qui facilement cris émue un : fuyons. Alors qu'il recule j'attrape la main de ma douce tentation. Viens jouer marionnettiste raté avec une sale poupée de son. L'entrainant jusque dans un café minuscule mais surtout vide je lui tire la chaise. Une heure cher inconnue pour prendre tes aises.
NAFA - Nafanail, tu veux boire quoi ?
Autours de nous comme un cocon d'isolement se mêlent les odeurs de vieux pub anglais et de chauffage pour hiver annoncé. Je retire mon perfecto usé et mon bonnet. Allumant quelques secondes plus tard une cigarette, je sais que le patron fume lui même comme un pompier.
NAFA - J'avais pas envie d'aller m'enterrer dans une salle de classe.
Mon regarde croise le sien, instentannèment je suis destabilisé. Perdu dans se bleus brisé. Je me sens m'y noyer.
NAFA - Tu... Tu avais l'aire de pas aller bien, vraiment. T'es sure que j'peux pas t'aider ?
Impossible de ne rien tenter face à sa fragilité. Un papillon éphémère qui semble savoir ses ailes prochaines brûlées. Sa beauté... Suis-je entrain de rêver ? Je n'ose pas me pincer. Vérifier... |
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Invité
| Sujet: Re: It's never end - WINNI-FRED Sam 18 Déc - 17:08 | |
| L’air est gelé, la journée sombre. Le soleil levant darde ses faibles rayons entre les nimbus, projetant sa lumière blafarde sur les flaques du trottoir. Je frissonne observant d’un œil angoissé les lycéens persifler et user d’un nombre inconsidéré de railleries à mon égard. Je finis par baisser la tête, m’efforçant de garder le regard fixé sur le bitume afin de faire le vide. Je passe en revue tout ce qui se trouve sous mes yeux dans une tentative désespérée de ne plus avoir à penser. Aiguilles de sapins. Ils me détestent, tous. Emballages froissés. Jamais ils n’arrêtent. Pastilles grises de chewing-gum aplati. Mégots de cigarettes. « Allez donc vous ailleurs les branleurs, vous voudriez pas vous faire disputer par vos mamans parce que vous êtes en retard ? ». Je dévisage mon défenseur avec stupéfaction, il se saisit de ma main engourdie et m’entraîne avec lui. Une crainte imprécise me gagne, je ne saurais dire exactement pourquoi. Cependant, l’évanouissement progressif des ricanements et l’éloignement du lycée réussissent à me convaincre de me laisser porter. Je ne prononce pas un seul mot, l’esprit atteint d’une dévorante mélancolie mêlée à quelques appréhensions. Nous voilà bientôt devant un café insignifiant qui ne paie vraiment pas de mine et qui semble être notre destination. Nous entrons. L’endroit est désert, enfumé, avec une musique de fond qui compense par le volume ce qui lui manque en qualité. L'intérieur est tout de même plus grand que je ne l'imaginais de l'extérieur, le bâtiment semble ancien, à plafond plat et poutres apparentes. Il n'y a qu'une petite fenêtre au fond et ça respire l'humidité. Le jeune homme me tire une chaise et je m’assois sans rien dire, jetant des regards à droite et à gauche. Il faut toujours que j'observe tout, c'est plus fort que moi. « Nafanail, tu veux boire quoi ? ». Nafanail. Je le détaille d’un air incertain. Il est jeune et pourtant ses yeux sombres semblent déjà avoir tout vécu. J’évite de le regarder en face et retire ma veste. « De… de l’eau gazeuse ». Ma voix tremble toujours un peu, trainant en notes mouillées. Je ne prends pas la peine de me présenter, mon nom a déjà été scandé. Il sort une cigarette qu’il allume et porte à ses lèvres. « J'avais pas envie d'aller m'enterrer dans une salle de classe. ». Oh moi non plus, devoir affronter tout ceux que j’ai connu, avant, ça me tue rien que d’y penser. Je veux lui dire quelque chose, n’importe quoi, parler, mais les mots restent coincés au fond de ma gorge. Il y a quelque chose qui me gêne chez lui, peut-être sa manière troublante qu’il a de me dévisager. « Tu... Tu avais l'aire de pas aller bien, vraiment. T'es sure que j'peux pas t'aider ? ». Ouah. Je ne sais pas pourquoi j’ai l’impression de le mettre mal à l’aise. Oh, pas que je n’y soit pas habitué, mais le gars semble vraiment perturbé. Peut-être qu’on se connaît ? J’vois pas d’autre raison à ce qu’il me fixe comme ça. Non, impossible. Je n’oublie jamais un visage. Alors comme ça j'avais pas l'air bien ? Tu m'étonnes... J'y pense, j'ai même pas pris un seul de leurs cachets ce matin, c'est peut-être pour ça que je déraille, qui sais... Je lui souris vaguement et répond d'un ton hésitant, gênée par les yeux ardents qu'il fixe sur moi. « Certaine ». Je m'interrompt, serrée tout d'un coup à la gorge, rentrant mes larmes que je sent arrivées. « Personne ne peut… ». Absolument personne, navrée jeune homme… Je n’sais pas pourquoi il tient autant à me venir en aide et même si je compte pas lui demander quoi que ce soit, ça me fait plaisir. Il doit être le seul élève de se fichu lycée à vouloir m’aider, j’veux dire, sincèrement. Enfin j’imagine qu’il est sincère, j’en sais rien, en fait. Un homme arrive la clope au bec et nous commandons nos boissons. Moi j’suis contente car j’en profite pour ne pas avoir à développer sur le sujet. Je garde les yeux baissés laissant un silence s’installer. J’n’aime pas le silence pourtant, ça me stresse. Heureusement qu’il y a cette fichue musique. Je me décide finalement à relever la tête et le fixe du regard, mes yeux se noyant instantanément dans ces galaxies noires. |
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Invité
| Sujet: Re: It's never end - WINNI-FRED Mer 29 Déc - 16:20 | |
| J'ai passé des jour et des nuits à t'attendre, à pleurer ma raison. Revient cette douleur est trop tendre, je vais pas tarder à toucher le fond. Ton regard m'a quitté comme une plaie infectée. Une cicatrice qui ne jamais voudra s'effacer. Un regard brun dans lequel on vois du bleus. Qui peux dire que tu ne faisait pas partie des dieux. À force de croire on fini par n'être plus rien de mieux qu'eux. Arrive-ton à terminé à deux ? Oui, entre quatre planches. Pas mal l'avalanche. Me voilà seul à seul avec un oisillon terrorisé. Je ne les aurais pas laisser encore se moquer. La violence gratuite, surtout celle de l'intolérance, me donne des envies de poison. Un peu d'arsenic avec votre café ? Ça vous apprendra à rigoler. Ne vous a-t-on jamais apprit qu'il fallait tolérer pour vivre en société. Bande de hyènes mal-éduquées. Sa petite voix angoissé me révolte comme un révolutionnaire du siècle dernier. « De… de l’eau gazeuse » Un taffe, j'acquiesce en l'observant sans façon. Si j'en recroise un, pour sure que je fracasse ces cons. Je fume, je me carbonise joyeusement les poumons en me disant que de tout façon, on finira tous sous les ponts. Ou dans un cimetière. Qu'il faudra attendre un meilleur siècle, une meilleur vie avec un peu moin de galère. Me réincarner en gazelle, ou en lion, en libellule, en chat d'appartement bien gras. Tout ça, pourquoi pas. « Certaine… Personne ne peut…» Bien un mystère d'éclaircie, une demoiselle qui tremble comme une souris. « Je t'ai déjà sauvé des griffes de ces idiots, et puis je t'offre aussi de l'eau gazeuse. C'est minim mais c'est déjà deux aides, non ? » Commandant au patron qui nous à rejoins, je me retrouve la seconde d'après prisonnier d'un regard magnifique. Magique. Il calme le stress étrange qui jusque là m'étreignait. Il a le regard farouche des emprisonnés. Des injustement sacrifiés. Ceux qui ne trouvent pas leur liberté. J'ai tellement admiré ces aires de poupées. Allures de fraicheur calcinée. Elle lui ressemble. Je la dévore d'un regard noyé de cendre. Ensemble. Puis je soupire et détour les yeux. Gueulant au patron de baisser son insupportable soupe musical . J'allume une nouvel cigarette et entre mes lèvres la cale. Désillusion interminable. Pourtant, un doute subsiste alors qu'il me dévisage. Nafanail, ça c'est minable. |
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