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| CLIFF RHEON ♠ i tell you man, violence can solve anything. | |
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Invité
| Sujet: CLIFF RHEON ♠ i tell you man, violence can solve anything. Mar 30 Nov - 4:00 | |
| ROKKU ♠
Cliff Rheon Clifton ♦ 17 yo ♦ Hétéro ♦ Vodka-Red Bull ♦ Lobe gauche percé, un tatouage sur l'avant-bras droit. J'aime la violence et le sexe. J'aime le SM. Pas toutes ces conneries de cuir moule-bite, de chaînes et de fouets à la con, nan, pas ces trucs-là, j'aime juste la frapper quand elle gémit, l'insulter de tous les noms les plus dégradants, j'aime lui faire du mal et du bien en même temps, j'aime l'obliger à dire et faire des trucs salaces que mêmes les moins prudes d'entre vous auraient du mal à entendre, j'aime y aller comme un bourrin, lui promettre parfois moins de violence mais la tirer par sa queue de cheval toujours plus fort.
J'aime pas les fouines, ni les pédés. J'aime pas ceux qui tendent leur cul, ni celles. J'aime pas qu'on me demande du sexe, j'aime qu'on me le suggère violemment. J'aime me battre, j'aime battre, j'aime le contact de mon poing sr la gueule d'un autre. J'aime pas qu'on me fasse chier, qu'on intervienne dans mes histoires, ni qu'on soit témoin de mes rackets. J'aime pas les chats, ni les vieux. Tous bons à crever. J'aime pas les fils à papa, les politiques qui font des promesses en l'air, j'aime pas les gens qui restent assis sur leur canapé alors que le monde bouge autour d'eux, j'aime pas les hippies et les pacifistes, j'aime pas le rock, j'aime le punk. J'aime pas la culture, j'aime pas les plans foireux, j'aime les résultats, les combats de chiens illégaux, la rue, les soirées où on tourne à l'alcool, la coke et l'ecstasy, le corps des femmes, avoir le dessus, MacDonald's, les chaussures de boxe, la rivière Avon qui passe à Bristol, mes trois petits frères, les bananes, le sexe et la violence, j'aime pas ma mère, les flics, le lycée, les photos, les touristes, les légumes, la reine d'Angleterre, les grèves, les centres commerciaux, les gens qui enfoncent des portes ouvertes, la facilité. J'aime pas ta gueule, et j'baise ta mère, connard.
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| ♦ ROKKU ♠ ♦ 19 yo ♦ 7/7 ♦ tout d'abord, super design (waw quoi), super contexte, tout est très tentant. deuzio, voilà, j'veux pas divulguer le nom de ma célébrité, j'voudrais le garder célèbre un peu pour moi toute seule, avoir le privilège de l'exclusivité on va dire. c'est mon dernier chouchou et cui-là j'le partage pas. donc pas de réservation d'avatar en son nom, j'm'en fous, et si jamais quelqu'un se ramène avec, je lui ferai savoir que j'étais là avant, x'). | |
Dernière édition par Cliff Rheon le Mer 1 Déc - 1:22, édité 6 fois |
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Invité
| Sujet: Re: CLIFF RHEON ♠ i tell you man, violence can solve anything. Mar 30 Nov - 4:00 | |
| All long the fucking life road.J'ai jamais cru au truc du "On frappe pas les filles". Chez moi, y a toujours eu qu'une règle : On frappe les emmerdeurs. J'ai eu pas mal de problèmes à cause de ça, mais j'm'en bats les couilles sévère. Comme diraient toutes les p'tites connasses qui veulent justifier mon comportement : « C'est pas de sa faute, son père a tiré sa mère et s'est barré, sa mère est alcoolique et a quatre fils de géniteurs différents ; ils ont pas beaucoup d'argent et Cliff a toujours eu des problèmes avec l'autorité parce qu'on a été trop dur avec lui ». Bollocks, ouais. C'est p'tet vrai, que mon père a sauté ma mère et l'a engrossée puis a taillé la route et qu'elle a sombré dans l'alcoolisme, que ma famille a peu d'moyens et qu'mes frères sont que des demi-frères, que j'ai été battu pendant toute mon enfance, mais ça c'était à raison. J'étais une lavette, j'passais mon temps à chialer, fallait m'endurcir. J'pouvais pas rester une petite fiotte éternellement, et j'ai moi-même choisi de régner. J'pouvais plus m'laisser marcher sur les pieds, fallait que j'réagisse. Alors maintenant, c'est moi qui écrase les pieds des autres, à coups de rangers et en serrant leurs boules dans ma main. Ils doivent être à ma merci, et tous les fils de pute qui croient que j'suis qu'une p'tite frappe, j'les défonce.
J'ai pas bonne réputation, c'est vrai. J'me suis fait expulser d'mon lycée une paire de fois mais rien de définitif, jamais, parce que y a eu ni délation, ni flagrant délit et qu'j'suis pas assez con pour m'laisser prendre. Les profs ont la grosse flippe devant moi, faut les voir se chier dessus lamentablement, une bande de tapettes qui sont devenues profs parce qu'ils étaient soumis. C'est ça, la vie, dominer, soumettre. J'ai choisi ma voie.
*
Mon poing était serré, et j'avais soulevé le gamin par son col de chemise, le plaquant contre le mur de l'immense bâtiment qui me permettait de faire mon racket tranquille. Une tête à claques, ce gosse, je la lui aurais bien éclatée si Veggie était pas arrivée. J'l'ai vue débarquer, quelques mètres plus loin, en tournant la tête car alerté par les bruits de pas. J'ai lâché le gamin que j'tenais à trente centimètres du sol, j'lui ai arraché sa PSP que j'aurai vite fait de revendre, celle qu'il tenait dans sa putain de main tremblante et j'lui ai dit de s'barrer vite fait, bien fait. J'l'ai pas frappé, parce que si je l'avais fait, il aurait eu un hématome ou saigné et m'aurait dénoncé. Là, pas de traces, juste de la terreur, ça suffit pour les gosses comme lui. Ca a pas loupé, il a détalé comme un connard de lapin et Veggie est arrivée à ma hauteur, m'a foutu un pain dans la gueule et vas-y que j'te l'ai attrapée par le poignet et la hanche, retournée et plaquée à son tour contre le mur. J'la gratifie d'une main baladeuse sur son cul et un « Tu dis plus bonjour, Veggie ? ». J'vois son visage de profil qui me sourit narquoisement entre ses cheveux bruns. J'lui mords le cou et la retourne encore, comme une vulgaire poupée de chiffon. Elle monte son genou entre mes jambes et menace clairement mes bijoux de famille : « Tu peux rêver Clifton ». Une de mes mains attrape ses poignets au-dessus de sa tête et l'autre défait son bouton de pantalon et passe la barrière de ses vêtements, s'aventure dans les méandres de son intimité, et ça lui arrache un soupir d'appréciation. J'lâche ses poignets et j'la giffle. Ca continue comme ça pendant quelques minutes, jusqu'à c'qu'on finisse tous les deux pantalons aux pieds. Je l'insulte et la frappe quand elle gémit, elle me mord, me griffe jusqu'au sang ; et, quand je jouis, elle me cogne. C'est toujours comme ça, avec Veggie. On finit toujours avec des putains d'ecchymoses et parfois avec un coquard, mais c'est le jeu. Et y a pas à tortiller, on s'amuse vachement bien.
**
« LAISSE CETTE BIERE LA OU ELLE EST, CLIFF, TU M'ENTENDS ?! » « Va te faire foutre, tu peux te la mettre au cul ! » « CLIFF ! REVIENS-ICI ! TOUT DE SUITE ! LAISSE-MOI MA BIERE ! » « Va te faire mettre, que j'te dis, j't'emmerde ! » « C'EST MOI QUI PAYE LES BIERES, C'EST LES MIENNES, ALORS TU RAMENES TON CUL DE FILS D'ENCULE DE MERDE ET C'TE PUTAIN DE BIERE AU PASSAGE ! » « Ouais, c'est ça, parle à mon cul, c'est moi qui ramène les thunes à la maison, donc j'boirai toutes les bières que j'veux ! » « CLIFF, AU PIED, MAINTENANT ! [...] »
J'l'écoute plus gueuler, elle me les brise. C'est toujours comme ça. Y a pas un jour où elle me casse pas les couilles pour sa putain de picole. Qu'elle aille se faire mettre, elle sait bien le faire, ça, tendre son cul à tous les mecs qui passent dans le coin ! J'm'enferme dans ma chambre, enfin, notre chambre. Nos 15 m² qu'on partage à quatre, mes trois p'tits frères et moi. Aucun d'entre nous n'a le même père, mais on s'en fout, car aucun d'entre nous n'a vraiment connu le sien. Ma mère est une putain d'alcoolo qui ramène tout ce qui a une queue entre les jambes et qui veut bien se branler sur ses seins flétris dans son plumard, qui est, accessoirement, notre canapé. Elle se laisse sauter misérablement et on l'entend hurler à travers tout l'appart'. Se protéger ? J'sais même pas si elle a déjà entendu parler de la capote, ou même du retrait, elle s'en fout. C'est comme ça qu'elle a eu quatre fils, et j'attends avec impatience le jour où elle sera enfin putain de ménopausée. J'm'approche de la p'tite fenêtre et m'installe sur le rebord, commence à me rouler un pétard et j'vois Jamie, le plus vieux de mes cadets, douze piges, attraper discrétos ma canette de bière. J'pose consciencieusement mon début de roulage de bédo devant moi, me lève et le giffle sur le haut de la tête, récupérant ma binouze : « Lâche ça, Jam', fais tes d'voirs ! ». Il a l'air d'humeur taquine, ce soir, puisque, quand j'me rassieds sur mon bord de f'nêtre, il s'approche de moi et me lance « Tu pourras me faire goûter ton pétard ? ». Quel petit con. « Tu rêves, mon p'tit, allez, j't'ai dit quoi ? Va faire tes d'voirs ! » « J'en ai pas. » « Travaille quand même. » « J'ai pas envie, moi, fous-moi la paix. » Bam, j'lui en colle une autre. « Tu bosses, un point c'est tout, et j'te l'ai déjà dit, respecte ton aîné ! Tu veux pas finir comme maman, sans taff et à vivre sur c'qu'un d'tes gosses te ramène comme thunes à la maison, sans te soucier d'autre chose que d'savoir si y a du whisky dans l'placard ? » « Tu fais jamais tes devoirs, toi, c'est toi qui vas finir comme maman. » Il me cherche, c'est pas possible ! J'suis pas d'humeur, il me les brise, j'me lève, j'l'attrape par le col, j'le balance sur son lit en lui serrant le cou : « J't'ai dit quoi, ducon ? Tu m'parles autrement ? Et la ramène pas, j'te rappelle que celui qui nous fait tous vivre ici, c'est moi, alors tu fermes ta gueule et tu bosses. » Il ronchonne dans sa barbe et me laisse enfin tranquille, prend un bouquin de chaispasquoi et l'ouvre, le feuilletant en soupirant. J'm'allume mon pèt' en regardant dehors. C'est tout calme, pour une fois. Je tourne la tête vers Jamie et finis par me lever et m'asseoir à côté de lui, je lui tends le joint entre mes deux doigts et j'vois sa main l'approcher : « Nan. Une taffe, t'as pas besoin de tes doigts, c'est moi qui dose ». Il approche sa bouche et pose ses lèvres sur la cale, tire une mini-bouffée que j'interromps en lui retirant le bédo. Il tousse, s'étouffe, et ça m'fait bien marrer : « Voilà, t'as eu c'que tu voulais, tu craches tes poumons, et que j'te voie pas fumer, Jam' ». J'me rassois à la fenêtre, je réfléchis, je pense, j'me laisse aller dans mes monologues internes, quand j'en suis soudainement sorti au bout de deux minutes par des bruits de pleurs dans la pièce d'à côté. Je soupire, putain, mais on peut jamais être tranquille dans c'putain d'appart' ? J'cale mon pèt' entre mes lèvres, regarde Jamie en lui disant de pas bouger, j'ouvre la porte de not' chambre et en sort. Rubber, le p'tit dernier, 6 piges, est en train de chiourmer toutes les larmes de son corps, une main sur l'oeil. J'l'attrape par la taille et le soulève pour le prendre dans mes bras, et j'entends ma mère gueuler. J'lui crache à la gueule en guise de réponse et j'embarque Rubber dans notre piaule, et Peter au passage, qui attendait près de la porte. J'lui en colle une, une fois qu'on est enfermés dans la pièce : « Tu pouvais pas défendre Rubber, toi ? T'es son grand-frère, c'est ton rôle ! » « Maiiis putain, Cliff, arrête de me taper ! T'es toujours en train de me taper, c'est pas juste ! » « C'est qu'tu l'mérites, sors-toi les doigts du cul, Pete ! Allez, mets-toi au travail, j'ai vu qu't'avais des exercices de maths à faire. Rubber, viens-là. » Rubber s'approche et s'assoit à côté de moi, sur mon lit ; j'soupire, il enlève ses mains de son oeil et renifle bruyamment en pleurant à moitié. Un bleu commence à se dessiner autour de son arcade qui saigne. J'avale une gorgée de bière et attrape un tee-shirt qui traîne sur l'étagère au-dessus de mon plumard. J'la presse contre le haut droit de son visage, lui passe une main fraternelle sur la nuque et lui dis de s'allonger. J'me lève, j'leur ordonne de rester là, j'ferme la porte derrière moi et j'vais jusqu'à la télé, que j'éteins. C'est bien le seul truc pour faire lever le gros cul gras de ma putain de mère de son fauteuil. Elle saute sur ses jambes, m'attrape par les épaules en hurlant, me frappe, je riposte. On se tape sur la gueule en gueulant pendant un bon quart-d'heure, et j'finis par claquer la porte de l'appart' et sortir du HLM minable dans lequel on vit. J'ai fait tomber mon joint pendant la bataille et j'ai laissé mes clopes sur la fenêtre, ma bière aussi. Putain. J'suis en bas, au milieu des barres d'immeubles, et j'croise Garrett. Qui hausse un sourcil à ma venue : « Tu veux quoi ? » « Lâche-moi une clope, Garrett » « C'est comme ça qu'tu négocies les prix, mon vieux ? Tu veux pas non plus que j'te lâche un taz ou d'la weed gratos, ça va ? » « Joue pas au con, lâche-moi une clope » « C'est pas bien joli d'taxer des clopes à son dealer, mec, c'est pas comme ça qu'on s'fait bien servir... » « Ecoute, si j't'emmerde, j'peux aussi aller m'fournir ailleurs et trouver bien mieux que la merde que tu vends, mais comme j'suis ton plus gros client, tu vas m'dépanner une clope, hein, parce que tu voudrais pas perdre la moitié de ton pauv' business ni toute ta clientèle au passage, right ? » « … Va te faire foutre, Clifton ». Il me tend une clope que j'attrape et j'le r'mercie d'un coup d'boule : « J't'ai déjà dit d'pas m'appeler Clifton, enculé d'tafiole, pour toi c'est Rheon ». J'me barre. J'me doute bien qu'il va dire à ses copains d'venir me démolir la gueule dès ce soir, mais j'm'en bats les couilles, c'est qu'un pauv' branleur c'mec.
***
J'ai jamais été bien pote avec les types de mon lycée. J'suis l'rebut d'la société, celui qui s'assoit au fond de la classe et qui en branle pas une. Faut dire qu'on est tous un peu comme ça, dans ma classe, mais j'dois être le pire. Les gens s'en foutent plein la gueule, s'insultent, passent aux mains parfois, mais j'suis bien le plus colérique. Celui qu'on cherche et devant qui on finit un peu par se débiner. J'suis au courant d'toutes les rumeurs qui circulent sur ma gueule et j'en ai rien à foutre. Mais on sait que j'peux fournir de la beuh à une armée entière si il faut, que j'ai des bons contacts, et c'est pour ça qu'on m'a invitée à c'te putain d'soirée. J'y suis allé pour écouler d'la beuh et quelques taz, et voir c'que ça donnait... Mais tous, ils étaient pathétiques. Bourrés comme des coings au bout de quelques bières, à s'rouler des patins, à s'tripoter à moitié au milieu du salon. Appuyé contre un chambranle de porte, j'observais la scène d'un air emmerdé. Ca faisait quoi, 10 minutes que j'avais bougé d'là que pour choper une nouvelle bière, et que j'me f'sais chier comme un rat mort. J'parlais à personne, j'en avais rien à foutre de leurs gueules, et personne me parlait, et c'était tant mieux. Mon r'gard fatigué dévie des quatre personnes qui font un début d'partouze par terre, entre les canap's, ils s'y prennent comme des pieds et j'vois une fille commencer à branler un mec sans vraiment conviction, j'le plains, et tout d'suite j'me dis qu'j'suis mieux là sur mon chambranle qu'au milieu d'leur p'tit gang bang, mais que j'ferais mieux d'me casser. Et j'vois une nana, sur un des canapés, qui a bien l'air de s'emmerder aussi. Elle esquisse un geste pour bouger, et en même temps, on s'fixe. Elle a une sacrée bonne gueule, et un corps bien avenant. Elle se lève, pour aller vers la cuisine, et m'balance un r'gard du genre « viens-là ». J'suis un dominant, mais j'la suis quand même. J'vais m'plier à ses désirs l'espace de quelques secondes avant de lui montrer qui a le dessus. J'crois qu'elle a la même envie qu'moi. Baiser.
Elle se grille une blonde et, d'un geste de la main, j'lui fais comprendre qu'elle doit m'la filer, sa clope. « J'partage pas avec les inconnus ». Connasse. « Cliff » « Vega ». Pas d'« enchanté(e) », pas de blabla inutile, elle en vient plus vite que moi au fait, cette chienne. On dirait qu'j'suis bien tombé. Elle me fout son pied contre le cul, sa cheville contre mes balloches, et m'attire contre elle. Elle veut prendre cher, ça, c'est sûr, et j'risque de pas tant perdre mon temps que ça. Intéressante, elle est intéressante, cette nana, et j'l'ai même pas encore touchée que j'me dis que j'vais pas tirer mon coup comme un enculé et me casser après. J'vais profiter, et surtout, lui faire profiter, j'vais lui apprendre. J'caresse ses cuisses du bout des doigts et les remonte jusqu'à la base de ses jambes, qui s'écartent pour me laisser me placer contre elle. Elle frôle mes lèvres des siennes, me souffle la fumée doucement dans la bouche. J'l'inspire, et j'l'expire par le nez. J'dis rien, pourquoi j'dirais quelque chose ? Elle fait ça très bien, parler : « T'sais Cliff... J'm'ennuie. » Oh et bin tu vas pas t'ennuyer longtemps ma salope, tu vas voir c'que tu vas prendre. Elle passe sa langue sur mes lèvres, y laissant le goût amer et doux de la clope. L'emprise de ses jambes se serre autour de mes hanches et j'donne un p'tit coup de rein dans le vide, très léger, très lent, juste pour la mettre en appétit. Elle tire une barre, puis met la clope entre mes lèvres. Je prends une bouffée à mon tour et ôte la cancérette de ma bouche, la laissant entre mon index et mon majeur gauches, que je repose sur sa cuisse. On finit c'te clope, j'balance le mégot sur le sol de la cuisine, rien à foutre, elle pose ses mains sur les miennes et m'embrasse. J'lui rends son baiser, et, en reculant légèrement la tête, j'sens ma lèvre inférieure coincée entre ses dents. Elle me mord. Et pas bien doucement, en plus, elle me cherche vraiment... J'grogne. « Fais-moi mal, Cliff... ». On a du entrer en télépathie à un moment ou à un autre, faut croire, pour qu'elle me demande de lui faire mal. C'est comme un fantasme en commun qu'on est sur le point de réaliser. J'souris de toutes mes dents et passe une main dans sa nuque que je caresse, je remonte vers ses cheveux que je tire violemment en arrière pour lui faire basculer la tête et venir croquer dans son cou. Je garde pas mes vêtements bien longtemps, elle non plus. On ne parle pas, on ne hurle pas de douleur, et pourtant on a mal. Elle a pas besoin de me demander pour que je saute l'étape des préliminaires et n'y aille pas en douceur, ni même pour que je la frappe, pour que je lui chuchote des insultes en lui mordant le lobe de l'oreille, alors que ses ongles me lacèrent le dos et le cul, qu'elle me laisse des marques violettes de morsure dans le cou et qu'elle me pince jusqu'à m'en faire des ecchymoses. La jouissance arrive simultanément pour nous deux, et je reste encore un peu en elle après ça. A l'oreille, je lui murmure, tout en tirant encore ses cheveux, mais cette fois moins violemment : « Alors ma cochonne, on aime ça, hein... » Elle rit, je souris. Je la gifle, elle me fout un pain. Elle est pas bien épaisse, mais elle manque pas de force. Ou plutôt, je dirais qu'elle sait frapper correctement. Que ses coups sont pas aléatoires et ne frappent pas là où ils peuvent frapper. Elle s'y connaît, c'est sûr, et c'est plaisant. J'me retire, j'remets mon caleçon, mon pantalon, et j'la regarde enfiler sa culotte avec un air lubrique. J'attrape son paquet de clopes sur le plan de travail de la cuisine avant qu'elle ait pu esquisser un geste, lui en tire une que j'allume. J'me penche pour ramasser mon tee-shirt et ma veste, et, cigarette entre les lèvres, sourire satisfait en coin, je lui lance : « I'll see you 'round, Veggie ».
Dernière édition par Cliff Rheon le Mer 1 Déc - 1:22, édité 1 fois |
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Invité
| Sujet: Re: CLIFF RHEON ♠ i tell you man, violence can solve anything. Mar 30 Nov - 4:33 | |
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Invité
| Sujet: Re: CLIFF RHEON ♠ i tell you man, violence can solve anything. Mar 30 Nov - 6:02 | |
| Comme ton homologue voila une début de fiche assez bluffant *-* Il ne donne qu'une envie, découvrir la suite, et viiiiiiite (a). Tu ne fait qu'attiser ma curiosité pour ton avatar qui d'ailleurs est plus que craquant mais pour ma part pas de soucis si tu veux garder un peu de mystère. Enfin merci beaucoup pour les compliments . |
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Mateuzs F. Kaczmarczyk
| Sujet: Re: CLIFF RHEON ♠ i tell you man, violence can solve anything. Mar 30 Nov - 6:13 | |
| OMG Cliff comme Cliff Burton et Rheon comme Iwan Rheon ( et là, vous allez tous me dire " hein ? Qu'est-ce que tu racontes comme connerie encore ?"). J'y peux rien, j'adore les deux ><
En tout cas, pour le moment, j'adore ! Bonne chance pour la suite !
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Invité
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Invité
| Sujet: Re: CLIFF RHEON ♠ i tell you man, violence can solve anything. Mar 30 Nov - 11:50 | |
| Tout d'abord, merci à vous 3 <333
NAFANAIL ; Owww Max <33 Merci pour les compliments sur la fiche, ça fait plaisir. Il va être un peu dérangé le Cliff mais je l'aime déjà <3 Quant à l'avatar, je te remercie, je suis sûre qu'un de ces jours je vais faire une boulette mais d'ici là, I keep my mouth shut :p ♥
MAYBELLENE ; Wow, Ranya, ça faisait longtemps que je l'avais plus vue (choix original, donc :)) Cliff Burton, eeuh... C'est qui ? ^^" Mais bien comme Iwan Rheon, you're right, fan de Misfits un jour, fan de Misfits toujours ! (j'étais surtout en super panne d'inspi pour le nom de famille et je parlais à une pote de Misfits donc...) Merci également pour les compliments. ^^
NOE ; Tu crois que je t'avais pas reconnu ? x) Il m'a suffi de voir le pseudo et l'avatar pour te reconnaître x) Mais dis-moi, tu joues tous les mêmes avatars que moi ou quoi ? XDDD Randy, Micky, Yuri... XDDD (enfin Yuri, ♥)
Bref, merci <3
Et euh... La suite cet aprem à priori, (et si vous êtes chanceux et que je révise pas la fin ce soir XD). :) |
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Invité
| Sujet: Re: CLIFF RHEON ♠ i tell you man, violence can solve anything. Mar 30 Nov - 13:55 | |
| Bienvenue! Bon j'vais faire dans l'originalité et exprimer mon admiration pour ce début de fiche prometteur *¬*
- Spoiler:
- Cliff Rheon a écrit:
- J'aime pas ta gueule, et j'baise ta mère, connard.
Comment j'suis fan *bam*
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Mateuzs F. Kaczmarczyk
| Sujet: Re: CLIFF RHEON ♠ i tell you man, violence can solve anything. Mar 30 Nov - 14:37 | |
| :) Cliff Burton, c'était un bassiste d'un groupe de métal bien connu, décédé =( ça fait du bien de voir un fan de Misfits, j'suis totalement adepte de cette série ! |
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Invité
| Sujet: Re: CLIFF RHEON ♠ i tell you man, violence can solve anything. Mar 30 Nov - 14:48 | |
| Tu joues aussi Micky ? Moi qui croyais être unique en mon genre x)) On doit avoir les mêmes gouts en matière de mâle (a)
Et bien on est trois pour Misfits X3 D'ailleurs le dernier épisode en téléchargement ♥ |
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Mateuzs F. Kaczmarczyk
| Sujet: Re: CLIFF RHEON ♠ i tell you man, violence can solve anything. Mar 30 Nov - 15:13 | |
| L'épisode 3 de la saison 2 ? é_è J'l'ai pas encore moi ! |
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Invité
| Sujet: Re: CLIFF RHEON ♠ i tell you man, violence can solve anything. Mar 30 Nov - 15:19 | |
| ALEXANDER ; Wah, merci <333 Ca fait plaisir de voir que vous appréciez le début de ma fiche, tous <33 MAYBELLENE ; Ah ouais, le batteur de Metallica. J'suis pas fan de metal, j'suis plus rock old school moi, mais si j'ai choisi Cliff c'est d'une parce que j'trouvais que ça sonnait bien, et de deux parce que Heathcliff Ledger quoi x) T'as pas encore vu l'épisode 3 ? :O Je l'ai regardé vendredi soir, moi, j'attends même pas la VOSTFR j'tiens aps sinon ! (l'épisode m'a un peu déçue par rapport au 2, mais il reste génial). NOE ; tu apprendras que je joue tout le monde avant tout le monde x') (non je déconne, mais Ash, Yuri, Micky, Mikus, Sean, Robbie et bien d'autres, j'ai du être la première à les jouer, ahah. Au pire on s'en fout). Mais c'est coool de voir quelqu'un qui a les mêmes goûts modellesques que soi <33 Bref, je suis rentrée chez moi et n'aurai probablement pas la possibilité d'aller en cours demain (neige), donc ma fiche devrait vite arriver |
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Invité
| Sujet: Re: CLIFF RHEON ♠ i tell you man, violence can solve anything. Mar 30 Nov - 16:19 | |
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Invité
| Sujet: Re: CLIFF RHEON ♠ i tell you man, violence can solve anything. Mar 30 Nov - 16:21 | |
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Mateuzs F. Kaczmarczyk
| Sujet: Re: CLIFF RHEON ♠ i tell you man, violence can solve anything. Mar 30 Nov - 16:59 | |
| Han, je lu qu'il se passait un truc entre Simon & Alisha, c'est tout... >< Faut trop que j'vois l'épisode !
bref bref, j'arrête de flooder ! Je me réserve juste un lien à l'avance avec ton perso :) |
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Invité
| Sujet: Re: CLIFF RHEON ♠ i tell you man, violence can solve anything. Mar 30 Nov - 17:06 | |
| - Noé S. Bomer a écrit:
- Tu joues aussi Micky ? Moi qui croyais être unique en mon genre x))
On doit avoir les mêmes gouts en matière de mâle (a) De même, j'ai utilisé Micky pour un pv d'ici parce que juste lui, c'est l'homme, le mâââle dont on rêve *-* |
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Invité
| Sujet: Re: CLIFF RHEON ♠ i tell you man, violence can solve anything. Mer 1 Déc - 1:25 | |
| MAYBELLENE ; Avec plaisir pour le lien :) Et pour Simon/Alisha, ahah, j'dirai rien <3
NAFANAIL ; Ah bah comme quoi. x) Mais bon, j'suis d'accord, Micky est Le Mâle <3 Il est parfait ce garçon (il manque un poil de pec' et d'épaules, rien de bien gros, juste histoire que ses os ressortent moins ; mais quand on voit sa jolie paire de fesses, y a plus rien à dire ♥).
Bref.
FICHE TERMINEE \0/ |
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Mateuzs F. Kaczmarczyk
| Sujet: Re: CLIFF RHEON ♠ i tell you man, violence can solve anything. Mer 1 Déc - 19:04 | |
| OMG L'histoire de ton perso, enfin la partie avec Vega à la fin me rappelle le clip Hurricane de 30STM que j'viens de regarder >< Brefouille, je te valide et te mets uniquement en INKY, même si ton perso vaut largement un Pinky, mais bon, je veux attendre de voir au niveau RP pour que le perso puisse évoluer !
Bon RP à toi :) |
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Invité
| Sujet: Re: CLIFF RHEON ♠ i tell you man, violence can solve anything. Mer 1 Déc - 19:45 | |
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Dead Pixels
| Sujet: Re: CLIFF RHEON ♠ i tell you man, violence can solve anything. Sam 4 Déc - 8:43 | |
| ROKKU, trop bien t'es genre la meuf qui aime trop plein de mannequins mâles qui sont tous trop beau :wow: bref, bienvenue sur STV j'espère que tu te plairas bien ici ( de toute façon t'as intérêt ) |
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Invité
| Sujet: Re: CLIFF RHEON ♠ i tell you man, violence can solve anything. Sam 4 Déc - 10:54 | |
| La seule et l'unique x) (d'ailleurs ta CE arrive ce week-end ;)) Merci bien, en tous cas, et puis je m'y plais déjà <33 |
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Invité
| Sujet: Re: CLIFF RHEON ♠ i tell you man, violence can solve anything. Sam 18 Déc - 15:53 | |
| Hep, hep, j'ai trouvé qui est le beau mââle de ton avatar, et par hasard en plus sur tumblr ! Initials CW ;) |
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Invité
| Sujet: Re: CLIFF RHEON ♠ i tell you man, violence can solve anything. Lun 20 Déc - 13:53 | |
| Héhé, t'es pas la première, Noé a été plus rapide ! x) Exact, exact, mais chut, pas un mot (x |
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| Sujet: Re: CLIFF RHEON ♠ i tell you man, violence can solve anything. | |
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| | | | CLIFF RHEON ♠ i tell you man, violence can solve anything. | |
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