my name is stain.

Raj, Manjrekar.

Surnom: Stain. Âge, date et lieu de naissance Vingt-trois ans, né le 16 avril 1989 à Nashik, état du Maharashtra, Inde. Nationalité: Indien immigré. Origine(s): Indien. État civil: Sentimentalement indisposé, fiancé sur et pour les papiers, immigré clandestin. Orientation sexuelle: Prend ce qui passe. Activité officielle/officieuse: Officiellement au chômage, il est cependant ce que l'on appelle un vendeur à la sauvette : il refourgue aux rares touristes et aux rares nigauds du coin toutes les merdes des commerçants qu'ils sont pas foutus de vendre. Officieusement, il vend ses tableaux qu'il peint sous l'emprise de la drogue. Signe distinctif: Une tête de mort sur l'omoplate droite, des tâches de peinture sur le visage.

→ PACMAN 3UP.

Montrant leurs seins pendants et leurs robes ouvertes,
Des femmes se tordaient sous le noir firmament,
Et, comme un grand troupeau de victimes offertes,
Derrière lui traînaient un long mugissement. (BAUDELAIRE)

→ Eeny Meeny Miney Mo.

Dans tes poches?

des tubes de gouaches presque vides, un briquet presque vide lui aussi, un paquet de cigarette -winston 100s- neuf. et quelques penny. rien de plus.

Fond de ton sac?

j'ai pas de sac, connard.

Sous ton pieu?

des toiles, de la peinture, des pinceaux. comme dans le reste de son appartement-atelier en fait. sans oublier.

→ Of moon, birds & monsters.

Le gamin court. A toutes vitesses. Il court dans les ruelles de Nashik pour échapper à son assaillant. Parce qu’ils ont découvert le pot-aux-roses, ils ont sût qu’il mentait. Qu’il faisait la manche pour le compte d’un autre, d’un adulte. Et s’il se fait rattraper, Raj finira dans un orphelinat, ou dans un foyer. Il ne veut pas. Sa seule maison, c’est la rue. Juste la rue. C’est la seule à pouvoir l’accueillir. A à peine sept ans, il en connait tout les recoins et trouve rapidement une place où se lover le temps que l’homme se perde et s’éloigne. Un. Deux. Trois. Il a le souffle court, tente de ne pas faire de bruit avec sa respiration. Il la retient presque, voudrait savoir s’il a finit par abandonné et s’il peut sortir de sa cachette. Quatre. Cinq. Six. Il récite dans sa tête les quelques chiffres qu’il connait. Soupire. Raj souffle, attend une autre poignet de secondes et finit par faire un pas en avant. Sans regarder. Et pourtant, s’il avait détaillé le sol, il aurait vu l’ombre de l’homme se dessiner. Il aurait put deviner sa présence et ainsi rester cloitré dans son abris. Mais non. Ses pieds se soulèvent du sol tandis qu’il sent sa peau tirer au niveau de la nuque. Raj se met à hurler, à taper dans le vide et à se débattre. Mais l’homme est plus fort. Sa tête percute quelque chose de dur. Et puis plus rien.

Pseudo:

NICOTEEN.

Âge:

Seize.

Présence:

A voir.

Plus:

Moins.

The Wolf : De quoi ils ont l’air Jimmy ?
Jimmy : Cons... Ils ont l’air de deux pauvres cons.
Jules : Hin-hin, elles sont à toi les fringues, connard. (citation)

Les pupilles se dilatent. Le souffle devient plus long. Un sourire se dessine sur les lèvres. Un sourire con. Très con. A mon image. Tout devient flou, et je sens comme une envie de rire qui grimpe en moi. Je lâche la seringue, me laisse tomber sur le sol. Un rire étrange s’échappe de ma gorge et, petit à petit, je perd tous mes repères. Les bruits de la ville qui filtraient à travers les fenêtres disparaissent, et je suis plus foutu de rien reconnaître. Et merde. Je soupire et rit un peu plus. Je regarde autour de moi, sans rien reconnaître. Mais sur le bureau j’arrive à voir une feuille. Je me lève, titube, manque de me casser la gueule tous les deux mètres parce que mes yeux sont pas foutus d’être nets. Je me prend les pieds dans un chevalet, me met à l’insulté de tous les noms, m’éclate le nez contre le bureau de bois. Bordel de merde. Je prend le papier, fronce les sourcils, pas foutu de déchiffrer la moindre chose. Un mot en gras. Mes yeux se portent dessus. Merde à la fin, c’est quoi ce bordel ? Pas foutu de lire. Mani.. Manio.. Degrès.. Ah, non. Maniaco-dépressif. Une merde du genre. Mes doigts se crispent autour du papier, viennent le chiffonner tandis que je serre les dents et balance la boulette de l’autre côté de la pièce, manquant à nouveau de me ramasser la tronche sur le sol dur. Mon nez saigne. Merde bis. Je me laisse tomber au dessus d’une toile, retire -ou plutôt étale- le sang qui coule à cause de ce putain de bureau d’un revers de main et sort les tubes de gouache de mes poches. Et je les vide sur le blanc immaculé. Le bleu, rouge, jaune, vert. Orange, gris, noir, turquoise. Rose, indigo, violet, ocre. Tout y passe. Je fais aller mes pinceaux, me met de la peinture partout. Ce que ça représente ? Aucune idée. Je laisse aller. Je contrôle rien. J’ai jamais rien contrôlé de toutes façons. Et je m’en branle avec les deux mains.

Ça peut durer des heures. Parfois, ça va jusqu’à trouer la toile, casser les pinceaux. Là j’en sais rien, et j’en ai vraiment, mais vraiment, rien à foutre. Le problème c’est que là, j’suis sur le toit. Et je sais pas ce que je fous là. Mais la ville est belle. Les lumières dansent. Les bruits arrivent déformer jusqu’au haut de l’immeuble, et je me remet à rire comme un con. Ah ah. Je me lève, marche sur le rebord de l’immeuble. J’ouvre les bras, question d’équilibre, et regarde vers le ciel. C’est beau. Tout bouge. Comme si les étoiles jouaient à saute-mouton. Et aucunes est foutue de s’arrêter. Je me laisse tomber sur le toit dans un fou-rire. L’une des étoiles se casse la gueule. Et si c’était moi ?

PSEUDO : soft parade.

... Toi.
Comme je t'ai déjà dit sur MSN, ton avatar est magnifique, j'adore le pseudo, bref, tu gères - comme d'habitude, en fait. Hâte de découvrir la suite.
Gros bienvenue, et de la part de Francis, c'est pas rien.

m'ouais. t'es venue me souhaiter la bienvenue que parce que je t'ai forcé.

PSEUDO : soft parade.

Même pas vrai. Et tu le sais.

PSEUDO : tiger, tiger (maëlle)

Faustine
l'avatar est sexy (et il est moustachu ), le pseudo pète et il vient. (ouais mon personnage a aussi des origines indiennes)
alors, bah t'es surement de me voir toqué dans ta porte quand tu seras validé.

bienvenue chez toi, honey.

manon, bien sûr que si.
cam, liza indienne ? wtf ? :arrow: bref, raj n'est pas qu'une bombe sexuelle, je tiens à le préciser, hein. puis lui, il est presque cent pour cent indien.

PSEUDO : tiger, tiger (maëlle)

oh la la, je suis déçue. tu te gourre mais total là
(c'est maëlle)

non mais elle est semi indienne, voir pas du tout. c'est compliqué.

désolée. :arrow: depuis tout à l'heure, je confond. :face: autant pour moi, je recommence : maelle.

PSEUDO : SPACEPATER

Fort délicieux pseudo, l'avatar de toute évidence, mais tes goûts sont une valeur sûr my name is stain. 4271066558

. Bienvenue dans ta nouvelle maison, dans ta super nouvelle famille, tu vas t'éclater ici. Foi de pixel my name is stain. 1293159497

m'vi, je sais, stain te fait déjà tremper ta culotte, uh. il fait toujours cet effet là, le coquin.
j'espère que le personnage te plaira autant que le pseudo et le visage.

Denis

Raj, ça me fait penser à 90210, et je sautille sur ma chaise parce que j'suis une vieille fan girl, j'ai honte.
L'avatar est sublime, et j'ai hâte d'en savoir plus sur le personnage my name is stain. 3561250273

PSEUDO : Kynu' / May

roger, j'avoue avoir piqué son prénom.
merci.

cérès, la jolie rasa.
merci !

parce que ton pseudo, parce que ton avatar, parce que ton personnage, parce que son histoire, parce que notre lien. et parce que toi

et parce que nous.

PSEUDO : intodust.

Je suis en admiration devant ton pseudo. Je ne connaissais pas ton avatar mais il est charmant. Et puis l'Inde et le début de ta présentation ♥ Bref, bravo.

oh, merci beaucoup. l'avatar, faut pas chercher : pas de fashionspot ni rien, presque introuvable, éhé.
contente que le début de ma présentation te plaise, alors.

PSEUDO : intodust.

Introuvable, ça doit être ça qui fait son charme justement et puis de rien, c'est sincère my name is stain. 4271066558

oui, sûrement ! et encore merci, alors.

PSEUDO : tiger, tiger (maëlle)

je te valide faustine, même si elle est courte, ta fiche est géniale je trouve que ça lui va trop à l'autre moustachu d'être peintre (et indien) genre ta première anecdote, on s'croirait dans slumdog millionaire. en tout cas, j'trouve que c'est une merveilleuse idée de faire un immigré

(j'ai écouté la chanson de shaka ponk pour m'mettre dans l'ambiance)

j'avais envie d'être validée.
merci beaucoup, maëlle. et oui, il a bien une tête d'indien (il l'est, d'un côté)