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Sujet: Re: One of these mornings won't be very long • Saul Dim 18 Sep - 23:53
GLORY DAYS
« Tu pourrais lâcher ton travail, juste pour cinq minutes ? » Une pression sur mes épaules, ses mains qui glissent sur mon torse pour se joindre. Son visage vient se loger à côté du mien, joue contre joue. Ses cheveux blonds se perdent entre les miens, ondulent le long de ma chemise. L'odeur sucrée de shampoing, un mélange de vanille et d'orange vient chatouiller mes narines. Je finis par lâcher mon crayon, frottant mes mains l'une contre l'autre pour faire tomber la poudre grisâtre encrée sur chacun de mes doigts. Un léger soupir d'ennui m'échappe, accentué pour qu'elle le remarque, ce qui provoque son rire. Cristallin, on dirait une enfant. Elle n'en était jamais vraiment sortie, c'est ce que j'aimais chez elle, ce refus du monde adulte. Elle ressemble à un ange, si tranquille, l'innocence même. J'ai toujours eu l'air d'un jeune con en l'écoutant rire, un imbécile qui tombe amoureux pour la première fois, qui tombe sous le charme d'un sourire, d'une naïveté d'ingénue. « Allez, même les super héros ont besoin d'une pause non ? » Sa bouche vient s'écraser sur ma joue, assez violemment pour me faire réagir, et Ellie décroche ses mains de mon torse. Quelques secondes de plus, devant mon dessin à moitié terminé et je me lève, sourire aux lèvres, pour la rejoindre. Elle est belle, avec ses cheveux qui volent autours d'elle quand elle saute sur le canapé, son débardeur souvenir de Disney Land et ses deux mains tendues vers moi pour que je vienne à ses côtés. J'avance d'un pas lent, juste pour le plaisir de voir ses sourcils se froncer d'agacement, et finalement se détendre quand je mêle mes doigts aux siens, m'écroulant à ses côtés sur le canapé. Ellie a rapidement changé de position, se plaçant à califourchon, ses jambes encadrant mes cuisses. « Tu vois ? Pas d'explosions, pas de mamie en détresse ... » Ses lèvres viennent se nicher dans le creux de mon cou, et je passe une main dans ses cheveux, esquissant un nouveau sourire amusé. « Hum, faut croire que notre héros c'est encore laissé avoir par une jolie citoyenne. » Je l'aime, plus que tout. Ce rayon de soleil qui était entré dans ma vie, par hasard. Une rencontre à la coup de foutre à Notting Hill. J'étais partis pour mon premier entretien d'embauche, la société Marvel. J'allais un peu trop vite en sortant du métro, elle, elle ne regardait pas où elle allait et baam, son jus d'orange était venu décorer ma chemise blanche... pas très crédible pour la plus grande société de bande dessinée au monde. Son premier fou rire, qui malgré ma mauvaise humeur, m'avait déridé, moi qui en général, restait toujours sombre, le vieux loup solitaire texan. Ce jour était censé être mon jour, celui dont j'avais rêvé depuis que j'étais gosse. Je n'avais jamais été vu comme le gamin normal, surtout dans le milieu dans lequel j'avais grandi. Un père flic, une mère qui faisait les ménages, et un quartier où le taux de criminalité battait des records. Crayon, stylo, fusain à la main, j'avais plus passé mes après midi à griffonner quelques supers héros dans un coin de cahier, que dealer de la drogue ou braquer quelques voitures comme les autres gosses de mon quartier. Ellie c'était excusée, entre deux éclats de rire. Elle m'avait pris la main, pour m'emmener dans le premier magasin de vêtements, m'achetant un tee shirt à l'effigie d'un des personnages de Futurama. Puis elle m'avait laissé, pile dans le hall de la société Marvel, avait claqué une bise sur chacune de mes joues, avant de me dire que le type, Ryan, qui faisait passer les entretiens, était un dingue de la série et que son numéro de portable se trouvait dans la poche arrière de mon jean. Un jus d'orange à charge de revanche si j'étais pris, et elle avait disparu. Ryan était bel et bien fan de Futurama. Ryan, c'était aussi l'oncle d'Élisabeth, alors mon dossier c'est retrouvé en haut de la pile. Quatre mois plus tard, mon comics était dans toutes les librairies, à côté des x men ou de spider man. L'histoire était toute bête : un nouveau Peter Jackson, le binoclard que tout le monde emmerdait à l'école, une voisine bandante qui le remarquait à peine et … le pouvoir de voler, accompagné d'un grand sens de la justice. Ajouté à ça une touche à la Sin City de la nouvelle gamme plus violente des bandes dessinées Marvel et Saul Brandt passait du nerd inconnu sortit de sson Texas natal, au dessinateur en vogue de Manhattan. « Et la jolie citoyenne, on lui avait promis une soirée au cinéma. » Je pose mes mains sur ses hanches, la faisant basculer pour reprendre le dessus. Une main qui rejoint sa joue, la dégage des mèches qui cachent son visage. Je l'ai su, dès les premiers instants où mes yeux se sont posés sur elle. Banal coup de foudre, je me suis incliné devant sa douceur, suis tombé dans le piège de sa légère timidité, de ses joues qui se fardent de rose quand une situation la gêne, quand elle se torture, incapable de prendre une décision. Elle est comme une poupée, une enfant esseulée que les parents n'ont pas su élever, qu'ils ont gardé prisonnière du cocon qu'est l'enfance. « Miss Gordon, le mari parfait, tu l'as à la maison, c'est pas la peine d'aller baver devant Johnny Depp ou je ne sais qui. » Réplique directe : les chatouilles. KO en deux manches. Ellie se redresse, mains sur les hanches, sourire victorieux accroché aux lèvres « J'suis pas sûre que Johnny se fasse latter par Vanessa lui. Puis tu m'as promis. » Clin d'œil malicieux, et Ellie s'enferme dans la salle de bain.
EYES WIDE OPEN
« Arrêtes, c'était sûrement le rôle de sa vie. » Je hoche doucement la tête, calant une clope au coin de mes lèvres. « Je pense que la blonde, celle qui jouait l'hôtesse, à toutes les qualités requises pour gagner l'oscar. » Main près de mon torse, je mime les avantages de l'actrice, passée une petite dizaines de minutes à l'écran. Dans un cris d'indignement, Ellie m'envoie son poing sur l'épaule avant de prendre ma main dans la sienne, glissant ses doigts entre les miens. « Je prends des risques en demandant une glace à un pervers dans ton genre ? J'en veux une avec des pépites de chocolat. » Ellie tend son index vers une supérette, planquée au milieu d'une ruelle. C'était quoi, la quatrième qu'elle aurait avalé ce soir ? Cette fille, c'était un estomac sans fond. Grand soupir qui se fait entendre, je lève les yeux au ciel. « Tu manges pour cinq et tu prends jamais un gramme. » Ma petite amie lâche ma main, sautille dans la ruelle avec cet air moqueur sur les lèvres. « Va savoir. Je me demande si le bébé aimera ça... » Elle s'arrête nette, mains sur les hanches, le sourire gravé jusqu'aux oreilles. Et je reste bloqué, je reste con à la regarder, le temps que l'information fasse son bout de chemin, que je comprenne ce qu'elle était en train de m'avouer, là, entre les deux murs sombres d'une ruelle new yorkaise. Mouvement rapide, j'allonge le pas vers elle pour poser les mains sur ses hanches, la serrant contre moi. « Un bébé ? » Ellie éclate de rire, s'appuyant sur mes épaules pour enrouler ses jambes autours de mon torse. Mains posées sous ses cuisses pour la maintenir, un espèce de rire à mi chemin entre la nervosité et l'euphorie m'échappe. « Oh Saul tu verrais ton air con, tu rigolerais. Si c'est un garçon, je veux qu'il s'appelle Gabriel. Pas de négociations possibles. » Sans transition aucun, elle enchaîne les paroles, entre coupée par quelques rires. Je n'y avais jamais pensé, avoir un enfant, avec elle. Je n'avais pas eu le temps d'y réfléchir, avec tout mon travail, mais cette nuit devait figurer parmi les meilleures depuis des années. Une famille, on allait enfin former une vraie famille, celle dont j'avais toujours rêvé, quand dans la mienne, mon père passait son temps à boire et cogner après ma mère, et que ma mère, elle, suait à force de faire les corvées des autres. Tout ça pour quoi ? Pour un minable petit trente mètres carrés, aux ampoules clignotante, au ballon d'eau chaude en panne. On était tous les deux maintenant, Ellie avait son patrimoine familiale, j'avais l'argent de ma bande dessinée, un peu de renommée, et un quartier plus sûr que celui dans lequel j'avais grandis. Et surtout, on s'aimait. « Je t'aime Ellie. » Ses lèvres se posent sur les miennes et elle relève la tête. Vu ses yeux, je sais déjà quelle phrase va suivre : elle va continuer à me réclamer sa glace, en me faisait remarquer que pendant les prochains mois, j'allais être de corvée de course, matin et soir. Mais elle n'a pas le temps, ou du moins, elle ne le fait pas. Ses yeux se figent par dessus mon épaule, ses mains ses crispent et ses jambes se décrochent, pour retrouver la terre ferme. Ellie souffle mon prénom, sa main posée sur mon torse pour que je me retourne. Derrière nous, une bande comme on en voit des dizaines traîner dans les rues new yorkaises, des bandes comme celles que j'avais côtoyé dans le Bronx. On est dans une ruelle, le schéma typique pour un raquette. Ellie se terre derrière mon dos, et je leur fait face, main en évidence pour montrer que je ne cherche pas à me défendre. Ils sont quoi ? Cinq ? Peut être six, je n'avais aucune chance. « Les gars, on ne veut pas de problèmes, j'ai un peu d'argent sur moi, je vais vous le donner ... » Doucement, je glisse ma main dans la poche avant de mon jean, et un des types lève un cranté dans ma direction. « Joue pas au plus malin avec nous mec. Tu nous prends pour des cons hein ? » La main d'Ellie serre un peu plus fort mon bras. « Du calme, je vous donne mon argent, vous nous laissez tranquille. » Le même type se retourne vers ses potes, partant dans un rire. « Il nous prend pour des cons le p'tit bourgeois ? On va t'faire les poches, à toi et ta pétasse. » Ellie se met à hurler, moi j'essaye de la protéger du mieux que je peux, quand la bande se met à cogner pour nous prendre tout ce que nous avions sur nous. Et après … après c'était sûrement le coup de trop, et je sombre dans le noir complet. Soudain, le vide.
KEEP THE STREETS EMPTY
Une impression de caresse sur ma joue me fait ouvrir les yeux. Paupières lourdes, yeux brûlants, gorge asséchée. Elle est étendue à côté de moi. Peau plus blanche que jamais dans sa robe immaculée. Ses cheveux sont plus souples, les boucles brillent, m'aveugleraient quelques secondes. Ma bouche se tord en un sourire, et je lâche un petit rire vite étouffé par une toux. Je manque d'air, mon corps est tellement engourdi, comme si j'avais passé des semaines sur ce matelas, sans en bouger. Draps autour de mon corps à demi nu, mon linceul. Comme si j'avais rendu l'âme l'espace de quelques heures, et que Ellie me redonnait la vie. Le paradis dans une chambre grise. Je murmure son prénom, les sons ne sortent pas. L'angoisse monte doucement, irrépressible. Comme si les secondes nous étaient comptées. Impossible de me contrôler, une secousse me plie, mon souffle se bloque et une vague de larmes roule le long de mes joues. Ellie ne dit rien, se relève doucement. Debout, elle me surplombe et je n'arrive toujours pas à parler, laissant seulement échapper une plainte en fixant son visage. Plutôt que de tendre la main vers elle, lui demander de revenir s'allonger à côté de moi, je presse le draps, le fait glisser le long de mon corps pour me couvrir jusqu'au cou. Torse qui s'élève, s'abaisse de façon désordonnée, j'essaye de contrôler les pleurs. Reste avec moi finalement soufflé entre quelques hoquets de larmes. Les mots ne viennent pas, ne passent pas le cap de mes lèvres, comme coincés au fond de ma gorge, incapable de lui dire tout ce que je voulais lui hurler. J'ai besoin d'elle, elle est en train de s'en aller, fait quelques pas vers l'arrière, le même sourire serein gravé sur son visage. Quelques secondes, Ellie. Elle n'écoute pas, disparaît aussi soudainement que son apparition fantomatique. Tourné sur le côté, regard fixé sur le matelas, la place vide de sa présence que j'effleure de la main. De nouveau les larmes coulent, silencieuses. Elle revient par intermittence. Quelques secondes les nouvelles drogues, les rêves, me la font revenir, lui font quitter son paradis pour retomber à mes côtés. Je suis aussi pourri que le cancer qui l'a rongé. Des mois de lente agonie, à voir mon corps s'affaiblir, mes rondeurs disparaître pour ne laisser que des côtes saillantes, des cernes violacées sous mes perles vertes. Trop lâche pour faire machine arrière, tenter de faire face et vivre, avancer, il est tellement plus simple de se laisser sombrer. Des mois à me ressasser les souvenirs, hurler à m'en arracher les tripes, les doigts serrant des mèches de cheveux comme pour les arracher. Tenter de trouver une solution, se dire qu'on aurait pu nous sauver, que j'aurais pu empêcher ça. Une glace, une putain de glace et Ellie c'était éteinte. La douleur me ronge, la culpabilité prend le dessus, laissant parfois place aux épisodes de paranoïa, folie intense quand un bref instant je pense la revoir, quand sous H je ne pense qu'à la venger. L'homme mécanique, sujet aux émotions, aux pulsions, à la limite de l'animal les veines pourries par une drogue pour oublier en se plongeant totalement dans la mémoire. Rien ne change, tout s'amplifie, comme un mal voulu, comme si je cherchais à revenir en arrière éternellement. Plus capable d'avancer, plus capable de tenir ce boulot, cette vie devenue fictive. Madness qui m'avait conduit dans un hôpital spécialisé, lâché par mis les dingues, une bête parmi les autres, un mort balancé dans une fosse de cadavres. J'avais déménagé, passant du succès new yorkais, Upper East Side et bonheur dégueulasse styles bûcher des vanités, à un univers minable. L'ange se meurt, un dernier soupir et un pauvre idiot, tenant sa main à son chevet, pleurant sur un bonheur qui s'achève. Pleurant sur sa solitude, de nouveau retrouvée. La peur d'un lendemain sans elle. J'ai pu la voir sourire une dernière fois, occultant le courage, continuant à espérer de la voir s'en relever et fatalement s'éteindre. Détruit.
Dernière édition par Saul M. Brandt le Lun 19 Sep - 9:48, édité 6 fois
Invité
Sujet: Re: One of these mornings won't be very long • Saul Dim 18 Sep - 23:54
I think she’s the saddest girl to ever to hold a martini.
► si vous étiez un élément ? Le vent. Glisser partout, invisible et qu'on ne peut pas réellement sentir. Une sensation plus qu'une chose palpable. ► si vous étiez un personnage de jeux vidéo ? Personnage de Comics ré adapté en jeu vidéo, je dirais Captain America, pour la bête raison qu'il est le héros de mon enfance. ► si vous étiez un défaut ? La lâcheté. Baisser les bras et ne pas souhaiter se relever. Il est tellement plus simple de s'illusionner, rester dans la fange, qu'essayer d'en sortir. ► si vous étiez une qualité? L'imagination. Décuplée au fil du temps. Imagination pour autant perverses car les rêves mènent parfois à la paranoïa, font quitter se monde. On se prend les pieds dans l'illusion, on vole et on ne rejoint plus jamais le sol. ► si vous étiez un outil technologique ? Aucun. ► si vous étiez une couleur? Gris. Le mélange de deux non couleurs, le noir et le blanc. Terne, juste milieu, insipide. ► si vous étiez une chanson ? Moby, One of this mornings. ► si vous étiez une blessure ? Au cœur. Les seuls à ne pas pouvoir se refermer entièrement. ► si vous étiez une personne célèbre ? Joe Simon. ► si vous étiez un hobbi ? Le dessin. ► si vous étiez un animal ? Un oiseau. Voler jusqu'à trouver ma terre, côtoyer les étoiles quand je perds mon Sud. ► si vous étiez un pouvoir ? Remonter le temps. ► si vous étiez un plat ? Une glace aux pépites de chocolat. ► si vous étiez un sentiment ? Le déni. ► si vous étiez un objet ? Un crayon à papier
Le premier qui critique mon Pat, je lui démonte la face
Dernière édition par Saul M. Brandt le Mar 20 Sep - 23:18, édité 4 fois
Syki Kumerlon
PSEUDO : SPACEPATER
Sujet: Re: One of these mornings won't be very long • Saul Dim 18 Sep - 23:58
Nous ne sommes que des âmes faibles. R'bienvenue dude, impatiente de découvrir en entier ce personnage tu t'en doutes
Invité
Sujet: Re: One of these mornings won't be very long • Saul Lun 19 Sep - 0:11
Des faibles qui s'assument Sisi ... c'est la tradition. Hâte de voir le tiens également choute
Siam O. Sainsburry
PSEUDO : para bellum
Sujet: Re: One of these mornings won't be very long • Saul Lun 19 Sep - 0:19
Si t'avais fait un avocat, j't'aurais tout de suite engagé ==>
Invité
Sujet: Re: One of these mornings won't be very long • Saul Lun 19 Sep - 0:25
Better call Saul Je me serais donné un faux nom de famille pour faire juif...
Siam O. Sainsburry
PSEUDO : para bellum
Sujet: Re: One of these mornings won't be very long • Saul Lun 19 Sep - 0:41
C'aurait été saaale xD
M. Pièro Griffith
PSEUDO : nevada
Sujet: Re: One of these mornings won't be very long • Saul Lun 19 Sep - 9:13
On critiquera pas, car tu vas évidement nous en faire encore une personnage de fou !!! Faible, encore une parmi nous XD
Invité
Sujet: Re: One of these mornings won't be very long • Saul Lun 19 Sep - 9:49
J'espère bien Shut up, tu vas aussi craquer d'ici quelques jours, voire heures
M. Pièro Griffith
PSEUDO : nevada
Sujet: Re: One of these mornings won't be very long • Saul Lun 19 Sep - 10:08
Moi ? Du tout... - c'est pas comme si j'avais un email, qui m'attendais dans ma bite pour que j'aille activer mon compte XD -
Invité
Sujet: Re: One of these mornings won't be very long • Saul Lun 19 Sep - 10:28
A. Camil Griffith a écrit:
qui m'attendais dans ma bite
LA, on tient la preuve officielle, que t'es qu'un gros pervers
M. Pièro Griffith
PSEUDO : nevada
Sujet: Re: One of these mornings won't be very long • Saul Lun 19 Sep - 11:18
MERDE, mais non c'est pas un lapsus révélateur, c'est une erreur d'oublie de clavier XD JE SUIS PAS PERVERS D'ABORD - ou presque pas XD XD XD -
Invité
Sujet: Re: One of these mornings won't be very long • Saul Lun 19 Sep - 12:28
MON AMOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOUR
re-bienvenue on va tout déchirer comme toujours
Dead Pixels
Sujet: Re: One of these mornings won't be very long • Saul Mar 20 Sep - 17:34
Est ce une gloire à mon vrai prénom que le second prénom de ton personnage ?
Invité
Sujet: Re: One of these mornings won't be very long • Saul Mar 20 Sep - 23:20
MA CHERIIIIE ! Of course, comme d'habitude
Mighty : Vui, c'est totalement ça. Maël est sûrement un de mes prénoms préféré. Mon gosse portera ce prénom, et je lui dirai que c'est en hommage à Tati Mighty
Les coco, j'ai terminé ma fiche
Dead Pixels
Sujet: Re: One of these mornings won't be very long • Saul Mer 21 Sep - 11:36
Haan, l'honneur. Tu es bien sur validé, mais j'ai archi du mal à te trouver une place dans un groupe. Car au début de ton histoire, c'est sur c'est un clyde à fond. Mais comme tu dis qu'il prend de la drogue pour faire revivre sa bien aimé, il serait Pinky ( mais dans quel palier ? J'attends de voir ce qu'en pense Sad'
ERROR 404
PSEUDO : stv staff
Sujet: Re: One of these mornings won't be very long • Saul Mer 21 Sep - 11:45
je vote pour UP1, c'est plus une question d'occasion au personnage de se développer. Puis il n'a pas du tout l'allure d'un trafiquant ou d'un meurtrier pour l'instant.
Dead Pixels
Sujet: Re: One of these mornings won't be very long • Saul Mer 21 Sep - 11:52
PINKY, UP1 alors
Invité
Sujet: Re: One of these mornings won't be very long • Saul Mer 21 Sep - 13:29
Haw Merci Rose tapette
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Sujet: Re: One of these mornings won't be very long • Saul