21h passé - Le téléphone sonne. Je déposais ma guitare que je tenais en main sur le canapé, puis pris mon téléphone et décrocha. "Allo ?" Le numéro était en inconnu. "Tu l'as veux toujours la guitare ?" Cette phrase me mena à une conclusion. Cette personne était l'un des élèves de mon lycée, avec qui j'étais en guerre. Il vendait sa guitare et à un prix bas. Demain c'était l'anniversaire de mon meilleur ami et je voulais lui faire un cadeau en lui offrant cette guitare. "On se rejoint où ?"
Quelques minutes plus tard - J'arrivais dans une ruelle, pas loin du magasin de jeu vidéo où je me rendais régulièrement. J'avais rendez-vous ici, avec ce mec que je supportais pas. Je l'ai attendu pendant dix minutes. Au loin, je vis une ombre. C'était lui. Je fronçais les sourcils, par signe d'inquiétude. Il n'avait pas la guitare avec lui. "Elle est où ? Je dois aller la chercher dans ton cul c'est ça ?" La vermine devant moi ce mit à rire. Il claqua des doigts et tout à coup, d'autres mecs surgirent. "Alors comme ça tu veux faire le malin ?" Je baissais mon visage tout en lâchant un soupire. "Vous êtes vraiment déplorable." Devant moi, se trouvait six mecs qui avait une gueule de con. "Tu devrais plutôt la fermer Choi. On va te donner une bonne leçon." Je me pointais du doigt avec un air choqué. Puis, je les pointais du doigt. "Vous êtes que des pauvres merdes qui ne font que parler au lieu d'agir."
Quinze minutes après - Je m'étais enfui de la ruelle, car je ne voulais pas mourir dans un endroit aussi pourri. J'avais couru malgré mes blessures. Je pris mon portable afin d'appeler mon meilleur ami. Il ne décrochait pas, je tombais sur le répondeur. Bien évidement, c'est toujours dans les situations les plus critiques que l'on arrive jamais à joindre les personnes. Je lui laissais un message, lui demandant de venir me chercher, car j'avais le visage en sang et sûrement plus d'une côte de cassée. En ce moment, j'étais en train de marcher dans les rues de Londres.
Dix minutes ont passé - "Choi !" Je l'avais mon visage lorsque j'entendis cette interpellation. Je vis alors ma bande. Je souris avec un air débruti, le visage en sang. J'allais pour traverser le passage piétons afin de les rejoindre quand tu as coup :