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| bras de fer, je suis le maître des enfers | |
| Auteur | Message |
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Invité
| Sujet: bras de fer, je suis le maître des enfers Sam 19 Fév - 18:03 | |
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Pensée involontaire, moi j'suis en dehors de la sphère. Un pied devant l'autre, un pas contre l'autre. Je rigole tout seul, seul reprit de ma camisole. Sans personne à mettre au sol. Un peu drogué, juste légèrement névrosé, oups pardon défoncé devrais-je dire. Un rire illusoire je bute contre le trottoir. Dites elle est où l'échappatoire ? Il fait pourtant pas si noir. Elle est où notre foutu maison ? Dites pourquoi j'suis pas sortit avec ce c** ? Pourquoi pas avoir ramené ce canon ? Oui j'aurais dû ramener la fille plutôt que de l'amener lui hors de la maison. Il est où mon briquet chéri, ne me dites pas que lui aussi il est partis ? Laisser là pour seul, laisser ici sans personne. Je chancelle, je me courbe, acide dans la bouche, ça remonte dans la gorge, ça sort entre les lèvres et je hoquet plier en deux. Jamais quand il le faut ce merdeux. Je marche, non je trottine, quitte à vouloir voir du noir, plus vite ainsi les étoiles seront éclipser, à courir vite j'pourrais peut-être les devancer. Alors je continue de courir, je tiens plus trop debout, je ris, je perd le souffle, je tourne, je divague entre deux vagues, la mer cris et le rayon du phare me frôle, drôlement réel ça ressemble à un Honda. Je ris, me tenant aux poubelle, n'ayant pas envie de finir plus bas. Ha le voila enfin, notre petit logement arrogant. Un à un, j'monte les escaliers du palier, plus de précise j'tente de pas sans maitrise. Déséquilibre, je m'effondre, baaam contre la porte, vacarme de tonnerre je me met à l'appeler, aller il est temps d'être réveiller pour s'occuper de mon moi défoncé, sans possibilité et sans aucun réflexe.
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| Sujet: Re: bras de fer, je suis le maître des enfers Dim 20 Fév - 18:52 | |
| Il claque la porte et c'est sans retour. Il m'abandone dans notre tour d'ivoire calcinée et commence le compte à rebours. Des heures durant je serais raiponce pleurant son impossible liberté. Un jour c'est avec mes propres cheveux que je m'étoufferai. Ou les siens que comme le reste, de force il me fera avaler. Du gaz empoisonné. C'est ce qui sort de ses lèvres que je ne me lasse de désirer. C'est ce qui me fait délicieusement planer. Et j'ai tout à envier, tout à pleurer. Je reste devant cette écran illuminé pour jouer. Jouer à en gerber. Jusqu'à c'que mon esprit se meurt de pixels frelatés. Un casque vissait sur les oreilles et une musique hurlée. Défile des bonhommes aux couleurs agressives et au gestes saccadés. Jeux vidéos pour oublier. Un air électronique me rompt les tympan jusqu'à même m'empêcher de penser. Alors je me relève j'attrape de la coke mais n'ose pas l'avaler. Peur de tout ce que cela pourrais bien donner . Puis-je délirer pour le baiser ? Dans mes pensées je rêve de son corps de tortionnaire passionné. C'est fait. Voilà tout est sniffer. Plus rien sur la table tout dans mon sang et mon cerveau... Oh... Tout devient beau. C'est si rare que j'en pleurerai. Mais je choisie plutôt son tee-shirt pour me masturber. Dans ses draps que trop de filles ont visitées. Je sens le plaisir monter. Violence surprenante et mon prénom crier. Merde il est déjà rentré ?! Mais jusqu'à quel heure Silent-Hill m'a t'elle accaparée ? Rapidement je bondis sur mes pieds. Vu le bruit, vu le ton incertain et dictateur à la fois... J'ai intérêt à me bouger et ne pas froisser ses lois. J'arrive mon sadique rois. Mes mains tremblent et je suis toujours horriblement excité. Mon dieu, calcinateur adoré il est temps de me sauver. Ne le laisser rien remarquer. Ni son tee-shirt froissé et son boxer qui à eux deux m'habillent en trace inéluctable de ma culpabilité. Non jamais Hadès, c'est pas dans tes affaires que j'était entrain de me branler. J'ouvre en suppliant pour qu'il soit trop déchiré pour remarquer mes joues à la rougeur coupable. Et je le vois, affalé au sol, tellement adorable. Je me penche à sa hauteur et le relève comme je peux. Je le soulève en maudissant mes dieux. En haïssant son corps contre le mien si envieux. Fantasme blond. Pauvre con. T'a vu ton état ?! J'te fou sous la douche Dès'... Oh oui c'est ça ou... Il vaut mieux pas que j'en parle on deviendrai fou. On deviendrai quelque chose trop proche de nous. Et justement on ne ressemblerai alors plus à rien du tout. Son menton calait sur mon épaule j'arrive jusqu'à la salle de bain. Faite que vite arrive demain. Je le lâche précautionneusement dans la baignoire et lance l'eau gelée. Moi même je sens la drogue embrouillé mes pensées. Je me refuse même à la déshabillé. Trop, oh oui beaucoup trop risqué.
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| Sujet: Re: bras de fer, je suis le maître des enfers Dim 20 Fév - 21:22 | |
| Un bruit. La porte s'ouvre enfin, soupire. Mais ce qui suit c'est mon rire, parce que oui il est bel et bien ce soir encore là, à venir quand je le sonne. Je ris un moment, mes neurones semblant ne pas vouloir s'arrêter, ou alors ne sont plus là pour le commander, que sais-je. Il a les joue rosies, il fait si chaud ? Ça me fait rire de plus belle, ça mais c'est intérieur évidement. T'a vu ton état ?! J'te fou sous la douche Dès'... Mon état ? Quoi mon état ? son air blasé, fautif mais de quoi ? Je suis mal à ce point ?!Neurones en décomposition emblématique. Il me soulève difficilement et je vois le sol s'éloigner, oh levé cosmique. Je trébuche, marche et avance appuyer contre lui. T'as quelque chose contre mon état ? Bon ça a mis du temps à sortir mais tant pis, quoi il a quoi mon état ? Moi je suis bien, moi je plane loin loin de tous ça. J'suis plus le taré égaré, plus l'enfant assassin explosé, j'suis juste moi. A moins que ce soit ces définitions qui me fasse moi ? Interrogations à la c**, je vois la salle de bain venir à nous, ou nous y aller que sais-je encore une fois. Baignoire qui me reçoit alors que je me laisse tomber lamentablement, les murs tremble, je plafond bouge, des rires teintent à mes oreilles. Rires des fée lumières, celles qui sortent le jours avec mon briquet. Alors que je cherche mes repères, un monstre ignoble vient me frappé. Un jai d'eau plus que glacée. J'veux hurler, j'fais que protester, zut pas si froid ma peau veut pas. J'essais de tourner le boutons, mais j'vois double, ah non il bouge juste trop vite. En faite l'eau est froide mais j'ai chaud, non je sais pas. J'suis mouillé. Pauv' con j'suis trempé...mouillé...tout mouillé Je me tord, j'enlève mon tee-shirt , ma tête bouillonante, mon jeans colle et veut pas se retirer. Dea' bouges ton cul....j'y arrive pas!! Je lui aboie dessus, oh le chien tu t'occupes de moi ?!
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Invité
| Sujet: Re: bras de fer, je suis le maître des enfers Dim 20 Fév - 21:48 | |
| T'as quelque chose contre mon état ? Tout et rien à la fois. J'ai des griefs énorme contre ton état mais les dire j'ai pas vraiment le droit. N'est-c'pas ? Je suis soumis, docilement à tes lois. Je suis un chien qui obéi mais jamais n'aboie. Mon espoir se noie. Je ne veux que ce toi qui ne sera jamais entre mes bras. L'enchanteresse avait-elle raison contre tout ce que je crois. C'est elle qui marchait droit ? Je l'emmène dans un lieu au carrelage froid. Nos esprits réussirons peut-être à être d'accord pour une fois ? Mais stoppe je ne porte plus ma croix. Tu ne l'entend donc pas cette lente mort dans ma voix ? Une fois sous le jet d'eau il commence à s'agiter. Il n'a rien capté et au moins cela m'a un peu calmé. Temps qu'il n'est pas en état de comprendre mon horrible culpabilité. C'est surtout comme ça j'suis toujours à deux doigts de me faire coincer. Mais j'doit avoir un semblant de chance au milieux de ratés. Pauv' con j'suis trempé...mouillé...tout mouillé. Dea' bouges ton cul....j'y arrive pas!! Mon coeur s'emballe, trop de battements sont loupés. Au secoure il est entrain de se déshabiller. Je vais le violer... Je suis totalement paralysé. Son torse qui m'est exposé et mon corps qui se met à bruler. Hadès fait pas ça c'est plus l'heure de m'enflammer. Laisse l'eau t'apaiser et moi.... Je euh... pa-pardon oui... Mais mes mains restent en suspens sans s'abaisser. Je n'ose le toucher. Je veux l'embrasser. De l'aide par pitié ! Je me jette à genoux, mon éjection toujours pas passer étant ainsi cacher. Plaquer à la baignoire glacée, tremblant comme un gosse paniqué. Je l'aide finalement à se déshabiller. Et quand enfin il est nu je grimace t'en mon désir est frustré. S'en est douloureux la façon dont il me fait bander. T-tu ve-veux au-autre chos-chose ? Je le dévore du regard et ne cesse bégayer. Alors je baisse les yeux sur la faïence blanche et attende que mon maitre se décide à reparler.
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Invité
| Sujet: Re: bras de fer, je suis le maître des enfers Dim 20 Fév - 22:07 | |
| Je me débat avec mon jean trempé qui colle à mes jambes trop fatiguées. Bon ok j'ai peut-être trop abusé, j'veux bien l'accorder ce soir. Mais pas en état total de trop me voir. Je euh... pa-pardon oui... C'est pas trop tôt imbécile. Il tire mon pantalon, hé mon boxer il va partir, j'enlève mes chaussures et finalement quitte ce boxer trempé. Aucune pudeur ? Ce n'est que devant lui que je suis, le mec qui me suit depuis tout petit, celui qui m'est juste totalement soumit. Il semble vraiment pas bien c'te gland. Quoi il a quoi ? En manque de quoi ? De meuf ? Non lui y'a que ses jeux qui comptent. Je passe mes mains dans mes cheveux en arrière, buvant l'eau qui sort de la paume de douche. En faite j'ai froid ? Je sais même pas. T-tu ve-veux au-autre chos-chose ? C'est bien, bon petit chien soumit. Mais c'est quoi son fichu problème ? Il a quoi à être aussi blême ? Vas-y fixe le sol on dirait une poupée. Oui j'aime bien cette idée. Je ferme l'eau difficilement; me relevant en me fixant au mur, j'attrape une serviette. Elle tombe au sol et je comprend pas je croyais la tenir. Zut. Je soupire, dans ma tête je rie. J'veux que tu arêtes de bégayer, qu'tu me file cette maudite serviette, qu'tu m'trouve un plan -cul à trois heure du mat'...parce que j'suis débile j'ai viré l'autre tépu de tout à l'heure. Mais bouges toi du c**...allez!! Je trépigne en enjambant la baignoire, et le sol qui semble vouloir joue au sable mouvant me glisse entre les pieds. Oui oui juré. Et je me retrouve au sol, entre rire et râler. Juste totalement défoncé et incapable de bouger.
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Invité
| Sujet: Re: bras de fer, je suis le maître des enfers Dim 20 Fév - 22:23 | |
| Je respire par le nez. Puis non finalement c'est entre mes lèvres que je laisse l'air vibrer. Son odeur qui m'envahit n'est effectivement pas une bonne idée. Il est nu bordel ça ne devrait pas être autorisé. Je devrait demande à mettre en place une ordonnance l'empêchant de tout enlever. Calbar obligatoire. Enfin j'dit ça, j'ai pas beaucoup d'espoir. Il me rirait à la gueule avant de se foutre à poil exprès. Voir très certainement de baiser devant moi une pétasse péroxydée. Ça va Andea tu la vois bien ma b**e entre ses cuisses écartées ? Pas trop envie de pleurer et de te branler ? C'est pas délirant c'est ma vie. C'est ma maudite envie. Mon désir d'insoumis qui un peu trop obéi. Ou alors qui ne devrait pas tant lui dire oui. Mais que voulez vous je n'aime que mes pixels et lui. Alors si un ordinateur ne vous parle pas lui si. J'veux que tu arêtes de bégayer, qu'tu me file cette maudite serviette, qu'tu m'trouve un plan -cul à trois heure du mat'...parce que j'suis débile j'ai viré l'autre tépu de tout à l'heure. Mais bouges toi du c**...allez!! Il vient carrément d'essayer de marcher. Idiot Hadès t'es trop camé. Moi je tire sur le tee-shirt en essayant d'attraper la serviette sans trop l'approcher. Mais c'est t'es même pas en état de bander Dès'.... Va plutôt te coucher, j'vais t'aider. Prenant sur moi pour ne rien laisser transparaitre ni deviner. Je m'approche finalement et passe mes bras sous les siens pour le relever. J'arrive en position assise, le bassin en arrière pour qu'il ne sent pas combien je peux être excité. J'aimerai être une nana parfois se serait parfait. Absolument parfait. Je rêve d'aller jouer à ma psp. Dommage mais pensées me font tout louper et on se retrouve tout les deux par terre, collés. Ma tête s'est violemment cognée contre le rebord de la baignoire, j'suis complètement sonné. C'est que, c'est lourd mine de rien un enculé.
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Invité
| Sujet: Re: bras de fer, je suis le maître des enfers Lun 21 Fév - 16:14 | |
| Maison qui tourne à l'envers, vision que tourne de travers. Il obéit enfin c'te clébard bien dressé, parce que oui il a beau être aliéné, être tout ce que je veux, qu'il est fidèle j'peux pas le nier. Il se bouge sont cul, ouai vas-y vas me chercher un plan cul. Sauf que monsieur semble même pas entendre, ou du moins pas obtempérer, depuis quand il décide de oui ou non ? Il m'a bien entendu ? Mais c'est t'es même pas en état de bander Dès'.... Va plutôt te coucher, j'vais t'aider. Hein ? Pardon ? Depuis quand il se permet un tel affront ? Il veut que j'lui en colle une ? Il veut répondre de ses actes face à mon briquet ? C'est quoi son idée de minet ? Moi ? trop défoncer pour bander ? Même à l'articile de la mort j'serais capable de baiser, alors qu'il cesse de s'imaginer je ne sais quelle débilité. Qui t'es pour t'permettre ça ? D'puis quand t'as pas baisé ? Sais-tu même ce que veux dire bander ?! J'veux le frapper mais mes gestes sont pas accordé. J'le sens se bouger, et me filer la serviette qu'était tombée; bon au moins il me sert à quelque chose de temps en temps c'te débile pixelisé. Il passe ses mains sous mes bras, attend il pense sérieux que j'peux pas m'relever ? Je le peux si j'veux, enfin si la terre cesse de tourner, si tout cesse de tanguer, si le plafond cesse d'onduler comme si il fondait. Comme du chocolat qui dégouline, la comparaison me fait sourire, plastique ondulant dans mon feu, mon dieu. Alors qu'il me relève, je pousse pour me soulever, essayant de le faire tous seul. Mais déséquilibrer le sol se dérobe sous mes pieds; le sol bouge. Enfin le tapis s'active tout seul sous mes pieds, je perd pied, et avant de tout comprendre je me retrouve explosé au sol. Ah non pas si dure, sur lui alors ? Et bien oui finalement il sert à quelque chose ce débile éhonté. Je bouge un peu sentant son genou dans mon dos, sauf que... ses genoux sont pas là... Euh ...Dea' c'est quoi... ça... ? Sauf que mes pensées sont vite associé, je roule sur le côté, prenant la serviette, bam tête contre le mur, j'ai même pas mal, la coke et l'alcool ont ôté toute sensibilité. P*tain je rêve !!!! J'te fais bander sale c** !!! mais t'es un gros pervers et attardé pauvre imbécile. J'te fais tant d'effet ? Tu t'crois à la hauteur ?! Choqué, je lui ricane au nez, serviette sur les hanches, j'arrive pas à me relever, envie de le frapper, d'lui faire passer l'envie de sur moi fantasmer mais... pas moyen que mes gestes soient coordonné dans ce fichu corps défoncé...
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Invité
| Sujet: Re: bras de fer, je suis le maître des enfers Lun 21 Fév - 17:35 | |
| Qui t'es pour t'permettre ça ? D'puis quand t'as pas baisé ? Sais-tu même ce que veux dire bander ?! Aujourd'hui je répondrai que oui, malheureusement je sais. Beaucoup trop même puisque là c'est en être incapable que je préférerai. Il s'agite et il devrait pas il va nous faire tomber. Il va nous faire se scratcher par terre comme deux merdes droguées. Rectification c'est pas comme mais bien nous sommes deux daubes intoxiquées. Et comme je le dit ça n'a pas manqué. Je sens le sol s'éloigné pendant que le sol ne fait que s'approché. Une douleur aiguë m'assaille de toute part. Je reste immobile et hagard. Mes pensées sont totalement embrouillées. Mais alors Hadés ne semble pas s'en préoccuper. Non bien pire que je comprend qu'il a remarquer le pire de tout. Il a remarqué ma honte et sa crée dans ma bouche un sale goût. Comme de la ferraille, serait-ce du sang ? Merde je me suis mordu la lèvre très violemment en tombant. J'entre-ouvre les yeux pour le voir totalement hors de lui. J'ai honte putain je sais pas ce qui est pire entre la douleur dans ma tête ou sa colère à lui. P*tain je rêve !!!! J'te fais bander sale c** !!! mais t'es un gros pervers et attardé pauvre imbécile. J'te fais tant d'effet ? Tu t'crois à la hauteur ?! J'essai comme lui de me relever. Mais sa reste au simple stade d'effet. Grimace de douleur j'arrive difficilement à parler. Regarder... un p...porno... avant t'a... arrive ! Pour toi ? Aie putain... T'es trop pré.. prétentieux Dès... Je passe un main derrière ma tête le visage crispé. J'ai mal bordel faite que cette douleur soit effacée.
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Invité
| Sujet: Re: bras de fer, je suis le maître des enfers Lun 21 Fév - 19:10 | |
| Je l'observe dégouté, non mais il ose ainsi bander ? Bon ok on contrôle pas mais quand même, je le fais bander ! Une image s'impose à moi, où nous autres hommes nous pourrions contrôler cette trique atroce qui s'impose quand on veut pas. Je reviens à mes idées, oh j'vais pas déliré sur ses immondités. Il croit quoi ? Que j'suis PD ? Il me fixe plissant les yeux; quoi ? Il va encore essayer de mentir c't enculé ?! Regarder... un p...porno... avant t'a... arrive ! Pour toi ? Aie putain... T'es trop pré.. prétentieux Dès... Ma main part toute seule, bon je voulais viser sa tête, j'attendais le haut de sa tête; dingue ce décalage image/réel. J'suis pas prétentieux, j'suis ton Dieu pauvre imbécile. Je le fixe un moment, j'fais quoi ? C'te p'tit merdeux c'est aussi peu mentir que d'être intelligent ou désobéissant. Un porno ? Il sait ce que sait au moins ? Et...si je vais...regarder et qu'il y a rien à la TV...j'fais ...quoi ? J'te la coupe ta queue ?! Je le regarde féroce avant de dire amusé, j'essaye de me tenir au mur, rien à faire tout ici veut et semble tanguer, navire éhonté, en pleine mer chamboulée. Je tangue sur mes jambes, je retombe à genoux. Je le fixe, lueur mauvaise dans mes yeux, je le sais je le connais mon regard assassin. Je reviens vers lui, me colle à son corps débile, alors comme ça , mon corps il lui fout la trique ? Alors comme ça c'est mon corps qui t'excites ?! Et quoi... ? Tu t'branles en pensant à moi ? t'voudrais être une meuf, pour que ce soit ton tour, hein ? Je glisse à son oreille, provoquant, méchant, je m'appuie à la baignoire, tout autour de moi vacille et danse, jolie transe.
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Invité
| Sujet: Re: bras de fer, je suis le maître des enfers Lun 21 Fév - 19:45 | |
| J'ai envie de gémir mais je me retient. Je me sens faible petit chien. Chiot paniqué je vais me faire lapidé. Il a remarqué que je bandais. J'suis mort, mort et enterré. D'ailleurs à la flamme vacillante dans son regard je sais. C'est totalement fichu je vais me faire écartelé. C'est vif qu'il va me calciner. Vif que je vais me faire littéralement dépecé. Sans pitié mon bourreau n'a cure de ma douleur exacerbée. De mon crâne qui pulse comme fendillé. Et...si je vais...regarder et qu'il y a rien à la TV...j'fais ...quoi ? J'te la coupe ta queue ?! J'ai fermer la fenêtre, sur l'ordi... Tentative voué à l'échec absolu. Il me connait trop bien et découvrirai déjà s'il était moins défoncé ce trou du cul. Il pourrait voir que c'est ses fringues que je porte pour me branler. Que c'est dans son tee-shirt et son boxer que dès qu'il s'absente je vais me masturber. Enfin pour l'instant j'apprécierai qu'il se contente de la fermer. Peux t-il avant tout comprendre que je me suis blesser. Vu qu'il est tombe sur moi sans la moindre excuse énoncées. Jacky avait raison ou suis-je entrain de rêver ? Pourquoi soudain son attitude se met à m'insuportais ? Non ça doit simplement être cette fucking douleur qui ne veux pas me quitter. Hadès tu veux pas jouer les infirmière ? Non sérieux la j'ai l'impression d'avoir les neurones grouillant en enfer. Il vient se poser entre mes jambes, nos corps outrageusement rapprochés. Qu'est c'qui lui prend à l'autre enculé ?!! Je déglutie difficilement totalement perdu entre désir et douloureuses sensations dans mon corps malmené. Alors comme ça c'est mon corps qui t'excites ?! Et quoi... ? Tu t'branles en pensant à moi ? t'voudrais être une meuf, pour que ce soit ton tour, hein ? Quoi, quoi ?! Mais comment il peux savoir ça sur moi ? Help help je vais crever. De honte, de gène de toute cette impossibilité. Hadès... J'me suis fais mal s'il te plait... Je pose ma main sur son torse pour le repousser. Putain c'est pas possible j'ai pas débander ? Mais j'ai la main légèrement ensanglantée... Euh non vraiment Dès ferme la j'ai un mal au crâne effoyable je répondre à mon affront après, ok ?
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Invité
| Sujet: Re: bras de fer, je suis le maître des enfers Lun 21 Fév - 21:13 | |
| J'ai fermer la fenêtre, sur l'ordi... Pauvre c**, j'suis peut-être défonce mais pas assez débile pour gober tes mensonges à deux balles. J'voudrais frapper, t'exploser la tête contre le sol; mais tu sembles ailleurs et puis mes mains ne répondent guère à mes ordres. Tu évites le pire mais ce sera pas éternellement. Saches le. Je le fixe avec colère, non mais quoi ? Il me pense homo ou quoi ? Non mais qu'il aille fantasmer ailleurs, ou du moins qu'il aille bander plus loin; j'sais d'puis toujours que c'est de moi qu'il est amoureux...mais quand même pour le cacher il pourrait se débrouiller mieux ! Hadès... J'me suis fais mal s'il te plait... Euh non vraiment Dès ferme la j'ai un mal au crâne effroyable je répondre à mon affront après, ok ? Pardon ? Il me refait la même réflexion ? A-t-il perdu tout ses neurones dans sa chute ?!! Serait-il devenu plus attardé que dans le passé ? Il a mal ? Croyiez moi ça pourrait être pire ! Bon néanmoins j'aime qu'il est mal que quand je le fais avec mon briquet... Mais mince qu'il se taise avec ses jérémiade. Moi j'suis aussi tombé et j'me plains pas. Il saigne ? Pauvre chaud. C'est qu'une petite ouverte, la tête ça saigne beaucoup pour un p'tit rien; oui même explosé je sais ça. T'as mal ?! J'lui chope les cheveux par le poing, le tire vers moi et la baignoire, je m'explose le coude contre le remord. Même pas mal tu vois du con ? Faut arrêté que sa tête juste soit un peu brutalisée. Point. Je vire le robinet à l'eau froide et sans lui demandé lui vire la tête dessus. Non je tiens fort tu vas pas t'échapper. Ça fait encore mal ? Je l'ai éloigné quelques secondes, avant de le refoutre sous l'eau glacé. Je le retire et lui jette ma serviette dessus. Attrapant un boxer qui traine près de moi, je l'enfile; difficilement. C'est bon le froid ça arrête le sang ! Je me relève pour quitter la salle de bain, m'explosant contre la porte, je râle essayant de voir où est le bas du haut, et si les murs sont plus ou moins loin. Ça danse, ça tourne, pas d'état autre que sans dessus dessous.
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Invité
| Sujet: Re: bras de fer, je suis le maître des enfers Lun 21 Fév - 21:58 | |
| Plein de choses me passe en tête et je n'arrive pas à m'en sortir. Je me perd dans quelque chose d'indéfini qui ne cesse de me faire souffrir. Je ne suis plus sure de rien. Il m'aime, au moins un peu, ce sale crétin ? Je compte comme un jouet ou comme ami dévoué ? Jack a fait naitre un doute en moi. Un bien drôle d'effroi. T'as mal ?! Je relève la tête vers lui et comprend que je n'aurais droit à aucune pitié. Que je n'aurais droit qu'à des geste à la tendresse assassiné. J'hoche la tête mais il ne me laisse pas le temps de respirer. Je me retrouve la tête sous l'eau gelé et je gémi car l'eau sur la plaie ça m'a juste brulé. Une brulure à froid chéri et franchement ça me fait pleurer. Mes neurones font se congelés. Ça fait encore mal ? Connard ! Il me balance sa serviette à la gueule et j'ai qu'une envie c'est le bouffer. Le mordre jusqu'à le faire lui aussi saigner. C'est bon le froid ça arrête le sang ! Je lui jette un regard noir alors qu'il me plante sur place en s'étant tout de même explosé contre la porte. Je me lève mes retombe, mes jambes on peux pas dire qu'elle me portent. Mais je persiste, j'arrive à me mettre debout et le rejoins dans le salon. Il est là complètement défoncé, déconnecté ce sale con. Je lui rebalance sa serviette en pleine tête captant avec ironie que j'ai enfin débander. J'suis plus excité je suis énervé. Mais quand je lève le bras pour, première fois de ma vie, le frapper. Je dérape et en 5 min on se retrouve pour la deuxième fois au sol explosé. Inversion cependant c'est moi sur lui et sur le canapé. Les yeux dans les yeux je m'avance pour l'embrasser mais finalement je me cache dans son cou et me met à pleurer. Entre douleur physique et moral j'ai besoin qu'il m'aide sans rechigner. Qu'il me montre autre chose que son putain de briquet.
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Invité
| Sujet: Re: bras de fer, je suis le maître des enfers Lun 21 Fév - 22:34 | |
| Connard ! Si j'étais en état j'lui ferais ravaler ses mots, je lui brûlerais la langue et les mains. Mais j'trouve plus comment reculer, ni comment agir correctement, alors tant pis ça va passer. P'tite nature Retour au salon. Je cherche mon dieu béton, il est où mon briquet chéri ? J'vois la table basse, deux de mes armes repose tranquillement. Un pas. Je m'écroule, je ris doucement. Je recommence à me relever arrivant tant bien que mal à y arriver. Non mais c'est quoi c'est état ? D'habitude je suis pas autant une épave, et puis ça fait pas tombe c'que j'ai pris, si ? Arrivage devant la table basse, je tend la main, bougeant au fil des ondulations de la table et on briquet, il bouge tout seul ça me fait marrer cet effet. Un truc me fait sursauter, tissu humide qui m'atterrit dessus. C'est quoi ? Un fantôme. Non je le prend c'est que la serviette d'Andea. quoi ce débile revient me faire chier, il a encore besoin de mon image pour se faire bander ? Je tourne le regard. Oh petit bonhomme est en colère ? Je sourie près à lui balancer une réplique mais j'vois son poing se lever; il fait quoi là ? Il pense pas à ce que j'imagine qu'il va faire ? Il oserait même pas se rebeller à ce point ? Serait-il c** de ne pas savoir ce qui l'attendrait ? Je sens sa main frôler, geste bizarrement pas contrôlé, je le sens s'écraser contre moi, je perds l'équilibre, la terre tourne. Booom. Le canapé amortit ma chute pas le poids de Dea. Avachit sur moi il me fixe bizarrement, moi j'vois des étoiles qui flotte autour de nous. Hé oh duc** faudrait penser à te relever et pas en profiter... Mais alors qu'il se rapproche et que je vais lui en foutre une, je sens sans suivre le mouvement, ses hoquets de mon coup près de mon oreille résonnent le bruits immondes de sanglots. Hein quoi ? Merde il pleure ? Pourquoi ?! Il a quoi l'autre débile ? Mais il a essayer de me frapper !!! Je remonte ma main dans son dos, sans le repousser, arrivant à sa nuque je le laisse pleurer, enfonçant alors mes ongles dans sa peau de son cou. J'rêve où t'a essayer de me frapper? Rien de plus, pas le force de le repousser mes muscles semblent vraiment trop déconnecté, mais pas assez pour ne pas enfoncé à mes ongles dans sa chaires. Il croit vraiment y échapper ? Il croit vraiment pouvoir me dominer, me frapper, se rebeller?
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Invité
| Sujet: Re: bras de fer, je suis le maître des enfers Mar 22 Fév - 17:44 | |
| Petit chiot est égaré. Il ne sait plus ce qu'il doit croire ou renier. Un chien maltraité fugue ou reste malgré les coups portés ? Qu'est ce qui importe, cette place privilégiée ? Ou un monde d'amour jamais partagé ? Une baffe pour une caresse il me ferrait presque bouffer sa merde s'il le pouvait. À mon cou de corniot mon collier est lourd, trop serré. Sur les piques qui l'ornent je ne cesse de m'écorcher. Là par exemple je me blesse et ça te fait rigoler. Tu en rajoutes et bientôt c'est mes croquettes que tu vas empoisonner. Déjà que tu squattes perpétuellement mes pensées. Un blond qui passe dans la rue. Des yeux un peu trop bleus et paff je suis foutu. Dévorais de l'intérieur par notre jeu biscornue. Je voudrais me défendre, me tordre et hurler cette passion de chien battu. Mais ta fausse candeur m'a déchue. Mes hormones d'adolescent détraqué me pousse à des gestes incongrue. Je ris, je pleure. Hadès tu sais je crois que j'ai peur. Peur de comprendre que sans scrupules tu m'abandonnerai. Que tout ce qui t'importe finalement c'est une poupée à calciner. Le reste, rien à cirer. Va y cabot crève sur le planché. Ta place tu le sais, elle est à mes pieds. Contre toi je sanglote. Pauvre fiotte. Être faible face à toi voilà ma marotte. Mon honte la plus haute. Toi tu restes sans bouger. Tu ne me repousses pas et comme un con, les deux pieds dans le plats je me remet à espérer. Et alors je sens tes ongles s'enfoncer. Je gémis de douleur et de plaisir mêlés. Cette excitation qui monte face à ce geste de possessivité. J'rêve où t'a essayer de me frapper ? Je me crispe et ma chair cède sous le poids de ta colère justifiée. Je secoue la tête négativement murmurant que je ne peux pas. Avouant à mis-mots cette dévotion qui me scie les bras. Respirant ton parfum doucement mes larmes augmentent en intensité. Tu me fais mal Dès... J'ai les doigts enfoncés dans sa peau, de peur qu'il m'envoi boulet. Que sa chaleur me soit arrachée. Geste de folie je me vois agir et n'arrive pas à me stopper. Un léger baiser sur sa clavicule déposé. Touché tellement de fois fantasmait. Dit amour, est c'que je compte pour toi ? Toi tu es mon maitre et mon rois.
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Invité
| Sujet: Re: bras de fer, je suis le maître des enfers Mar 22 Fév - 21:01 | |
| Il peut pas. Voila ce qu'il a répondu à mi-voix. Il se fout de moi ? Il peut pas ?! Évidement qu'il peut pas, ici il n'a pas le droit, ici c'est moi le roi, qui dirige, qui commande. J'dois décider de tout, même quand il crèvera c'est moi qui l'aurait décidé. Bonne ou mauvaise nouvelle c'est pas près d'arriver. Trop besoin de lui, le seul qui m'obéit. Qui sais comment je suis, tyrannique, méchant, ignoble, pyromane, taré. Il sait comment je vis, c'est le seul qui se dit mon ami. Il partira pas, j'le permettrais pas. Tu entends ? Ici c'est moins qui fixe le règlement !!! J'sens ses doigts tenir ma peau, moi je force de plus belle. Tu les sens ça ? Tu sens la douleur? Te sent à quel point je peux encore aller plus profond ?! Tu me fais mal Dès... Je lui fais mal ? Ah bon ? Et quoi ? Combien de fois j'ai entendu ça ? De lui ? D'autres ? Les autres je m'en fou, les autres ne sont que de pauvre fous, ils passent, et trépassent, dans mes vie ils ne sont que des images, des flash vite oublié. Lui il ne disparaitra pas, il continuera d'exister. De derrière la porte jalouser quand c'est entre les jambes d'une fille que je prend mon pied, il cessera pas de souffrir quand mon briquet entre en contact avec sa peau, lorsque tout objet je lui lance dessus. Il arrêtera pas de me regarder comme la huitième merveille du monde, à tout bout de la journée, et qu'il pourrait crever de joie quand je lui ramène ses jeux de débile attardé. Je lui fais mal ? Parfait y'a que comme ça qu'on apprend à se taire et à rester. Tu comprends la sens de te la fermer et faire profit bas maintenant ? J'ai beau avoir les neurones grillés j'sais encore parler. Mais lorsqu'on autre contact vient me déranger ma peau semble électriser avant que la réalité, encore en retard, vienne s'imposer. C'est pas une meuf qui vient de me toucher, là j'y aurais rien vu d'alarmant. Mais c'est l'autre taré qui vient de me toucher, pire il a osé ? Dea' a osé déposer ça sur ma peau ? Il a pas comprit les règles ce tryzo ? Mon genou remonte sauvagement et méchament plus haut, rencontrant son membre qui bandait de me voir tout à l'heure. Tu les sens maintenant tes coui**es ? Parce que là pour quelques instants tu vas vraiment bien les sentir. Je le chope par le cou, l'empêchant de se recroqueviller sur lui-même, je le remonte à mes lèvres, son oreille proche. Tu viens de faire quoi là ?!!!
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Invité
| Sujet: Re: bras de fer, je suis le maître des enfers Mar 22 Fév - 21:28 | |
| Je me sens salie. Un pauvre con qu'on avait prévu qu'il serait trahie. Mais non il s'est entêtait jusqu'à s'en mordre les doigts. Un coup bas digne seulement d'un rois. Tu comprends la sens de te la fermer et faire profit bas maintenant ? J'hoche la tête me sentant si bête. Me trouvant tout les défauts du monde et en premier. Celui de ma trop grand naïveté. Moi qui pourtant avait toujours vécu coupé du monde et de sa dureté. Il est le port d'attache qui me fera sombrer. Capitane maidé je crois que sa conscience est entrain de couler. J'ai l'impression d'étouffer. Déjà rompu de douleur en tout genre j'ai tout à coup l'entre-jambe explosé. Maintenant le chien faut le castré ? Une léchouille de rien du tout, une marque d'affection. C'est interdit va c'te question ! Et toi pauvre couillon... Je continu de pleurer, visage baigné de larme qui fait face à son impétuosité. Alors lui même défoncé il arrive à autant me rabaisser. J'ai le coeur qui va explosé. Je me sens mal, je me sens écartelé. Petite poussière qui se voulait d'étoile mais n'a jamais pus briller. Petit quelque chose insignifiant qu'on se demande comment ça fait pour subsister. Sélection naturelle tu l'aurais pas oublié ? Les toquards faut pas les laisser respirer. Quoique que ça se soit ok. Ma cage thoracique va s'ouvrir et mon âme ensanglanté se tortillait à tes pieds. Mais encore une fois tu rapproche nos corps, m'empêche de me recroqueviller. Douleur assourdissante comme écorché à vif ma gorge est trop serré. Je veux parler mais je n'arrive qu'à gémir piteusement ma honte exacerbé. Ma déception plein d'infinités. Tu viens de faire quoi là ?!!! J'ouvre la bouche, je veux répondre, l'envoyer chier. Mais c'est bien un sanglot d'enfant maltraité qui viens contre sa joue buter. Vous voyez ces enfants qui pleure si fort qu'ils n'arrivent plus à parler que par saccades essoufflés ? C'est exactement ce qui se passer, c'est exactement là tout ce qui fait que je n'inspire que la pitié. Mais pas à lui, non j'ai osé. J'ai transgressé une barrière, violé un lois et je doit le payer. J-je s-su-suis d-dé-dés-déso-désolé.... Ha-Had-Hadès d-dit t-t-tu m-m'ai-m'ai-m'aimes un-un p-p-peu ? Je t'en supplie ne me laisse pas fauché sur le bas côté. n'accélère pas la voiture pour tout ruiner. Ne détruit pas tout ce en quoi je croyais. C'est si fragile tu sais. Tu as tord de penser que ma dévotion est puissante car elle à le vertige et menace de se scratcher. Une sorcière ma fait respirer des fumée désilusoires. j'ai perdu cette chose là, celle qu'on nomme espoir.
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Invité
| Sujet: Re: bras de fer, je suis le maître des enfers Mar 22 Fév - 21:51 | |
| Sanglots par dizaine, puré on dirait une jeune puritaine qui découvre la vie ! Envie de le claqué, de le brûler, de le faire se réveiller, que non la vie n'est pas facile, que non la vie est abjecte, alors qu'il cesse d'être si naïf. Mais je le ferais pas, au pire je le claquerais mais voila. Je dirais rien, parce que sinon il resterait plus rien. Alors que j'attends une réponse, je sais pas quelque chose. Une riposte ? Il en est incapable je le sais, aller vas-y morfonds toi. Gamin vas-y sombre encore plus bas. Tu ne vois pas qu'il n'y a que ça, que je le fais juste pour ça, pour te supporter dans ton infériorité ? Pour t'avoir sans être jugé ou critiqué ? Sanglots par centaines, grosse rengaine qui se déchaine, aucune résistance, il se laisse sur moi, poids mort sur mon corps. J-je s-su-suis d-dé-dés-déso-désolé.... Ha-Had-Hadès d-dit t-t-tu m-m'ai-m'ai-m'aimes un-un p-p-peu ? Ses paroles prononcé, je sais qu'il sait toujours s'excuser. Sauf que le reste je ne m'y attendais pas. Pourquoi il demande ça ? qu'est-ce que ça vient faire là ? Je... ba c'est que... je...oui je l'... non mais... c'est quoi cette question. Aimer c'est quoi ? Non même pas. J'veux juste. qu'est-ce qu'il dit ? J'connais pas. J'voudrais pouvoir. Je sais même pas. Et puis c'est quoi ? J'dois répondre quoi ? Non mais c'est quoi ton délire ce soir ?! P*tain t'es aller trainer où pour m'sortir ça ? Je roule sur le côté le faisant tomber sur le canapé, lâchant son cou et ses cheveux. J'attérris sur le plancher. Qu'est-ce que je suis censé rétorquer ? Rien il sait bien que je vais nier ? Non ? question jamais posée, j'pensais l'avoir plus ou moins instauré. J'prend mon briquet, allume une clope abandonné, jetant sur lui une couverture calciné par mes excès d'envie de jouer. J'attends le fauteuils laborieusement. Bien sur que non je t'aime pas, tu le sais bien ! Je me glisse dessus attrapant un tee-shirt qui traine.
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Invité
| Sujet: Re: bras de fer, je suis le maître des enfers Mar 22 Fév - 22:16 | |
| Le premier point que je constate dans la suite des événements c'est que ma question la surprit. Il semble totalement déstabilisé bien que la seconde d'après il se soit reprit. Moi j'attend le verdict avec l'angoisse d'un condamné à mort. J'attend bien que je sache déjà que dans mon acte même j'ai tord. Non mais c'est quoi ton délire ce soir ?! P*tain t'es aller trainer où pour m'sortir ça ? Chez Jack Il me repousse contre le dossier du canapé. Lui se laisser tomber au sol et me balance un plaid à moitié cramé. J'doit dire merci ? Non je sais pas, j'ai pas envie. Je veux une réponse à ma question, quelque chose qui me garde en vie. Mais au lieu de ça monsieur s'allume sa clope et monte dans le fauteuil tout défoncé. Ça va pas trop presser c'est histoire de me laisser le temps de me remettre des coups précédemment portés ? Profitant de ma liberté de mouvement retrouvée. Je me resserre en boule contre un des oreiller. J'attend, je panique lentement mais sûrement. Bien sur que non je t'aime pas, tu le sais bien ! Y comme un bruit de tissu qui se déchire. Comme un goût de mort jusqu'à en rire. J'encaisse aussi mal qu'un crochet du droit en plein dans l'estomac. Je suffoque enfonçant mes ongles dans mon bras. Je le fixe les yeux grand ouverts, plus de sanglots. Sur mes joues ce qui coule n'est plus que le l'eau. Le silence qui m'écorche la peau. Ma tête tourne, je vacille alors que je suis assis. Rien qui survie. Piétiner comme un parterre de mauvaises herbes qu'on veux exterminer. Je me penche au dessus du canapé et pris de violent haut-le-coeur me met à gerber. Nausée effroyable la flotte de mes yeux continue de ruisseler. Les deux mains accrochés à l'accoudoir je ne sens trop vivement exister. Ça fait trop mal par pitié, faite moi plutôt agoniser.
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Invité
| Sujet: Re: bras de fer, je suis le maître des enfers Ven 8 Avr - 20:15 | |
| Je reste assis bien tranquille alors que son comportement, malgré l'alcool que j'ai ingurgiter je vois bien que ses agissements, réactions, et je ne sais quoi sont très bizarre. Chez Jack La réponse ne tarde pas, mes dents rappent l'une contre l'autre. Encore ? Qu'est-ce qu'il lui trouve à l'autre greluche ? A cette tarée qui lui monte une tête de c** ? Qu'est-ce qu'elle a à se mêler de notre vie ? Elle arrive cette débile, elle passe du temps avec lui, elle lui monte des idées débiles et infâme, elle le fait changer. J'vois bien qu'il s'éloigne, cette débile l'éloigne de moi par je ne sais quel moyen... Je tourne le visage vers lui pour chercher une réplique ignoble à lui balancer, pour lui remettre les idées en place, pour qu'il arrête de croire cette infâme étrangère. Mais en le regardant je ne trouve rien à répondre, son teint cireux qui me fixe horrifié, comme si je venais de lui balancé que j'étais un mort vivant, pire encore que j'allais le tuer. Il a l'air vraiment désorienter. Quoi j'ai dis quoi ? Il vient de se rendre compte qu'elle est pas à fréquenter, ou bien qu'elle a essayer de l'envouter ?! Je cherche ce qui a pu le mettre dans cet état d'horreur, mais ce qui me vient en tête c'est juste ma précédente réponse. Il se penche en avant et je le vois alors suffoquer avant de gerber, je détourne les yeux en mettant ma main sur ma bouche. P*tain mais c'est quoi son foutu problème ?! Alors que je le vois vraiment gerber d'un air totalement décomposé, je comprend alors qu'il n'a pas de révélation mais que ce sont mes paroles qui lui font ça. P*tain c'est quoi son problème ce soir ? J'ai envie de pioncer tranquillement et il me prend la tête avec ses problèmes pseudo existentiel. Néanmoins je suis penché en avant par un réflexe débile. Je me relève pour approcher le canapé tout en contournant l'endroit où il vient de se vider. Je grimpe sur le canapé en l'attrapant pour le retourner vers moi. Arrêtes d'écouter l'autre débile Dea'. Depuis quand t'en as quelque chose à faire ? T'es dans mon appart', t'es le seul à y vivre, t'es d'accord, hein ?... j'vois pas ce qu'est ton problème. Je le fixe gardant une main dans sa nuque pour "l'obliger" à me regarder. Cette sorcière va pas me le voler, elle a pas le droit, Andea c'est le mien, il n'est qu'à moi. C'est ma chose.
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