Margaret a toujours été une enfant banale, son visage, ses notes, son style. Rien ne l'avait jamais différencié de la masse. Ses parents tout aussi banaux n'avait jamais remarqué que la jeune Maggie avait du mal à suivre le mouvement du monde. Quand la mode fut d'avoir de mauvaises notes, elle fut une mauvaise élève. Puis quand le lycée arriva, avec ses nouveaux centre d'interet, elle fit comme ses amis, elle sortit. Rencontra garçons et toute sortes de façon de s'envoyer en l'air, avec ou sans eux. L'alcool, la drogue, les médicaments. Grâce à ses derniers moyens, un monde nouveaux fut créé, rien que pour elle. Psychédélique. Elle y rencontra un jeune homme, qui l'a trouva particulièrement intéressante, contrairement à la plupart des gens. Ses seules motivations pour reprendre des pilules furent de le revoir.

Une enfance de petit roi. Mais alors un roi enfermé dans un monastère doré. Religion, discipline et restriction, les maitres mots de ses parents tout spécialement cathos. Enfin ce qui les définie plutôt serait la rigidité et l'intolérance de leur foi. Pourtant jusqu'au milieu du collège aucun problème particulier dans sa vie, sauf peut être sa réfraction totale à toute forme de divinité. Puis il a découvert les garçons. Il a comprit que les espoirs de petits enfants de sa mère ne seraient jamais comblés de son côté. Pas de réel soucis tout de même, son angélique petite soeur prendra la relais. Il y a un an, après trois ans de cache-cache et de mensonges, il leur a avoué son homosexualité. Leur réaction vous vous en doutez n'a pas été des plus compréhensible. Il a failli finir viré de chez lui. Sa mère, dans un sursaut de considération maternel, et sa petite soeur lui ont momentanément évité ce désagrément. Et même si aujourd'hui il se retrouve malade, atteint d'une merde sans nom, il se bat. Seul puisque sa sainte-ni-touche de soeurette n'ose pas le rejoindre à cause de l'autorité parental. C'te bonne blague. Il lutte alors sans un mot dit. Juste lui, la dope, les deals.

Lorsqu'on rencontre Ed on le catalogue bien facilement de fêtard amplement déconneur et peu capable de sérieux. Et l'on a pas tord. Micro-dormeur mais flemmard de première, les études ne le passionnent absolument pas. Pour plus tard de toute façon, il y a la super entreprise de fringues à papa. Un truc de luxe avec de magnifiques filles qui se pavanent au milieu des portants de vêtements sublimes. De ce fait Ed a toujours évolué dans une atmosphère de féminité sulfureuse, de belles mannequins qui fondaient toute face à ses sourires de gosses enjôleur. Il est alors devenu un vrai casanova : un beau parleur, un menteur, un chieur. C'est un énorme fumeur de clope mais il dénigre la drogue par pure orgueil. L'alcool aussi il n'en abuse pas, détestant l'idée d'être physiquement diminué. Sans compter que la beuh ça peut empêcher de bander ! Son père lui est comme un étranger qui lui à toujours raconté des bobards sur sa mère. Il n'a jamais pus connaitre vraiment la vérité sur la "disparition" de sa génitrice. Mais n'a aucunement manqué de marques féminines dans son enfance. Dans l'ensemble on peux dire que cela lui a plutôt forgé une image assez blasée des femmes. Trop niaises, trop sensibles et trop capricieuses. Le retours de flamme pourtant fut violent lorsqu'il y a un mois son père se remaria avec un belle jeune-fille de 22 ans. Douceur, classe et sensualité mêler sous un doux prénom, Laïla. Il tomba instantanément sous son charme, jusqu'à s'en croire fou amoureux.

Gamin de la D.D.A.S.S munit de cette rage brute et aveugle des gens n'ayant pas connus la douceur d'un regard, d''un semblant d'attention. Les familles d'accueils le rejettent l'une après l'autre, par manque d'argent puis par peur de la violence qui habite les yeux de l'enfant. Les locaux de l'orphelinat St James eurent toujours cette allure de prison pour mômes où pourrissaient bonbons avariés et jouets brisés. Les squattes, les vols et toutes sortes d'autres délits sont bien vite son quotidien. Mais la musique, et plus précisément la batterie, il la découvre dans cet univers. Elle lui permit surtout de ne pas se dé-scolariser jusqu'à même atteindre le lycée. Là-bas il persévérera pour obtenir une bourse malgré des problèmes d'alcool et surtout de drogues. Il s'en sort durant son année de seconde et décide alors d'économiser pour partir le plus vite possible hors de l'orphelinat. Ne vivre dès lors que pour le groupe qu'ils ont monté avec ses meilleurs potes depuis 3 ans. Enfin il faut savoir que tout le respect qu'il a pour lui-même, Hel l'a transposé dans sa musique. Comme une allégorie, un contrepoids à l'indifférence qu'il possède pour son corps. L'instrument est sa peau, les notes ses mots, quiconque y touche risque son courroux. Si au contraire vous savez l'appréciez, Mihaël peux devenir un ami ou un amant d'une grande tendresse. Teinté de cette haine amère qui fait toute sa profondeur, sa mélancolie brute.

"Demain sera surement une journée pluvieuse... Mais depuis ce soir là, la pluie t'est synonyme et j'exulte à l'idée qu'elle me noie." Une phrase, une phrase magnifique qui était venue à la suite de nombreux délires sous LSD, depuis, Elliot, un élève du lycée merveilleusement bon en anglais voulut devenir poète. Il a une mère femme au foyer et un père -depuis peu- chômeur. Alors pour aider la famille, il enchaine les petits boulots, c'est à cause d'un travail de livreur de pizza qu'il commence à connaitre la drogue et qu'il rencontre Maggie au détour d'un de ses nombreux rêves hallucinatoires. Ils se retrouvèrent, on ne sait comment, et créèrent une liaison très forte.

Corey a bien du mal à se regarder dans un miroir, depuis ses treize ans. Né dans une famille modeste, il partageait absolument tout avec sa sœur Kelly, plus jeune que lui d’une année seulement. Alors qu’il rentrait de l’école à pied, sa mère étant en déplacement, il se dirigea dans la chambre de sa sœur comme à son habitude et trouva son père abusant d’elle. Tellement étonné et surtout terrorisé de ce qu’il se passait, il ne fit rien d’autre que de partir en courant alors qu’il entendait Kelly l’appeler et crier son nom pour qu’il vienne l’aider.
Depuis, elle ne lui adresse plus la parole et son père a quitté le domicile familial. Il se renferma sur lui-même, se sentant coupable de n'avoir rien fait, et commença à prendre de l’alcool et boire, et surtout à écrire des textes pour exprimer ses sentiments. Un de ses amis trouva ses écrits et lui dit qu'il devrait partager son talent avec les autres, sans vraiment qu'il ne sache ce que Corey écrivait. Vers ses quinze ans, il fonda un groupe avec des amis à lui, qui existe depuis maintenant trois ans. Mais il ne leur dévoila jamais la vérité et ses paroles restent encore un mystère pour tout le monde.

Papa, pourquoi maman elle ne viens jamais nous voir ? Cette question aux bord des lèvres pendant des années, les yeux d'enfant noyés dans un vide tellement présent. Dabby a grandit seule. Un père s'oubliant dans le travaille, plus colocataire que protecteur. Devenant indépendante avant l'heure elle garde aujourd'hui encore des sursaut de gaminerie incontrôlé au milieux de sa précision de personne âgée. La femme, la mère qui manqua tant se transposa sur ses mannequins de magazine. Elle lui apprennent par papier glacé la beauté et ses atours. Comme plus tard ses faiblesses, ses mensonges. Élève très moyenne et peu studieuse elle prête plus d'importance à ses amis mais surtout à son rêve : devenir modèle. Stoppant ses études alors qu'elle est repérée dans la rue elle part au USA. Abandonnant tous derrière elle sans un regard en arrière. Deux ans plus tard pourtant, alors que personne n'avait eue de nouvelles d'elles. La tête rousse apparaît à la gare de bus, trainant cernes et lourde valise. L'incendie d'insouciance s'est éteins dans son regard.

Si Salem porte ce nom là c'est parce que sa mère est une fan incontestable d'ésotérisme et de tous ce qui s'y rapporte. Baba-cool, hippie, autant de mots pouvant désigner l'éducation de Salem. Dès toute petite, elle évolue dans l'atmosphère à la fois feutrée et électrique du café-librairie-concert de sa mère. Elle fréquente donc très jeune les collégiens et lycéens. Elle devient une sorte de mascotte blonde et adorable à la douceur et à l'humeur piquant, promettant d'être pire que belle en grandissant. Romantique, certes, mais surtout fidèle. Lorsqu'en arrivant au lycée son petit copain l'entraine dans la prostitution, elle ne dit pas non. Croyant le choisir par amour, pour se dévergonder un peu aussi. Elle arrive à s'en persuader totalement. Et dès lors, ne comptant plus que sur l'amour de Drogan, elle délaisse peu à peu ses études, les fêtes restant un échappatoire presque inconscient à la pression qu'elle subit au quotidien. Même si ne sont pas rare les fois où durant un soirée, d'un geste, Drog' lui désigne un jeune homme qu'elle s'empresse alors de rejoindre dehors. Ignorant son coeur qui loupe un battement, son ventre qui se tord.

Un enfant qui hurle, prend peur au moindre geste, mord quand on le caresse. Très tôt, on diagnostique à Drogan une tendance forte à la paranoïa. Il se fait alors suivre par un psychiatre dès ses 6 ans. Ses parents, eux, sont dépassés par les angoisses et la violence qui en résulte chez leur fils. Ils ne pourront cependant jamais se résoudre à l'envoyer en institut malgré les avis médicaux. Lorsqu'il atteint 10 ans, il débute un traitement lui permettant de stabiliser un peu plus encore son état. En marge de tout cela Drogan se montrera toujours comme un élève excellent, surtout en matière de mensonges et manipulations. La brutalité ne l'a d'ailleurs pas vraiment quittée et il se révèle également d'une possessivité tordu. Fou amoureux de son amie d'enfance, Salem, avec qui il sort depuis ses 16 ans. Il l'entrainera pourtant dès l'entrée de la jeune fille au lycée dans un réseau de prostitution scolaire dont il a prit la tête. Proxénète à 17 ans, il l'est encore à 19. Et si le fait de vendre son amoureuse à d'autre vous semblant absurde... C'est que vous n'avez encore rien vu.

Je serais gentille c'est promis alors s'il te plait, ne me fait plus mal. Youna l'a tant sangloté, cette supplique catastrophée. Un père qui la bat sans qu'elle ne sache jamais pourquoi. Une mauvaise note, un éclat de rire, un mot de trop ou de moins et les coups pleuvent. Et la maman alors ? Maman elle travaille à l'étranger, totalement inconsciente des souffrances de sa fille. Cependant Youna ne se laisse pas abattre, d'un caractère fort, presque garçon manqué, elle ne laisse personne deviner. Au contraire sociale, batailleuse, elle se révèle une jeune fille appréciée. Cependant si les amis, elle n'en manque pas, les petits copains sont rares et ne peuvent jamais obtenir plus qu'un baiser. Sa passion véritable est la musique. D'abord le piano qu'elle travaille depuis sa plus tendre enfance, seul son pouvant calmer son père. Puis en grandissant elle découvre la basse et se joint à un groupe monté par des amis. Elle rêve de pouvoir s'enfuir loin de son père, loin de cette vie d'animal blessé. Vivre de liberté.

Isaac est le genre de jeune anglais qu'on imagine quand on parle d'adolescence. Il vit à toute allure, ne se souciant ni des plus âgés, ni de l'autorité. Toujours à la limite du légal et du politiquement correct, une clope au bec, critiquant la société. Il n'a jamais eu à regretter d'être comme il est. Une famille normale, aucun antécédent psychologique ou dépendance -à part à la nicotine- quelconque. Isaac est banal, bien qu'on pourrait le considérer de nymphomane et d'arrogant. Il s'interdit la prise de drogues trop fortes et milite -à sa façon- pour que tout le monde arrête. Il est toujours le premier à se jeter sur l'alcool et les joints, émancipé à l'âge de seize ans, il prit un appartement grace à sa bourse et au petit travail de barman dans une des boites de nuit de Bristol.

Perturbé par les changements de son corps à l’adolescence, Kalvin subi de nombreuses crises d’angoisse. Sa mère, dépassée par les événements, préfère lui faire avaler une dose quotidienne de calmants plutôt que d'aider son fils psychologiquement, de chercher les causes de ce malaise. Elle a peur de voir son fils devenir fou. Kalvin n'est ainsi pas très sûr de lui, et se trouve être très réservé. Il n'en est pas moins une jeune homme sensible et affectueux.

Extrêmement cultivé, il s'amuse à citer de grands auteurs afin de séduire quelques personnes. Tout type de gens tombe dans son piège, aussi bien ses professeurs que ses camarades. Bien qu'il plait beaucoup aux filles, il ne s'intéresse guère à elle, ne leur accordant pas même un regard. Il préfère jouer à un jeu incestueux avec sa sœur jumelle. Très proche l'un de l'autre, et même un peu trop, Cela vient surement de leur éducation qui place le sens de la famille comme une des valeurs des plus importantes. Dans son esprit c'est même sa sœur et elle seul qu'il érige en valeur indispensable. Sans jamais avoir sut lui dire, comme une limite à ne pas franchir. Leurs parents les ont élevés différemment des autres enfants, Graham et Alice ont été la première fois à l'école seulement à l'âge de 11 ans. Les années auparavant, c'était un professeur particulier qui leur apprenait à lire, écrire et compter d'où leur niveau légèrement plus élever que leur camarade. Le seul bémol dans cette éducation particulière, est que cela développer chez Graham et sa sœur, un côté solitaire. Car les deux jeunes adolescents ne supporte pas beaucoup la compagnie d'autres gens que leur jumeaux.

L'éducation d'Alice a été différente de celle des autres enfants. La première fois qu'elle a été à l'école était à l'âge de 11 ans. Les années auparavant, c'était un professeur particulier qui leur apprenait à lire, écrire et compter. Ce qui lui vaut des capacités intellectuelles légèrement supérieur à celle de leur camarade. Le seul bémol dans cette éducation particulière, est que cela développer chez Alice, un côté solitaire. Alice ressent peu le besoin de parler. Il est impossible de disputer de grands et longs débats avec elle. Elle a beaucoup de mal à supporter la compagnie, hormis celle de son frère jumeaux, Graham. Celui-ci joue au marionnettiste avec sa sœur, qu'il manipule. Petit à petit, leurs jeux devinrent incestueux.

Dès son plus jeune âge, Columbine a été bercée par les chants ecclésiastiques des prêtes. Ayant des parents fidèle à leur religion, elle a reçu une éducation chrétienne qui a porté ses fruits. Innocente, elle souhaite rester chaste jusqu'au mariage, étant donné que c'est un principe de la religion. Élève modèle, elle rattrape les notes ainsi que les bêtises de son frère, qui se traine dans la débauche adolescent. Celui-ci n'est en réalité que son demi-frère. Une après-midi, Columbine et Eden avait fouillé dans les lettres de sa mère. ils avaient trouvés une clef de leur histoire. Columbine n'est pas l'enfant légitime de Monsieur Lauhs, mais de l'amant qu'a pu avoir leur mère. Le secret reste enfoui, et la famille Lauhs reste un exemple pour tout les couples d'aujourd'hui. En tant que bonne chrétienne, Columbine se rend tout les dimanche à la messe, va confesser lorsqu'elle juge qu'elle a pêché, prie tout les soirs et croit dur comme du fer à Dieu et ses disciples. La rentrée au lycée, est un grand départ pour elle. Sa naïveté sera peut être déboussolée ?

Nolan avait un jumeau, Neal. Et c'est bien là la chose la plus importante à savoir sur lui. Sa maman à élevé ses deux bouts de choux comme elle le put. Plus perdu qu'autre chose dans la relation plus que fusionelle entre les jumeaux. Nolan le plus sensible des deux, le poète écorché voyant ce monde avec une objectivité terrifiante se reposait principalement sur son frère. Ils ont des amis, seuls voyageurs itinérants qu'ils acceptent dans leur château fort. Il était son frère et son frère était lui. Partageant des clopes jusqu'au plan cul. Parfois certains les juger malsain, bizarres, dérangeant. Mais ils n'en avaient que faire, leur vie c'était l'autre et voila tout. Mais son frère est mort. Un accident de scooter tellement stupide. Nolan n'y a d'abord pas crue, puis se fut le choc. Anéantis il perd son année scolaire à force de crise de larme et d'envie suicidaire. Bientôt un ans plus tard sa mère et ses amis reprennent un peu espoir, le vois lentement remontait la pente. Cela vas-t-il durer ? L'ange qui lui parle tous les jours dans sa tête, le laissera-t-il vivre en paix ?

Evey est la cadette d'Isaac, ce grand artiste. Ce salaud, comme elle l'aime l'appeler, l'a laissé en plan à l'âge de quatorze ans, émancipé sur demande; Il l'a laissé avec un mère castratrice et un père toujours adolescent, tout du moins dans sa façon de s'habiller. Si son frère n'a jamais remarqué que sa famille était étrange, c'est parce qu'il était un garçon et qu'il n'avait pas sa mère constamment sur son dos. Une mère qui suivait la mode coûte que coûte et qui comptait bien que sa fille fasse la même chose. Elle lui répétait sans arrêt qu'elle était grosse et que personne ne voudrais jamais d'elle si elle continuait. Mme Caldwell inconsciente du fait que Evey se répétait chaque matin qu'elle n'était pas assez bien pour le monde, commençait à développer un complexe d'infériorité énorme.

Maybellene a refusé de se nourrir à l'âge de 1è ans. Les pâtes huileuses que lui prépare sa mère la répugne, encore plus lorsqu'elle l'accompagne d'un "mange, ma chérie" mélodieusement cucu. Elle est la cause du désespoir de sa mère, ce qu'elle lui fait savoir. Parents divorcés, trop jeune pour élever un enfant, ils ont laissé la grand-mère s'occuper de la petite. Le père est partis au bras de son amante. Pauvre May, ils lui ont toujours fait subir leur problème de couple. Son père gueulait des phrases inhumaines. Il aurait préféré avoir un garçon. Peut être, est-ce la cause de l'anorexie de Maybellene ? Souhait-elle devenir un homme ? Révoltée, elle se monte des idées dans la tête : pour elle, ses parents la testent, ils sont des sortes d’opposants, tout comme les autres adultes qui font mine de l’aider. Pour résister à tout ce nœud de problèmes, elle se crée un rêve qui l'aide à ne pas craquer, à ne pas s'emporter lorsqu'elle est énervée.

Cassius est un jeune homme impulsif, parfois violent mais ensuite pétris de regrets. Il s'emporte rapidement lorsqu'on lui manque de respect et parfois même pour de simples broutilles, c'est en effet quelqu'un de très susceptible ! Sa suspecte homophobie révèleraient peut être une attirance envers les garçons. N'envisagez pas de le taquiner sur cette possible homosexualité, il pourrait utiliser des mots dégradants à l'égard des gays, et même parfois s'emporter violemment. Sous l'emprise de l'alcool, sa violence redouble. Il lui arrive de tabasser des gens, sans avoir forcément une raison valable. Ce qu'il regrette énormément par la suite, car en réalité, Cassius est extrêmement gentil et généreux. Un des moyens le plus efficace pour le calmer est la musique. Cassuis joue depuis ses huits ans du saxophone, ainsi que du clavier. Il use ses talents de musicien au sein d'un groupe, qu'il a crée trois ans auparavant avec sa bande de potes.

Dressé dans son éternel redingote, Simon se distingue des autres jeunes de son âge grâce à son style particulier. Son mode de vie est tout aussi étrange. Sa mère, une psycho-rigide qui dirige un institut psychiatrique, le drogue aux médicaments. Il n'en demande pas moins, il en vole quelques uns afin de les revendre dans son lycée, mais aussi pour en consommer lors de soirées. Vivre avec une maniaque n'est pas chose facile, la maison ne doit jamais être dérangée ou salie. Heureusement que l'argent coule à flot, sinon ce serait impossible d'entretenir la tapisserie suédoise. Simon s'intéresse beaucoup à l'art, et vous une passion pour le culte religieux, bien qu'il est non croyant.