♦ Chateau de la tante de Jack
♦ Jacky et Andea
♦ Ils sont dans la serre du chateau, Andea entrain de pianoter sur sa psp. Jacky occupé à faire tournoyer une drôle de soupe dans son chaudron préféré. Dehors il pleut et pourtant eux sont plongé dans une douce intimité. Pas nécessairement besoin de se parler pour profiter d'être ensemble, de se retrouver. Sauf quand soudain le sujet Hadès est lancé.

Le nez à moins de cinq centimètre de l'écran je suis allongé sur le ventre les pieds battant dans l'aire. Sourcil froncé en plein combat contre un Kuja bien hargneux. Je grogne venant de perdre.

- Pfff, ce jeu a été trafiqué, tu lui a lancé un sort avoue Ja' !

Mon chaudron bouille. Mauvais signe. Aurais-je mis un peu trop de bave de crapaud ? Il commencé à s'énerver, le jeune chiot.

- Pfff, ce jeu a été trafiqué, tu lui a lancé un sort avoue Ja' !

- J'me permettrai pas.

J'me balade dans mon royaume. Ma chère Tata ne cacherai pas dans ces milliers de bocaux, un ingrédient magique ?

Éteingnant le console, une moue boudeuse scotché au lèvres et traitant mon adversaire de mongol. Je n'aime pas quand un système informatique gagne contre moi. Je roule donc sur le dos, observant Jack à l'envers qui semble aux prises avec une potion qui ne l'écoute pas.

- J'me permettrai pas.

- Crois tu.... C'est moi qui serait devenu nul peut être. Ça fume un peu ton truc tu sais. C'est normal ?

- Crois tu.... C'est moi qui serait devenu nul peut être. Ça fume un peu ton truc tu sais. C'est normal ?

- J'me suis confondue dans les doses. Bizarre, c'est pas dans mon habitude.

Je chipe un bocal. L'odeur me monte au nez. Voilà la solution. Avale ça, petit marmiton. Les vaguelettes disparraissent de la surface.

- Aujourd'hui, nous nous sommes réveillés du mauvais pied. Je crois que j'en vois le monde à l'envers.

- J'me suis confondue dans les doses. Bizarre, c'est pas dans mon habitude.

Je me gratte la tête en l'observant faire. Son chaudron calme, l'estomac ne s'agite plus. Nous sauve sauvez ? Aucune idée. En tout cas le dernier ingrédient franchement, il put.

- Aujourd'hui, nous nous sommes réveillés du mauvais pied. Je crois que j'en vois le monde à l'envers.

- C'est vrais qu'aujourd'hui j'échange les bourde, déjà que j'ai renversé son café voilà que je n'arrive plus à jouer. Buah mais alors par contre ça sa put.

Je désigne le bocal qu'elle a laissé ouvert.

- Tu n'es jamais à l'envers, jamais mon chaton.

J'étend mon bras toujours allongé sur le dos, attrapant une de ses longue mèche de cheveux.

- C'est vrais qu'aujourd'hui j'échange les bourde, déjà que j'ai renversé son café voilà que je n'arrive plus à jouer. Buah mais alors par contre ça sa put.

- J'trouve pas. J'dirais plutôt que c'est délicat, comme odeur. J'vais essayer de m'le fumer.

Le petit chiot s'amuse avec mes cheveux. Prend garde j'aime pas trop ça. Je farfouille dans mes grandes poches. Armée, de les feuilles à rouler et un filtre, je module ma cigarette.

- Il a du être irrité, ne t'a t-il encore brûlé ?

- J'trouve pas. J'dirais plutôt que c'est délicat, comme odeur. J'vais essayer de m'le fumer.

Haussement d'épaule ça doit être un problème d'odorat. La senteur doit changer selon l'aura. Je relâche cette mèche mal-coiffée. La laisse retombé sur son corps de poupée. Je me retiens d'éternuer.

- Il a du être irrité, ne t'a t-il encore brûlé ?


Haussement d'épaule, encore. S'il l'avait encore fait qu'est ce que cela changerai alors ? Ma peau se durcit de plus en plus, je ne sais même pas si je sens la brulure. La cloque à mes yeux a disparue, me parait si dure.

- Pas plus que d'habitude, tu me fera goûter ?

Je lui souris pour ne pas laisser deviner. Je lui souris parce que c'est ainsi que j'ai appris à exister.

- Pas plus que d'habitude, tu me fera goûter ?

J'en prend une bouffée. La fumée irrite ma gorge. Un peu trop poivrée à mon goût.

- Si tu veux. Mais c'est pas très bon.

J'lui tend ma cigarette. Il tire une taf. J'reste le regarder.

- Montre moi tes bras.

Je tire sur sa cigarette. Ça me brule un peu la gorge cool faut pas que j'arrête. Tendant mon bras libre à ma sorcière, je m'exclame en respirant la drôle d'odeur qui flotte dans l'air.

- Moi j'aime bien, agressif, un peu, poivré ? J't'assure que la brulure c'est rien du tout , il était pressé.

Je ricane tout seul à mon trait d'humpour.

Je lui reprend ma cigarette, j'm'y suis fait au goût. Je caresse son bras calciné, afin de le faire hurlé.

- Il était pressé, mais il ne t'a quand même pas raté.

Jappement douloureux je lui retire mon bras des mains et abandonne à ses griffes l'agressive cigarette. La douleur est cuisante puisque particulièrement récente.

- Joue pas les sadique Jack ! Après t'as bon dos de le critiquer le pauvre.

Le pire dans cette phrase, c'est que mes mots sont sincère. Je le plains vraiment... L'amour m'a bruler les yeux je crois.

- Hurlement, n'est-ce pas un signe de douleur ?

Je lâche son bras. " Le pauvre " il ne comprend pas. J'retourne à ma potion, qui bouillonne dans mon chaudron.

- Un filtre d'amour, ça te servira peut être un jour.

J'attrape c'qui me passe sous la main. J'ajoute ces ingrédients en chantant un p'tit refrain. Il m'a énervé. J'essaye de me calmer. Mes doigts cèdent. Le flacon tombe dans ma marmite. C'en ai trop.

- Ouvre les yeux, gentil petit chiot. Ton maître n'est pas un Dieu. Il te dresse comme il le veux. Un jour, tu finira brûler. Parce que t'aurais désobéis à cet enfant enflammé.

Par habitude je remarque qu'elle est agacée. C'est bien la seule émotion que je descelle facilement chez les autres. Je cherche à savoir pourquoi en reculant d'instinct. La fiole qui finit dans l'eau me fait regretter. Une inconnu, un geste une paroles de mauvais apôtres. Est-c'ma simple allure d'enfantin ? Puis sa phrase m'atteins comme une claque étonnée. Ma cigarette tombe, je la ramasse avant de moi même me bruler. Le mégot contre mon bras écrasé.

- Tu vois j'ai pas mal. J'suis pas aveuglé j'suis son meilleur ami c'est tout.

Larme unique qui coule, douleur qui doucement s'écoule.

- Il m'aime tu sais

Mon chaudron explose. Je suis énervée. Ne comprendra-t-il jamais ? Une larme coule sur sa joue. Signe de douleur. Il me dit qu'il ne souffre pas.

- J'en doute pas qu'il t'aime. Mais j'trouves qu'il a une drôle de façon de t'aimer.

Je m'écarte alors que son chaudron explose, je sens sa colère. Noir et sincère tout à coup je n'ai plus de repère. L'émotion de ses pupilles couleurs de ciel me trouble.

- Mais qui sommes nous pour juger la façon dont il m'aime ? Qu'est c'qui donc te trouble tant ?

Je m'exclame indigné.

- Il n'est pas cinglé ! Jack je, tu vois merde tu sais très bien ce que je ressens alors pourquoi tu dis de la merde quoi ça...

Mon ton es moins convaincu, mon persuadé de ce que je viens d'avancé. Je tangue et j'hésite et me fait voir comme sous moi le filet a été retiré. Y a-t-il un jour seulement était ? Je suis un équilibriste assoiffé d'un amour qui ne sera jamais comblé. Elle me fait comprendre que j'ai le vertige et alors je me sens tomber. Je relève vers elle un regard paniquer.

- Tu n'es pas folle ! Tout cela est vain.... On ne guéri pas un chien...


Aire désabusé, ironie doucement câlinée. Je m'allume une cancerette, un peu plus m'encrasser.

- Et ? Que veux tu que j'y fasses ? Il tient à moi, je vais pas le décevoir...

Rejet de la fumée et rejet de la vérité.

Je me lève pour la rattraper, mais je reste à l'entrée en la regardant s'éloigné.


- Jack.... Ça m'aide pas ce que tu fais... Tu vaut pas mieux que lui si tu m'abandonne aussi !

Voix brisé, angoisse et stresse j'ai envie d'aller jouer. Me cachais au fin fond de ma psp...