Cette sotte présomption, d'aller dédaignant et condamnant pour faux ce qui ne nous semble pas vraisemblable.
Je me souviens d'une nuit, où une voix hurlait en moi. Elle me traitait de monstre, elle me traitait d'aveugle, elle me traitait de faible. Elle me disait de l'accompagner, de venir avec elle, qu'elle pouvait me montrer, qu'elle m'apporterait le savoir si je sacrifiais mon corps. Et il y avait cette autre voix, qui pleurait, qui me disait qu'elle ne voulait pas savoir, qu'elle voulait rentrer à la maison, retrouver la famille démantelée, se faire pardonner. Mais il était trop tard, mon corps était trop faible, la première voix avait raison. J'avais sentie son appel depuis tellement d'années, et maintenant que j'étais là, que j'avais atteint mon but, j'avais peur, envie de faire chemin arrière. Il n'y avait rien d'adapté à notre société occidentale, il n'y avait rien de connu, même l'air semblait moins faux. Je suis allé les voir, j'ai répondu à leur invitation. D'autres mondes. Ils m'ont demandé de m'asseoir. Le nom n'avait pas d'importance, ils m'ont juste prévenu que je ne pourrais plus fuir. J'en aurai envie, mais cela me serait impossible. En portant le verre à mes lèvres, je ne savais pas que je m'engageais dans une voyage sans retour. Je me suis retrouvé piégé entre deux mondes, je n'ai plus bougé pendant des mois … et quand le serpent m'a avalé, je suis né, de nouveau. J'avais vu la mort, j'avais vaincu cette peur qu'elle inspirait, j'étais maintenant capable de la transcender. C'était révélé à moi un monde invisible.
Je suis le messie, j'enseigne ce qui doit être su. Si on parvient à se discipliner, on peut percevoir les visions, la connaissance. Dans notre culture, beaucoup de personnes se droguent pour le trip, pour se divertir. Ils peuvent vivre l'expérience, vivre les visions, mais ils n'en retirent rien. Les images sont des clés, des outils, et je suis là pour leur montrer. Ouvrir la porte. Parce que j'ai compris ce que tu n'imagines même pas possible. Parce que mon esprit a dépassé le tiens, que mon âme est immortelle, détachée de mon corps pourrissant. J'ai été avalé par la vie, par le serpent cosmique. Parce que je suis resté des mois à trembler sans la moindre eau, sans la moindre nourriture, pour suivre le rite initiatique. Parce que j'ai été choisi pour être le guide, de ceux que j'avais trop longtemps délaissé. J'ai vu le monde, je l'ai parcouru, j'ai rencontré les peuples et j'ai écouté ce que Gaïa m'a chuchoté. Et je lui ai répondu que j'acceptais, de les mener au savoir. Les occidentaux ne savent pas soigner, les occidentaux ne croient plus en l'esprit, ils ne croient plus en rien. Ils se sont fermés à la parole de l'autre monde. Mais je suis là pour leur montrer. Ils se mettront en cercle autours de moi, ils m'écouteront parler comme si je rependais la parole de leur Dieu. Je soignerai l'héroïnomane, j'aiderai la prostitué à retrouver sa vertu. Ils deviendront mes disciples, parce que je les aiderai, et qu'ils m'aideront en retour.
All long the fucking life road.
Votre vie, vos amours, vos familles ou vos états d'âmes. Ce que l'on veux lire ici c'est vous. Vous et rien d'autre. Pour cela on vous donne carte blanche, liberté absolue. Surprenez-nous, rien ne nous ferais plus plaisir que de vous accepter parmi nous !
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Dernière édition par Ollie L. Namara le Dim 2 Jan - 2:48, édité 4 fois
Invité
Sujet: Re: OLLIE NAMARA ♣ (s)aint Sam 1 Jan - 21:22
ANGLETERRE
Les Benson n'étaient pas mauvais, au contraire, ils étaient sûrement la meilleure famille dans laquelle un orphelin pouvait tomber. Martha et Craig ne pouvait pas avoir d'enfants, et ce n'était pas pour l'argent qu'ils avaient décidé d'adopter. D'aussi loin que ma mémoire remonte, je les avais toujours connu ; ils étaient venu me chercher dès mes premiers mois dans l'orphelinat londonien dans lequel ma mère, une adolescente sans revenu, m'avait déposé. Je ne sais même pas si c'était elle qui m'avait donné le prénom d'Ollie, ni même si Namara était son vrai nom. Tout ce que je sais, c'est qu'a mes quatre ans, j'étais devenu un Benson à part entière. Très croyants, ils m'emmenaient à la messe tous les dimanches, récitaient le bénédicité à chaque repas. Tout était d'une simplicité et d'une générosité admirable chez eux. Je n'étais pas gâté, je n'étais pas non plus lésé, tout tenait sur un équilibre de valeurs chrétiennes. Martha passait du temps avec moi, pour m'aider dans mes devoirs après l'école. Je n'avais aucune difficulté mais elle tenait à faire passer les liens familiaux avant tout le reste. Ils souffraient clairement de ne pas avoir eu la famille naturelle et biologique qu'ils avaient tant espéré, mais voyait ça comme une épreuve du seigneur : si vous arrivez à vous occuper d'enfants comme s'ils étaient les votre, alors votre vie sera bonne. J'étais devenu leur fils, j'étais devenu Ollie Benson plus qu'Ollie Namara l'orphelin. Tout était parfait jusqu'à ce qu'elle arrive. Martha et Craig ont voulu que notre famille s'agrandisse, et quand j'ai fêté mon septième anniversaire, ils m'ont offert une petite sœur. Quatre ans, le même âge que le miens, quand je suis arrivé chez eux. Ils ne m'ont pas laissé de côté, et les liens se sont vite crées. Comme moi, Dahlia était passé de Foster à Benson. Elle était ma petite sœur, celle sur qui j'étais censé veiller, celle dont je devenais l'exemple.
Je n'ai pas tout de suite réalisé mon erreur, moi qui n'en faisais jamais. Je me laissais juste porter par cette vague de plaisir. Je baisse les yeux sur la tête blonde de Dahlia, a genoux entre mes jambes. Plaisir physique, plaisir mental. Dahlia était à moi, comme si j'avais attaché des fils le long de ses doigts fins, et que je la faisais danser comme je l'entendais. Dahlia était à moi jusqu'au bout, mon pion qui tournait quand je le décidais, qui se couchait là où je lui disais, répétais les phrases que je lui enseignait. Je ne sais pas pourquoi j'avais transformé cette sœur en marionnette, mais elle était devenue mon sujet test, me permettant d'observer jusqu'où la soumission était possible. Je lui aurais demandé de sauter par la fenêtre, elle se serait exécuté sans protester. Mais je n'ai pas tout de suite compris mon erreur, je n'avais pris le temps de calculer toutes les possibilités, l'esprit trop obsedé par le pouvoir que j'exerçais sur cette jeune fille. « O... Ollie ? » J'ouvre les yeux, Dahlia se retire rapidement. « Ollie ? Dahlia ? Mais … Mais qu'est ce que vous faites ? » Je n'avais pas pris conscience que nos parents adoptifs allaient rentrer, que Martha allait gravir les escaliers et nous trouver. « C'est … ta sœur. ». Elle n'était pas ma sœur, et ils n'étaient pas mes parents non plus. Il n'y avait aucun lien de sang entre nous, juste des liens pré établis. Rien. Ils ne virent pas cela du même œil que moi. Le soir, mes affaires étaient prêtes. Je n'étais plus un membre de cette famille parfaite, je n'étais plus rien à leurs yeux, comme si j'avais commis la faute absolue. On me chassait. Et elle, la pauvre petite, qu'allait elle devenir sans moi ? Rien, elle était faible sans moi. Et je leur ai tourné le dos. Un jour, je reviendrai.
Je n'ai pas volontairement choisi ma destination ; c'est comme si le voyage c'était imposé à moi, me donnant l'asile, me promettant le pardon. J'avais fui mes erreurs, je leur avais tourné le dos, encore trop faible pour les affronter. Le péché devait se lire sur mon visage, comme si chacun de mes traits avait été affecté par le ressenti brûlant. Le village, perdu dans cette forêt tropicale m'a ouvert ses portes ; personne ne me demandait d'où je venais, pourquoi j'avais quitté les miens. Pour eux, j'étais comme un nouveau frère, un nouveau fils … j'étais devenu l'enfant perdu, l'occidental rongé par ses démons, et qu'il fallait soigner. Il n'était nullement question de couleur, de richesse, de culture. Tout était simple, limpide, harmonieux ; ils se donnaient à la Terre, et la Terre se donnait à eux. Bienfaitrice Gaïa, que nous recouvrions de béton. On m'a nourri, on m'a donné une couche, comme si j'avais toujours été l'un des leurs. Je n'avais plus de nom, j'étais juste le nino perdido, l'enfant perdu. Je me suis assis près du feu, soir après soir, pour écouter leurs histoires jusqu'au jour où je suis allé voir le médecin, celui qui se faisait appeler le guérisseur des âmes. Je l'avais souvent observé, faire des miracles sur des personnes que je pensais perdu. Une sorte de sorcier … et pourtant, il n'y avait aucune magie dans ses gestes, dans ses potions, seulement un savoir transmis depuis la nuit des temps. J'avais compris que j'étais malade, mais il me répondit que la guérison était la décision seule de mon psyché, qu'il me servirait de guide dans la lente reconstruction de mon âme.
Depuis combien de temps suis je ici ? J'ai faim, j'ai soif. Aidez moi, donnez moi de quoi me nourrir. J'ai froid et je tremble, je n'ose même plus ouvrir les yeux. Je suis en train de crever, là, sur ce foutu matelas de paille. Laissez moi partir, rentrer chez moi. Non, je n'ai pas envie, je suis déjà trop loin pour faire machine arrière. Laissez moi juste manger, de quoi tenir une nouvelle journée. Est ce que vous m'entendez ? Il n'y a personne, ils m'ont laissé pourrir dans cette jungle. Lentement, je fini par relever une paupière, jetant un coup d'œil apeuré sur ma solitude. On dirait que mes mains ont fondues, qu'il ne me reste plus que la peau sur les os. J'en suis nul part, ça ne fait que deux semaines; Je n'ai avancé en rien, même pas commencé les scéances avec le shamman. Rien du tout, rien, et j'ai envie de gerber à cause du manque de nourriture. Je passe mes journées couché sur ce tas de paille, me trainant jusqu'au sceau d'eau que les femmes du village m'apporte. Je ne suis pas seul, ce n'est pas vrai, le village n'est qu'à quelque mètres, et les femmes viennent pour l'eau et quelques bouts de plantes comme dîner. D'autres hommes sont parqués dans des cabanes de fortune, non loin de la mienne. Je suis juste trop faible pour aller chercher leur compagnie, eux aussi. C'est simplement … un moyen de se mettre en condition. Le corps n'a pas d'importance pour ce que nous faisons, il n'a pas à réagir, nous faire fuir. L'esprit sera trop concentré dans son chemin, tellement qu'il en oubliera son enveloppe charnelle. Et quand il voudra fuir, il ne faudra pas lui en laisser la possibilité. Bientôt je pourrai me relever, bientôt je pourrai commencer mon initiation. Londres, l'Angleterre, tout est loin derrière moi, je n'y pense même plus, je n'arrive à penser à rien. Le chant des oiseaux résonne dans ma tête, le cris des enfants dans le village, les crissement des pas d'habitants. Ça résonne, c'est une cacophonie insoutenable. J'ai envie de vomir, j'ai envie de dormir, d'hurler et mon corps tremble. Je laisse sortir une plainte faible et referme les yeux. Bientôt.
Et enfin. Je suis entré dans la grande cabane annexe au village. Les oiseaux chantent comme en plein jour, caché par l'obscurité des arbres, les rayons de lune éclairant notre pénombre. Assis en tailleur, le dos appuyé contre les bambou, un sceau devant moi, j'attends qu'il arrive. Nous sommes cinq, cinq a avoir résisté à la diète drastique qui prépare la prise de l'ayahuasca. Il n'y a aucun bruit mis à part celui de la nature, nos souffles semblent ridicule par rapport à celui qui s'échappe de la forêt. Je n'ai pas peur, je n'appréhende pas sa venu car je sais que ceux qui se sont assis sous ce toit sont sauf, qu'ils sont guéris de tout maux. Quand je suis arrivé, il y avait déjà un occidental. Il m'avait dit avoir été gravement malade, qu'il était tombé dans une lourde dépression, que l'alcool l'avait rongé. Lui aussi été passé parce ce long mois d'affaiblissement total, lui aussi avait dû meurtrir son corps aux limites du soutenable. Mais maintenant, son visage était apaisé, il n'avait plus peur. Il m'avait souhaité bonne chance, je n'ai pas tout de suite compris pourquoi. Il est enfin arrivé, le shaman, notre guide, accompagné de quelques femmes du village. Le contact avec les autres monde était dangereux, mais lui était là pour nous protéger. Il avait été choisi. La cérémonie pouvait commencer. On nous a distribué un verre. Le goût était amer, j'ai senti une première vague de nausée faire trembler mon corps. Et une des femmes c'est mise à chanter. Dès les premières notes, je me suis senti mourir. Ma respiration se faisait de plus en plus saccadée, mon poitrine me faisait mal, et je paniquais à l'idée de vomir le peu que contenait mon estomac. J'ai posé mon dos contre le mur, fermant les yeux pour me canaliser sur le chants, mes mains se frottant l'une contre l'autre avec nervosité. J'avais peur des visions, j'avais peur de ce que l'ayahuasca me montrerait, et je me sentais malade. Les fragments de réalité, mêlés à l'apparition de l'autre monde. J'avais peur de ce poison, de ce mélange de lianes, de cet état modifié de conscience. Les esprits chantent, et c'est pour ça que la femme chante. Je ne supporte pas sa voix, je ne supporte rien. Je me sent juste malade, et je ne vois rien. La voix nasillarde de la femme c'est arrêtée et c'est comme si mon souffle c'était coupé, comme si mon corps c'était arrêté de vivre. Je n'arrivais plus à ouvrir les yeux, ma bouche entre ouverte cherchait en vain de l'air. Et l'homme à pris sa place, celui qui guérit les âmes. Renaissance. Le chant était notre nouveau souffle, il était vital. C'est par le chant que l'on appelle l'esprit. Il fallait se concentrer pour se laisser transpercer par cette forme inconnue de langage. Viens esprit, je t'invite. Une femme sans visage c'est agenouillée face à moi, je la voyais à travers mes paupières closes. Les images et les sensations étaient unifiées. Des murs colorés s'élevaient devant elle, des crocodiles de diamants courraient sur leur surface. J'avais envie de rire devant cette découverte, j'avais envie de pleurer devant leur beauté, mais le shaman ne m'en laissait pas le temps, m'entraînant par le seul son de sa voix dans des mondes de terreur. Il me montrait ce qui se cachait en moi, le merveilleux comme le terrifiant. Ce que je voyais, c'était le reflet de mon âme, d'un monde lattant, enfouie à l'intérieur de mon esprit. Il me faisait prendre conscience de mon être dans son intégralité. Il fallait que j'accepte cette partie terrifiante pour retrouver la lumière, il fallait que je l'affronte sans m'enfuir. Les murs dorés avaient fondus, se couvrant d'une couleur opaque, étouffante. Je suffoquais, je gémissais de peur. Mon esprit essayait de trouver refuge dans mon corps, mais en réponse à cette panique, je fus pris d'une nouvelle vague de nausée, vomissant dans le sceau un mélange acre. Je vomissais la noirceur de mon âme.
Ce n'est pas toi qui le veux, c'est l'ayahuasca. Durant des semaines, je m'étais donné totalement à la plante. Chaque soir, j'avais souffert, aussi physiquement que mentalement, jusqu'à la plénitude absolue, acceptant la part d'ombre, la combattant jusqu'à la faire disparaître. Mon initiation c'était terminée quand la vision du serpent, présente depuis le début, m'avait engloutie. J'étais né une deuxième fois. Ce voyage ne ressemblait à rien de connu, l'ayahuasca montrait l'âme, nous laissait dialoguer avec nous même. J'ai vomi en découvrant ma noirceur, j'ai pleuré quand je suis entré dans la lumière. J'étais comme un enfant qui découvre le monde, dans une violente confrontation avec mon identité.
Une fois guéri, j'ai voulu apprendre leur médecine, leurs chants. Je n'étais plus el nino perdido, j'étais el nino que quiere saber. L'enfant qui une fois cette science enseignée, a quitté les siens, pour former sa propre communauté, guérir les autres êtres perdus, et répandre son savoir aux plus méritants.
L'après. La renaissance, et le retour à la civilisation. Tokyo, temple des lumières. J'ai du mal à m'habituer à ce nouveau monde, ces couleurs artificielles qui brillent malgré la nuit. Les êtres pressés qui courent d'un bout à l'autre de la rue, dans un perpétuel retard. Et si demain nous nous retrouvons tous devant les portes de saint pierre, que direz vous sur votre vie ? Qu'aurez vous vécu pendant ces années de course ? J'ai réussi professionnellement, mon appartement est relativement grand, parfois j'ajoute des décorations, et il m'arrive de sortir boire un verre avec des amis. Et vous vous presserez devant l'homme au clé, avide d'entrer dans les douces contrées du paradis. Vous pousserez votre voisin du coude en l'accusant de vous être passé devant. Le paradis est à tout le monde, et le paradis n'a aucune propriété. Comme les villages des indigènes que j'ai quitté. La nature est comme le paradis, elle est à tout le monde. J'ai mis du temps à retrouver mes racines occidentales, à trouver ma place dans cette course effrénée et vaine. Je suis dématérialisé. J'ai trouvé un lit, offert par un généreux, et d'autres sont venus se joindre à nous. Si j'arrivais avec eux, à soumettre le groupe comme j'avais soumis Dahlia, alors je pourrais rentrer.
Dernière édition par Ollie L. Namara le Jeu 6 Jan - 20:10, édité 21 fois
Invité
Sujet: Re: OLLIE NAMARA ♣ (s)aint Sam 1 Jan - 21:28
Aha, bienvenuuuuuuuuue (a) Enfin, re, quoi! Hâte de lire ta fiche, j'espère qu'elle vaut le coup et que l'histoire du Messie te mettra bien en jambes pour Yael =D
Invité
Sujet: Re: OLLIE NAMARA ♣ (s)aint Sam 1 Jan - 21:31
Le messie... je sens qu'on va bien s'entendre XD bonne continuation pour ta fiche (;
Invité
Sujet: Re: OLLIE NAMARA ♣ (s)aint Sam 1 Jan - 21:36
Merci mes bichons
Syki Kumerlon
PSEUDO : SPACEPATER
Sujet: Re: OLLIE NAMARA ♣ (s)aint Sam 1 Jan - 21:41
Bien venue mon jolie messie, pervertisseur d'innocent frères !
Invité
Sujet: Re: OLLIE NAMARA ♣ (s)aint Sam 1 Jan - 21:55
J'suis un ange
Invité
Sujet: Re: OLLIE NAMARA ♣ (s)aint Sam 1 Jan - 21:56
Nan, tu crois ? (a)
Invité
Sujet: Re: OLLIE NAMARA ♣ (s)aint Sam 1 Jan - 21:57
Bienvenue messie ! :) ça va être intéressant !
Invité
Sujet: Re: OLLIE NAMARA ♣ (s)aint Dim 2 Jan - 9:28
Ben re-re-bienvenue
Invité
Sujet: Re: OLLIE NAMARA ♣ (s)aint Dim 2 Jan - 10:48
LE MESSIE !
Dead Pixels
Sujet: Re: OLLIE NAMARA ♣ (s)aint Dim 2 Jan - 11:36
Rebienvenue Ranchou j'connais par frey mais il en jete j'ai hâte de voir ce que va donner ton petit monstre
Invité
Sujet: Re: OLLIE NAMARA ♣ (s)aint Dim 2 Jan - 15:03
Naoooon *pleure de rire*
Frey Mudd (super choix <3), Le Messie, ... XDDD J'sens qu'on va bien s'marrer XD
Re-bienvenue poulette <3
Invité
Sujet: Re: OLLIE NAMARA ♣ (s)aint Mar 4 Jan - 14:40
Mes enfants !
Te moque pas de moi toi au dessus >.< Alcool + David Bowie + une bonne heure à parler de Frey Mudd = une idée de personnage x) Puis le pauvre Frey, on le voit jamais ...
J'avance doucement mais sûrement mes patates douces
Invité
Sujet: Re: OLLIE NAMARA ♣ (s)aint Jeu 6 Jan - 20:10
ça commence à être lourd cette fiche, donc on va dire que j'ai terminé x)
Invité
Sujet: Re: OLLIE NAMARA ♣ (s)aint Jeu 6 Jan - 20:23
Je suis tout simplement subjuguée, Ollie est un personnage passionnant ! Et tu raconte son histoire avec une telle justesse...
Validé, Tu sera Pinky, ceci te permettant par la suite de faire évoluer Ollie avec les problème que lui entrainerons la secte et le reste (a)
Invité
Sujet: Re: OLLIE NAMARA ♣ (s)aint Jeu 6 Jan - 20:28
Bon Dieu quelle fiche ! <3
Magnifique personnage =)
Ben, Bienvenu ^^
Invité
Sujet: Re: OLLIE NAMARA ♣ (s)aint Jeu 6 Jan - 20:31
Merci
Invité
Sujet: Re: OLLIE NAMARA ♣ (s)aint Ven 7 Jan - 5:24
hardcore. ♥
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Sujet: Re: OLLIE NAMARA ♣ (s)aint
OLLIE NAMARA ♣ (s)aint
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