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Elvis Brigham
| Sujet: you're mother theresa. Dim 6 Mai - 21:21 | |
| Brigham, Elvis. Surnom: écrire ici. Âge, date et lieu de naissance Trente-et-un ans, né un quinze juillet, quelque part dans les parages – là où les femmes n’écartent pas les cuisses, elles gerbent leurs gosses avec ardeur. Nationalité: Anglaise. Origine(s): Idem. État civil: Civilement indisposé. Orientation sexuelle: Non identifiée. Activité officielle/officieuse: Copropriétaire d'un Self-garage – libre service où l'automobiliste réalise soi même les réparations. Brigham and co : à la sortie de Derby, personne ne peut le louper. Travail au black évidemment encouragé, toutes candidatures acceptées. Pour de plus amples informations, veuillez nous contacter au: 0800-043[...] On ne vous répondra pas, on a d'autres choses à foutre. Signe distinctif: écrire ici. → Indiquer le groupe. Peu de gens appréhendent l'approche psychologique exigée pour le flic d'autoroute. Le chauffard de base va paniquer et se ranger illico sur le bas-côté. Grossière erreur, ça déclenche le mépris dans le cœur du flic. Faites-vous pourchasser par cet enfoiré, il vous suivra mais sera dérouté par votre clignotant signalant votre intention de prendre à droite. C'est pour lui faire savoir que vous vous rangez dans un endroit correct, pour mieux dialoguer. Ça lui prendra un moment pour s'apercevoir qu'il va faire un demi-tour complet à pleine vitesse, mais vous, vous serez paré, prêt à la puissance de l'accélération, prêt à jouer du pédalier. → Eeny Meeny Miney Mo. Dans tes poches? écrire ici. Fond de ton sac? écrire ici. Sous ton pieu? écrire ici. → Of moon, birds & monsters. Mais il est malade! Elvis titube jusqu’au mur, rit jusqu’à réveiller les Anges, là-haut, qui du haut de leurs trous du cul célestes se contentent de balancer un oreiller par-dessus leurs foutus nuages. Elvis voit les oreillers de plumes. Elvis entend les plaintes de l’aurore noire. Elvis emmerde les Cieux et ça le fait marrer – il s’en fout, qu’il dit, le saint jour de sa Mort, il lèchera les entrailles de la Terre et non ceux du Firmament. Il fulmine des conneries: enfoirés de mexicains! Nous tenons à préciser que, Elvis Brigham, ici présent, n'a absolument rien contre les mexicains. Probablement, tout du moins.Gitane sans filtre et tabac sur/entre les lèvres, il frappe l’atmosphère, se proclame Roi: ça va chier. MAIS ARRÊTE! Comme un boum défiant le bang, qui viendrait réchauffer ses reins et ses ardeurs: comme une bombe nucléaire balancée sur des saloperies d’eunuques – Elvis répond à ses pensées. La chambre d’hôtel se met à trembler, le sol, le plafond, le Monde tangue et tout le monde s’en branle. Nom d’un connard! Tu l’as vu le mec, là? Tu l’as vu? Non mais est-ce que tu l’as vu? Tu l’as pas vu, c’est ça? Ose me dire que tu ne l’as pas vu, ose! Elle le dévisage de ses grands yeux, bouche entre-ouverte, observe les alentours en triturant ses cheveux bruns, un sourcil en l’air. Elvis stoppe. Déchiffre la Création du Monde et je t’épouse : il recommence. uc.Pseudo: écrire ici. Âge: écrire ici. Présence: écrire ici. Plus: écrire ici.
Dernière édition par Elvis Brigham le Mer 9 Mai - 22:13, édité 7 fois |
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Elvis Brigham
| Sujet: Re: you're mother theresa. Dim 6 Mai - 21:21 | |
| Down in the valley on a foggy little rock Stood a pretty little demon blowing his top Fire in his eyes and smoke from his head You gotta be real cool to hear the words, He said! He said: That cat was mad!
LIMITATION DE VITESSE – 50 MPH: La caisse défile, droit contre le vent, droit contre le Monde. Un cri inhumain au cul, comme accroché à l’arrière, se traînant via goudron, inexorablement tiré vers la folie – trop de gens appellent cela l’infini, il n’en est rien, soyez en assurés. Sa voix ressemble à celle d’un crapaud en rut, ses gestes à ceux d’un épileptique sur le point de pratiquer une opération à cœur ouvert – Elvis est bien, Elvis contrôlerait presque la situation. He did that, nyi-bop-n-nmop'n-yi-bop-mn, ni-bop' bop-mnmh: il frappe le volant en rythme, bascule sa tête de haut en bas, tant que ses globules prévoient de quitter leurs putains d’orbites. C’est ça la vie, hurle la Gitane au coin de ses lèvres. L’accélération divine au beau milieu de nulle part – les monstres se font surnommer radars. Ça part en fumée, la vie. Les paysages qui disparaissent avant même d'exister au coin d'un œil explosé, les ombres dingues qui font la course, et ce Soleil qui remet en place ses lunettes noires: c'est le pied, visage par la vitre, cheveux foutrement au vent. Elvis roule comme s'il n'avait plus rien à perdre, comme si, là-bas, au bout de la route, se dessinait l'aube d'un Nouveau Monde. Rien à branler du renouveau, ça, c'est pour les petits cons cherchant à sauver un univers qui s'en sort parfaitement sans eux: Elvis veut sentir l’adrénaline grimper le long de sa colonne vertébrale, s’insinuer dans ses veines et y poser baguages jusqu'à la fin. Elvis prie l'adrénaline, ce fabuleux moment où tout explose dans un brouhaha dément, où vos neurones s'arrachent et dansent. Mourir pour mieux renaître. L’adrénaline, c'est l’éternelle résurrection, la sensation de ne jamais entendre ricaner la mort. L’Âme aux tripes, les tripes à l'Âme – ardemment vôtre. Le moteur gronde: la gamine l’entend. Elle lève son pouce, ses cheveux bruns emmêlés encadrent un sourire trop adorable pour être sincère, ses pupilles brillent comme une bonne-sœur sur le point d’apercevoir la bagnole de Dieu. Comme si elle s’apprêtait à serrer la main du Tout Puissant en personne, lui filer son numéro de téléphone, et puis gaiement lui tailler une pipe à côté du frein à main et des hosties dans l'Invincible Dieumobile. Elvis voit enfin la gosse, éclate d'un rire proche du démoniaque: il ralentie. Elvis n'aime pas les filles. Elles piaillent, elles se plaignent, elles hurlent, elles pleurent, elles demandent pardon. Elles répètent sans arrêt qu'il n'est qu'un enculé d'eunuque – ce à quoi il répond toujours qu'elles devraient donc être heureuses. Non, il n'aime pas les filles. Toutes les cellules de son corps s'agitent, essayent de lui faire passer le message: ne t'arrête surtout pas, qu'elle crève conchita. Elvis sort brusquement sa tête par la fenêtre lorsqu'il passe devant, tel un chien à la recherche d'air pur, pour toiser de plus près les yeux écarquillés de l'autostoppeuse qui recule d'un pas. S'arrête quelques mètres plus loin. Elle hésite, se demande si elle a affaire à un mec bien. Évidemment, tous les hommes qui récupèrent une jeune-fille d'à peine vingt piges sur une route pourrie et déserte ne peuvent qu'être des mecs biens, Charle Manson et sa bande l'ont toujours affirmé. Elle regarde trop la télé, qu'il se dit, de sa voiture qui fume (note: penser à revoir le pot d'échappement, visiblement cancéreux). uc.
Dernière édition par Elvis Brigham le Ven 8 Juin - 23:53, édité 33 fois |
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Invité
| Sujet: Re: you're mother theresa. Dim 6 Mai - 21:22 | |
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Syki Kumerlon
| Sujet: Re: you're mother theresa. Dim 6 Mai - 21:23 | |
| Ours du cyber-espace va |
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Invité
| Sujet: Re: you're mother theresa. Dim 6 Mai - 21:24 | |
| orgoRBGBrbgJBjbfojbzebgjzbeg L'oncle. L'ONCLE QUOI. J'crois en être dors et déjà aussi amoureuse que son neveux. Alors bon courage grosse loutre Et rien que pour toi, le smiley le plus moche d'STV : |
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Invité
| Sujet: Re: you're mother theresa. Dim 6 Mai - 21:30 | |
| le personnage va déboiter, je le sens - bienvenue |
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Esmee Khursh
PSEUDO : tiger, tiger (maëlle)
| Sujet: Re: you're mother theresa. Dim 6 Mai - 21:38 | |
| d'la bombasse en boite rien que le surnom (et la réputation) qu'on lui donne, ça m'fait déjà bander. |
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Invité
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Yaël Seiwer
| Sujet: Re: you're mother theresa. Lun 7 Mai - 13:32 | |
| Juste parce que ton prénom est orgasmique OMFG, et puis ton avatar quoi Bienvenue :) |
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Invité
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Invité
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Elvis Brigham
| Sujet: Re: you're mother theresa. Mar 8 Mai - 19:16 | |
| Merci beaucoup.
Alizé, clandestino, niño. Cam, l'ours? l'ours? non mais oh, ça va pas se passer comme ça, rabbit. (j'sors même ton smiley fétiche pour l'occasion) Raph, et moi j'te balance les Village People : - la classe. Satya, ose ose, j'ai ris comme une débile, alors que j'm'y attendais. j'te retourne le compliment pour ton avatar, d'ailleurs.
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| Sujet: Re: you're mother theresa. | |
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