Des' ou Pop' ∆ Dix-huit ans ∆ Invidia ∆ Pas encore trouvée ∆ Lycéen et serveur officiellement, compétiteur hors pair de motocross et course de moto officieusement ∆ Une gueule d'ange, et un corps remplit de cicatrices.
Je n'aime pas parler de moi, c'est simple comme bonjours; qu'y a-t-il de difficile dans cette information. Je qui désigne un sujet, en l'occurrence moi, n'aime pas, tout d'abord le verbe aimer comme synonyme apprécier donc y prendre goût à, notez la négation présente donc le contraire d'aimer pour ne pas dire détester, parler de , signifiant raconter quelque chose amener des précisions, des arguments et des détails et en dernier de moi, encore une fois pronom démonstratif précisant l'objet, la personne souvent un COD, pour ici c'est moi-même, ma petite personne. Non il n'y a rien de bien compliqué la dedans. Je n'aime pas et donc je ne veux pas parler de moi, c'est plutôt simple pourtant même un type avec des années d'études et qui se nomme psychiatre n'est pas capable de le comprendre ? C'est pas que je vais mal, loin de là, mais je suis pas narcissique et je ne vois pas en quoi cela avance les autres de savoir que je suis allergique aux fraises, que je suis pas très doué en math et donc que je dois bosser deux fois plus de temps. Que petit j'étais aveugle, que je suis encore puceau et ce malgré mes nombreuses copines déjà eut, que je suis célibataire, que j'ai une gueule d'ange mais que mon look n'a rien à voir avec une envie d'être populaire, que je suis fan de moto et un habitué de l'hosto'. Non on s'en fiche, savoir ça de moi n'avance pas à me connaitre personnellement.
APPELEZ MOI CASPER
Dix-huit ans . Prépa art appliqué. Française. Trop souvent présente ( et sous trop de visages ). Le reste ne demande pas de présentation.
Dernière édition par Désiré P. Campbell le Lun 19 Sep - 12:28, édité 1 fois
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Sujet: Re: DÉSIRÉ █ ▌dont ce monde où on a pas sa place, dis moi où va le temps qui passe Lun 19 Sep - 11:36
❝ le mariage est la principale cause du divorce ❞ - oscar wilde.
TOI,TOI MON TOUT
drôle ㄨ souriant ㄨ intelligent ㄨ bordélique ㄨ positif ㄨ tête en l'air ㄨ réservé ㄨ à l'écoute ㄨ serviable ㄨ se drogue pas ㄨ fils d'une mère et d'un père homosexuel ㄨ possède quatre motos différentes ㄨ bricoleur ㄨ adore le shopping ㄨ musicien ㄨ souriant ㄨ fumeur ㄨ ne tient pas trop l'alcool ㄨ toujours classé "moyen" ㄨ ne se pense pas parfait ㄨ n'aime pas ses dents ㄨ encore vierge ㄨ têtu ㄨ travailleur ㄨ perfectionniste ㄨ obéissant ㄨ pas rebelle ㄨ pas super flemmard ㄨ pas non plus toujours volontaire ㄨ organisé ㄨ élève modèle ㄨ peu sociable ㄨ même plutôt geek ㄨ pourtant populaire ㄨ tête brûlée ㄨ fan des sensations fortes ㄨ dix-huit fois plâtré ㄨ ne compte plus ses séjour à l'hôpital ㄨ peu loquace
❝ on ne va jamais aussi loin que lorsqu'on ne sait pas où l'on va ❞ - christophe colomb.
J'AI APPRIS PAR CŒUR LA PURETÉ DE SES FORMES
► si vous étiez un élément ? La terre, parce que j'ai une phobie étrange pour l'eau, et que le feu c'est pas trop mon truc.► si vous étiez un personnage de jeux vidéo ? Drikar, le petit elf de Tim' sur WOW, il l'a drôlement bien arrangé ! ► si vous étiez un défault ? l'impatience ► si vous étiez une qualité? l'altruisme ► si vous étiez un outil technologique ? mon ordinateur ou ma console bien évidement ► si vous étiez une couleur? Le doré ► si vous étiez une chanson ? Elle me dit, de Mika ► si vous étiez une blessure ? très bonne question. ► si vous étiez une personne célèbre ? Oui-Oui ► si vous étiez un hobbi ? Le shopping, ou le moto cross ► si vous étiez un animal ? le guépard, étant l'animal le plus rapide - de la savane s'entend -► si vous étiez un pouvoir ? pouvoir voler ► si vous étiez un plat ? des sushi ► si vous étiez un sentiment ? la joie ► si vous étiez un objet ? une moto
Dernière édition par Désiré P. Campbell le Lun 19 Sep - 11:53, édité 1 fois
Invité
Sujet: Re: DÉSIRÉ █ ▌dont ce monde où on a pas sa place, dis moi où va le temps qui passe Lun 19 Sep - 11:36
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❝ si les enfants devenaient ce qu'en attendent ceux qui leur ont donné la vie, il n'y aurait que des dieux sur la terre. ❞ - poincelot.
De toute manière ça n'a jamais été simple. Avant même de naître je devrais dire. Une mère d'à peine seize ans, enceinte de son copain de dix-sept ans, un refus total de voir la vérité en face, " la capote à péter, on devrait se méfier." Que nenni, on s'enfonce dans la négation, on refuse d'y croire, d'y voir quoi que ce soit. Et cinq mois plus tard toujours pas de règle pour nous emmerder, alors on se pose vraiment des questions. On arrête un moment d'enchainer soirée, alcool, clopes, on commence à se questionner. Puis on file chercher un test de grossesse. Grossesse caché, grossesse pas cherché. On cherche un endroit à Invidia pour se faire avorter, parce qu'à seize ans, hormis la drogue et le lycée on connait pas le mode d'emploi d'un bébé. On trouve pas, parce que même dans une ville acidulé, où tout semble possible quand on s'en fout de la légalité, l'avortement à plus de quatre mois c'est impossible. On perd les pédales, on perd pied, on finit par l'avouer à papa et maman. On accuse le petit ami, avant d'en venir à la finalité. On trouve un adresse étrange, avortement bizarre sur être humain déjà confectionné. Alice - maman pour être précis - se sent libéré, et cela juste avant d'y pénétré, avant qu'une angoisse naisse, qu'on se dise que l'être humain dans son ventre, elle va l'assassiner... Alors elle s'est tiré, elle me l'a tellement raconter, elle a prit ses affaires et s'est enfuit en courant, se maudissant parce qu'elle savait qu'un bébé c'était pour la vie, et qu'elle allait cacher deux vie et peut-être plus pour pas avoir su se protéger. Enfin pas voulut, enfant d'un coup d'un soir, enfant d'une beuverie écoulé, enfant d'un amour de lycée, enfant d'une drogué et d'un tatoué. Elle s'est mise à se haïr, parce que oui ma mère malgré tout, elle est très psychologique, elle se disait que je ressentais - même si j'avais que six mois de procréation - le fait que j'ai pas été attendu, que j'ai pas été voulut. Elle s'en voulait. Alors on en a fait appelle à l'ironie, elle a fait appelle à la tromperie. Et les trois derniers mois à s'organiser, à me préparer ma vie qui serait attendu contrairement aux premiers mois de création... Et quand j'suis arrivé le sort est tombé. Désiré Poppy Campbell. Je vous jure qu'à partir de ce moment m'a vie a été scellé, parce qu'on a beau tout vouloir, quand on s’appelle Désiré, on a pas franchement que ce que l'on désir, croyez moi ! C'est pas vraiment tout, parce que oui j'ai pas tout dit. Mon papa à moi, il est pédé ! Et voila c'est dit, c'est balancé. J'en ai pas honte, j'ai été élevé par une mamie gâteau, une mère poule et deux papa de l'autre côté. Enfin un papa stable et des papas qui changeait tout les quatre ans je dirais. En même temps on peut pas lui en vouloir de ne pas être resté avec ma mère, à dix-huit ans on aime comme un enfant passionnément mais pas longtemps. J'me souviens un jour j'ai demandé à ma mère si ça l'avait blessé, que papa aille chercher son bonheur avec des hommes, si elle ne se demandait pas si parfois c'était sa faute, qu'elle l'avait dégouté des femmes. Je me souviens qu'elle a beaucoup rit. chéri... tu sais ton père je le comprend... il a du se dire qu'avec un enfant à sa première relation sexuel... valait mieux se tourner de l'autre côté. Au moins maintenant il est sur de plus avoir la même chose qui lui tombe dessus. Ouai maman a toujours été comme ça, drôle, souriante... et ils sont les meilleurs parents au monde, peut-être pas les plus simples, parce qu'ils s'aiment à leur façon, et que c'est pas un couple mais ils sont bon.
❝ le vrai moyen d'être trompé, c'est de se croire plus fin que les autres. ❞ - la rochefoucauld.
En noir et rien qu'en noir. En fait l'erreur s'est vu quand j'avais cinq ou six mois. Bébé instable, enfermé, qui reste sans essayer de découvrir le monde autour de sa poussette, de son lit ou des bras de papa et maman. Enfant qui ne réagit pas quand on se penche au dessus du berceau, qui ne suit pas les jouets qu'on lui agite sous le nez. Madame Campbell, Désiré ne réagit pas à son entourage car il ne le voit pas. Dans le tact on reprendra. Pardon ?! Monsieur vous annoncer à ma fille que son bébé est aveugle comme je vous annoncerait que le pain à augmenté de dix cents !!! Grand-mère et toute sa délicatesse. Après analyse, j'avais un problème de cornée, un truc bizarre, des vaisseaux qui empêchaient je ne sais quoi de passer. Et pour un bébé c'était inopérable, bien trop dangereux. Il faudrait attendre vers mes cinq ans pour que cela soit moins dangereux pour ma vie future, on risquait sinon l'aveuglement à vie. Mamie m'a raconté - dans le dos de ma mère - que quand les gens me croisaient dans la poussette ils s'extasiaient sur mes beaux yeux bleu, et les premiers temps maman fondait en larme en répliquant qu'ils étaient beau mais pas utile. Moi ça m'a toujours fait rire de l'imaginer aussi "névrosé", toujours à fond dans ses sentiments, elle est ses cheveux roux flamboyant. Ça me fait rire et pourtant... On dit qu'un enfant ne garde pas de souvenirs de son enfance, pas avant ses sept ans, ou alors très peu. Imaginer vous avoir alors en tête un néant total, des sons, des odeurs et découvrir la vie à tâtons. Imaginez découvrir le monde et ses couleurs, le monde et sa beauté après cinq années dans le noir. Moi je me souviens surtout d'avoir ouvert les yeux à l'hôpital et d'avoir hurler qu'on me sorte de cet enfer. On m'aurait écouté je me serais arraché moi-même les yeux. Je ne me rappelle pas de cet épisode, mamie me l'a raconté. Moi je m'en souviens pas, je me souviens d'avoir grandit dans un monde coloré et plein d'image. On dit que les enfants sélectionnent leurs souvenirs aussi bien que les adultes. Et pourtant y'a toujorus ces cauchemars qui viennent me hanter, que je me réveille dans un monde dénué de lumière, de couleurs, dans un monde en noir et rien qu'en noir. Avant je ne comprenais pas pourquoi, puis quand à douze ans maman m'a expliquer tout ça, j'ai commencé à mettre un doigt sur ce genre de chose. Mais en parlé c'est hors de question, j'me sens trop con d'avoir cet angoisse de gamin qui remonte à avant mes cinq ans.
❝ monsiuer saint-ni-touche prend moi par la main, dis moi des mots d'amour, des mots qui me touchent ❞ - inna modja.
Sainte ni touche nan j'suis pas une fille. Mais on est pas loin. Garçon ni trop intello, ni dernier de la classe, dans la moyenne sur tout et n'importe quoi. Toujours invité aux soirées, populaire à souhait - grâce à mon groupe d'amis de lycée -, je tiens la boisson mais sans trop, je fume mais pas tout le temps, je ne me drogue pas. Le mec moyen dans toute sa splendeur, ni trop looseur, ni le mec parfait. Jamais celui qui brillera partout, qu'on remarque dès qu'on entre dans la pièce. J'ai jamais été contre. Avec les filles c'est pareil, craquant, je sais pas comment mais j'ai toujours eut cette réputation de pseudo Don Juan. Réputation infondée, je n'ai jamais dragué personne. Ce sont étrangement les filles qui viennent m'aborder, qui font tout le travail. Alors si je sors avec une fille c'est plus à elle qu'il faut dire félicitation. Non je ne m'efface pas, mais disons que je suis plus branché par autre chose que par la séduction. Et puis faut avouer... que j'suis pas si doué. Dix-huit ans, encore puceau comme certain aiment le dire. Je ne le cache pas avec honte, mais je ne le clame pas sur tout les toits. Pas par manque d'occasions, pas par peur... Non seulement à chaque fois y'a eut quelques chose qui nous a dérangé, ou alors je le sentais pas - enfin ça c'était juste le coup foiré de Cyrielle mais passons. Branché fille ou mec ? Et bien n'ayant jamais couché ni avec l'un ni avec l'autre je serais incapable de vous le dire. Oui j'ai déjà trouvé des garçons mignon, j'en ai déjà embrassé.. Mais de là a pouvoir m'affirmer quelque chose c'est impossible. Maman, j'suis asexué ! Je crois qu'elle le prendrais mal et se remettrait en cause, du à ma conception ou autre. Non elle pense que j'ai couché depuis longtemps. Maman ton fils n'est pas aussi libéré que toi je te signal ! Et puis avec mon style très en vogue, ma gueule d'ange et toutes ces soirées, on s'imagine de suite que j'suis le genre de mec romantique certes mais qu'a déjà baisé. Et bien non, désolé, je reste encore un petit aliéné.
❝ j'me suis encore couché trop tard, j'me suis rendu sourd encore ❞ - saez.
Ira-t-on jusqu'au bout, dans ce monde sans fin ? Dans cette course effrénée qui défile à l'infini ? Je suis un lobotomisé, un fou de la vitesse et de la non-sociabilité. Enfermé dans mon ordinateur, les jeux vidéos et ma guitare si je pouvais vivre ainsi je ne m'en plaindrais pas. Et pourtant tout en modération, pas trop d'écran, je sors sans trop. Dans ma panoplie de l'adolescent parfait y'a pas d'ombre au placard. Pas de fausse image pour cacher le noir, pas de drogue dans le tiroir. Non pas que je me force, seulement j'ai pas envie, pas envie de me détruire, pas envie de tout détester. J'ai aucun mérite, j'ai eus une vie géniale, des parents sympa et pas non plus sans limites, des limites et parfois des vides où je devais les placer moi-même avec mes erreurs. Une vie stable... Mais c'est vrai je mens, j'ai beau être bien dans ma peau, j'ai beau ne pas être un salop... oui y'a bel et bien une ombre au tableau. La vitesse n'est pas si grisante ! Pardon ?! Oui voila, fou inconditionnel de l'adrénaline des courses, du dangers de la vitesse, de la férocité des secousses. Moto cross, moto de collection, moto de course. En forêt, dans les rues tard le soirs, argent à parier, ou simple décompression entre pote éclaté. J'ai beau avoir une vie presque parfaite sous tout les côtés, j'suis un psychopathe à deux roues. Un Dexter des bolides de course. Et ça, croyez moi c'est pas tout les jours facile. Premièrement parce que ça coûte chère et donc depuis mes quinze ans je bosse la plus part du temps que j'ai de libre, on trouve ça bien, que je sois mature, que je préfère travailler que me déchiré le visage. Évidement c'est bien, je demande pas à papa et maman de payer mes motos et mes outils, mais sauf que toute l'argent que j'ai du claquer... j'aurais pu nous acheter une villa dans un autre pays avec j'en suis sur. Deuxièmement il y a les frais d'hôpitaux, ouai parce que de suite c'est pas les mêmes bobos que lorsqu'on joue au foot ou au tennis. Et troisièmement, il y a les crises et la douleurs... pas forcément celle de côtes cassé où d'épaules déboités, non celles des gifles on des douloureuses punitions quand j'ai encore faillis me tuer... Le bruit de coup à la porte me fait ouvrir, les yeux, je tourne lentement la tête en direction de la porte qui s'ouvre. Et ma mère entre doucement en silence. Je croise son regard et quand elle se rend compte que je ne dors pas elle me sourie radieusement, s'approchant du lit au milieu de cette pièce blanche et impersonnelle. Je me relève , douloureusement, et je la sens comme souvent remettre les coussins derrière mon dos pour que je ne fatigue pas assis. Les minutes passent, elle entame la discussions, si j'ai pas trop mal, depuis combien de temps les médecins m'ont ramené dans la chambre ect... Mentalement je fais le décompte. Mais quand vas-tu arrêter ?! Ça part sans de signal le prévenant, comme toujours. Quand est-ce que tu vas comprendre que tu joues beaucoup trop avec ça ? Quand tu seras aller jusqu'à où ? Quand t'auras plus de moyen de bouger, que tu serais handicapé... Où alors seulement quand tu te tueras avec ce genre de chose ?! Elle me fixe en colère, ou plutôt furieuse, blanche de rage. Moi j'aimerais lui demander si la moto a été récupérée mais c'est pas le moment. Je me mors la lèvre. Le but.. c'est quand même de se réveiller. Car sinon on peut pas savoir ce qui a foiré et mieux recommencer après sans se cracher.... Sincère, polie, enfant adorable, pas d'insolence je lui explique juste. Et la gifle par d'un coup, je la vois pas venir, seul le bruit et la douleur me le font comprendre. Je l'ai mérité, je le sais. Puis je l'a vois me fixé en colère avant d'éclater en sanglot, me faisant promettre de ne plus lui faire une pareil frayeur, qu'elle en mourrait de me perdre. Et voila je m'en veux, et j'ai mal, y'a pas que les dix points de suture à l'arrière de ma jambes, ni mes trois doigts cassés et les côtés fêlé, non j'ai mal qu'à chaque fois que ça recommence je l'a met dans cet état et que ça finit jamais. Jamais...
❝ a nos vies de merde, dans ce monde de merde, qui tire à sa fin. ❞ - unknown.
Réellement on a moins d'une seconde. Je dirais la moitié d'une seconde pour voir les choses arriver et réagir, ne pas se rater. Parce que ça va trop vite et qu'on a pas le temps de s'arrêter pour réfléchir à comment s'arranger. Une branche de feuille frappe contre mon casque et j'en perd la vision un quatre de seconde, assez pour être secoué brutalement par une pente trop raide. Un tronc en face que j'évite de justesse et déjà deux autres qui se place devant moi, je tourne le guidon et posant le pied à terre je me penche sur le côté, de tout mon poids pour l'incliner. Ça hurle, et la poussière monte rapidement, je lâche l'accélérateur , assez pour bondir en avant, et je repars obliquant totalement de mon chemin principal. Un éclaire juste à côté, je tourne la tête juste assez pour reconnaitre la couleur orange de Tim' qui suit le mouvement, me doublant de quelques mètres, je sourie en suivant son chemin, le suivant dans sa lancé. Anto' me suivant de près dans mon rétro. J'ai chaud, j'ai soif et les membres engourdit, et je me sens planer. Y'a plus d'objet, plus de réalité, que de simple trainé de couleurs, des flashs de lucidité, des obstacles à éviter. Je reconnais rapidement les éclaircie du début de la forêt, on en revient au point de départ, et dans un dérapage qui détruit pour de bon le calme de la forêt, je m'arrête, retrouvant le sol pour de bon, le calme, et un moteur coupé. Je retire mon casque, bougeant mon épaule qui me fait encore mal. A bout de souffle, j'attends Antonin, tandis que le blond face à moi me jette une bouteille d'eau, un sourire d'extase aux lèvres. Parce que dans la vie y'a les jeux vidéos, et puis y'a ça. La réalité. La vraie vie.
❝ l'homme n'est pas fait pour travailler et la preuve, c'est que ça le fatigue !❞ - t. bernard.
Émerveillé, je regarde le bar avec un sourire radieux. Et dans un monde totalement transfiguré je m'évade. Ca peu pas être réelle, toutes ces couleurs, toutes cette gentillesse et ce besoin d'amour que je sens autour de moi. Et au sourire tout aussi identique de Tim je comprend qu'il pense pareil, qu'on est entrée à pied joint dans un dessin animé, et que p*tain c'est bon... Mal de crâne, souvenirs flou et étrangement coloré de la nuit, je bouge le bras, reconnaissant avec trop d'habitude le canapé de Tim. Zut, cet état léthargique, douloureux et tragique est beaucoup, beaucoup, beaucoup trop rare pour que j'y sois habitué.Je cherche des yeux une trace d'humanité et trouve une loque sur son lit devant son pc, je me lève et m'écroule à ses côtés, tandis que ma question imprononcé lui arrive sans doute en tête. Défigeur ! .. Anto en avait sur lui, c'est pas un adepte il préfère des trucs plus agressif, et vu qu'hier on était bien partit, je me suis dit que ça pourrait être cool. Toi... t'étais déjà bourré et Anto' s'est dit que ça te ferrait pas de mal.. Je le regarde stupéfait, avant de m'intéresser plus ou moins à WOW sur son écran, je soupire enfonçant mon menton dans le matela. Première drogue autre que de l'herbe quand je suis aller en Europe... Et contre mon consentement. Drogué par ses propres amis... j'espère juste que vous m'avez pas violé... Il rit expliquant que de toute manière vu l'état ça aurait à la limite moi qui en aurait demandé... puis finit par me dire qu'Anto était ailleurs et qu'on a été simplement tout les deux ici pour dormir. Je n'aime pas ce genre de soirée, dont je ne me souviens pas, néanmoins je me retourne sur le dos. Au moins merci de ne pas m'avoir filer en douce du sacrum... Il sourit disant qu'il l'aurait jamais fait. Déjà que je suis pas fana des drogues, je pense que voir le monde en noir et blanc version film muet m'aurait traumatisé à vie... Je me tourne pour posé ma tête sur l'épaule de Tim' tandis que je le regarde jouer, l'air absent, me disant que j'ai des devoirs à finir, une moto à réparer et que demain après-midi j'ai promis à mon père d'aller acheter un truc avec lui pour le cadeau de noël de ma mère - en de son ex-copine donc , oui chercher la logique dans le fait d'être séparer et de s'offrir encore des choses...
Dernière édition par Désiré P. Campbell le Lun 19 Sep - 12:22, édité 1 fois
Indy K. Bernstein
PSEUDO : POLTERGEIST
Sujet: Re: DÉSIRÉ █ ▌dont ce monde où on a pas sa place, dis moi où va le temps qui passe Lun 19 Sep - 11:48
J'aime le prénom, j'aime l'avatar - que je ne connaissais pas tiens - Bienvenue parmi nous
Invité
Sujet: Re: DÉSIRÉ █ ▌dont ce monde où on a pas sa place, dis moi où va le temps qui passe Lun 19 Sep - 11:55
MERCI - en même temps quand tu connais l'avatar, ça rompt tout le charme de sa personne donc vaut mieux pour toi -
Et Noette la mouette, je pensais que tu te laisserais pas avoir... ma foi si
Indy K. Bernstein
PSEUDO : POLTERGEIST
Sujet: Re: DÉSIRÉ █ ▌dont ce monde où on a pas sa place, dis moi où va le temps qui passe Lun 19 Sep - 12:01
Mwaaah mon mari ?
Invité
Sujet: Re: DÉSIRÉ █ ▌dont ce monde où on a pas sa place, dis moi où va le temps qui passe Lun 19 Sep - 12:23
BINGO
Indy K. Bernstein
PSEUDO : POLTERGEIST
Sujet: Re: DÉSIRÉ █ ▌dont ce monde où on a pas sa place, dis moi où va le temps qui passe Lun 19 Sep - 12:33
J'suis tombé dans le panneau
Invité
Sujet: Re: DÉSIRÉ █ ▌dont ce monde où on a pas sa place, dis moi où va le temps qui passe Lun 19 Sep - 12:37
C'est ça que j'aime chez toi, qu'à chaque fois tu me redécouvre quand je change de corps - out -
Syki Kumerlon
PSEUDO : SPACEPATER
Sujet: Re: DÉSIRÉ █ ▌dont ce monde où on a pas sa place, dis moi où va le temps qui passe Lun 19 Sep - 13:29
BOUUUUUUUH la fan de GLEE !!! R'bienvenue chérie
Invité
Sujet: Re: DÉSIRÉ █ ▌dont ce monde où on a pas sa place, dis moi où va le temps qui passe Lun 19 Sep - 13:44
c'est pas lui qui a gagné le glee projet - je viens de voir ça en cherchant des gifs XD - GLEE C'EST LA MERDE, lui c'est d'la bombe !
MERCI
Syki Kumerlon
PSEUDO : SPACEPATER
Sujet: Re: DÉSIRÉ █ ▌dont ce monde où on a pas sa place, dis moi où va le temps qui passe Lun 19 Sep - 14:06
J'aime beaucoup ce personnage chérie, Désiré a effectivement quelque chose de terriblement attachant. Tu iraz chez les Clyde, c'est une évidence, sur le palier UP2. - méfie-toi de ceux qui voudrait encore te droguer contre ta volonté -
Invité
Sujet: Re: DÉSIRÉ █ ▌dont ce monde où on a pas sa place, dis moi où va le temps qui passe Lun 19 Sep - 14:08
Haha merci c'est adorable (a) Et puis merci aussi du conseil, maintenant je regarde ce qu'il y a dans mon verre, et je ne bois qu'un seul, parce qu'après je sais même plus si on me fait avaler quelque chose d'autre que de l'alcool :p
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Sujet: Re: DÉSIRÉ █ ▌dont ce monde où on a pas sa place, dis moi où va le temps qui passe
DÉSIRÉ █ ▌dont ce monde où on a pas sa place, dis moi où va le temps qui passe