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| Sujet: Nafanail - À l'envers de notre terre il y a l'interrogation du que-faire - End Lun 22 Nov - 20:23 | |
| MAX BARREAU PAR APOKALYPTO.
Nafanail Pavlov Naf ou Nail ♦ 52 réincarnations ♦ Bisexuel ♦ Thé, de préférence non sucré ♦ Tache de naissance sur l'extérieur de la cuisse gauche et une coccinelle tatoué dans le creux de l'omoplate droite. Entre autres
Juste de quoi rêver encore. Il crois que nos âmes ne meurent jamais, seules le corps dans les limes disparait. L'amour et la tendresse l'étreigne dans une violence presque castratrice. Le paradis est vide seul importe l'horizon. Le fait de vivre à l'unisson.
« Moi j'vais traquer les oiseaux mangeurs d'étoiles Et pour la peine Ils m'emmèneront visiter le ciel Accrochée à leur ailes... »
Il ne manque plus que son ange sans ailes. Son cadavre de devant les bars. Il l'a tellement aimé, elle. De la vie et de ses meurtres barbare. Loupe à la main il cherche à la retrouver au coin d'un chemin. Les traces s'effacent voir non jamais existé. Mais il ne lâche pas ce rêve, s'en fichant que l'espoir soit tué. Son fantasme est le sien, ça lui est égale qu'il ne val rien.
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All long the fucking life road.
C'est pas la faute des océans si les hommes plongent leurs rêves dedans. Un enfant, le nez collé à la vitrine du bus. La ville recrache en continue un flot de carcasses vides animées du simple désir d'acheter. Lui ne voit rien d'autre pauvre bambin aliéné, qu'une masse de couleurs fluorés. La mer de marionnettes égoïstes et masqués, à son âge ça fait encore rêver. Il saute promptement sur ses pieds, l'esprit parfaitement réveillé. Bien qu'encore englué de cette innocence traitresse. Pas vraiment l'âge pour nos maitresses... Plutôt celui des billes, des chocolats chauds pleins de guimauves rose et jaunâsse. Pas les vertes parce que franchement, elles ont l'air malades et dégueulasses. Sortant du bus il fait le grand plongeon. Et le sous-marin monté sur roux reprend tranquillement sa route remplie d'oublions. En souvenir un dessin tracé à travers la buée. Que l'enfant a nonchalamment abandonné. Au milieux des allés d'immeubles mal rangés. Il continue sa ballade de futur naufragé.
À force de croire à l'invisibles souvent les miens se trompent de cible. « Maman tu m'as appris, a vivre de ma foi. De cette force inébranlable qu'on ne peux trouver qu'en sois. Mais toi tu les vois, à chaque messe où tu vas. Je les perçois mais les autres me comprennent pas ! » Mensonges en trompe l'oeil d'enfant ne voulant pas croire au cercueil. Nos vies ne tournent pas en rond. Elles avancent autrement qu'à reculons. Plusieurs chances pour ceux qui un jour en on manqué. Tu vois les pleurs de ce bébé ? C'est parce que quelque part dans le monde, une femme pleure son amoureux décédé. Ils en ont rient, de mes croyances. Décrétant tout simplement que j'avais l'esprit en vacance. Erreur de compréhension dans ce que tu as voulue m'inculquer par ton éducation. Horrifié elle me crache au visage un regard de femme bafouée. La sainte pieuse et surtout alcoolisée. Brandit la bouteille au liquide de transparence tape à l'oeil. Je recule, instinct de conservation. Bien qu'aujourd'hui j'ai la force de la contrer, je ne peux lever la main sur elle. Finalement la vodka dont à dix ans déjà je connaissais les marques sur les bouts des doigts. Termine sa vie de débaucheuse de paroissienne sur la tapisserie malmenée de ma chambre. Elle peste et rage contre son propre geste. Infortune chronique de l'alcoolique. Je m'avance, délaissant pour la énième fois ma recherche de réponses. Elle tiens à peine debout, se débat sans conviction. Aussi je la soulève en douceur jusqu'à son lit un peu plus loin. Tu es un peu fou, croire que la vie recommence, encore, et encore... Le seigneur pleure ton erreur, me chuchote-t-elle au bord de sombrer dans le coma de l'ivresse. Je reste à ses côtés, l'observant d'une indifférence sans veille. Tangible dans l'air, les émotions qui se cristallisent comme du verre. Les croix, ostentatoire signe de sa putain de foi, me narguent tous le long du couloir de l'appartement. Pourquoi tu m'as pas mieux apprit maman ? Croire en Dieu, aux prières dans les missels, aux cierges qu'on brûlent pour ce qu'on aime. J'ai tout retenue, mais de travers. Assidument j'ai entendu amour de l'autre, tolérance, confiance en ceux qu'on ne voit pas. L'âme immortelle. Mais pour moi elles ne montent pas au ciel. Blasphème. L'invisible j'y crois, oh oui j'y crois. Mais pas à celui qui rassemblent les foules dans l'église de pierres froide et venteuse. Ma religion à moi est moins vendeuse, on la traite de menteuse. La nature parle et les morts ne le sont pas vraiment. Autant dire qu'ils m'ont vite catalogué de dément.
Qu'un jour nos corps en manquent d'alcool, viennent se déposer sur le sol. L'âme écornée à coup de seringue mal nettoyé. Je sais pas comment je fais pour pas finir contaminé par toutes les merdes qui passent. Chance de cocu. Ça doit être ça oui, la coup de bol des mâles cornus. Une tasse de thé entre mes doigts glacé, la fumée s'envolant jusqu'au plafond. Chambre sordide d'appartement miteux. accueillant pour qui n'a jamais connue mieux. Ou bien pour qui n'a plus de pieu. Le matelas chose rare restant en bonne état, et couvert de jeunes bourrés. Ils me tendent un verre que je décline avec insistance, à côté de moi un ange fait pareille. Je la dévisage, remarquant à peine sa présence au milieux de mon habitation. Elle est belle. comme elle est belle cette anges sans ailes. Elle me sourie et moi j'avale un gorgée d'eau brulante. Vas-ten loin espèce de catin en attente. Une demi lune de dent blanches , carnassières sans scrupules. Sa réponses cadence mon rythme cardiaque sans la moindre possibilité de recul. Alors je me redresse sur mes jambes cocaïnées pour venir adorer sa beauté. Comme je l'ai dit le remord ne l'assaille jamais. Déjà son attention se porte sur un autre con. Grimace résignée devant la danse de la religieuse menteuse. La mente-religieuse. Faut bien avouez que mes cafards disparaissent et reviennent aux nuances de ses fards. D'un demi-tour maudissant les vautours, je part à la fenêtre encrassée. Nicotine oh mon poison. Toi qui m'aide dans les nuits qui n'ont plus aucun fonds. Les tonalités sonnent en une joyeuse cacophonie. Je l'écoute sans euphorie, rêvant de leur départ pour pouvoir me toucher au creux du lit. Solitude de l'habitude. Les gens en horreurs de moins en moins rudes. Un battement de cil attise mon regard. Ne pouvant restitué je reviens papillonner autours de la lumineuse souillon. Le temps des secondes plus tard et nos lèvres se battent à l'unisson. Couillon. Corps chantant, voix dansantes, leur valse débauchée fait tournoyer notre étreintes. Inexplicablement à deux sur le sol. Nue, me tournant vers son soleil tel le tournesol. Elle referme ses mâchoires autours de moi. Je me noie.
Comme ils sont beaux les rêves d'hier, oubliés là dans la poussière. L'enfance a pas de chance. Elle disparait la première. Les bonbons prennent un goût rance. Les rails deviennent nos prières. Leurs âmes se lient trop tôt. Ils finissent facilement dans le caniveau. Sorcière qui glorifie au rang d'archange sacré. Marionnettiste trop maquillée jouant avec sa poupée. Il vénère ses fils et son jeu de scène de séduction. Avale ses paroles en y trouvant tellement de questions. Mais les poser serait obscènes. Transformerai tous ça en relation trop saine. L'amour ne ressemblent alors pas à ce qu'il en pensait. Ce n'est pas franchement un conte de fée. Normalement quand on s'éprend d'une jeteuse de sort. Faut pas s'attendre à ce qu'elle nous couvre de trésor.
J'ai peur des ciels sans horizons, que mes bras deviennent ta prison. Le futur en point de mire quoi qu'il arrive. Ne jamais avoir peur de l'autre rive. Dans un café il boit son thé en lisant le journal de l'an passé. Et rien n'a changé. Mort et trahison. Politique et prison. Tous ça leur bouche bouche la vue. L'avenir en masse. Mais dans nos yeux l'impasse. Y a t-il encore de l'espoir ne serrait-ce que dans la rue d'en-face ? Il attend. Belle ange blanc. Elle débarque. Le coeur qui se détraque. Il l'enlace avec la passion des fous. Fous à lier. Ça existe encore chez nous. Des amoureux tendrement enlacés. L'angoisse sourde lorsqu'il la tiens dans ses bras, celle qu'on exprime que tout bas. Il se contente de relâcher l'étreinte et de plonger une main dans sa crinière d'or. Dort mon enfant, dort. Il y trouve le parfum d'un autre comme une ode à sa liberté. Ne pouvoir jamais l'enfermer. Il s'y résigne et s'y contrains bon grès, malgré… Malgré les envies de l'étouffée. Qu'il soit leur seul air qu'elle puisse respirer. Enfin qu'importe puisse que ses yeux suffisent. La voir partir serait une si terrible crise. Elle calme les peurs et le malheur par sa douceur acide. Son trouble jeu qui n'exclue pas l'avenir à deux. Oublier le fratricide. Rêver qu'on ne se brulera jamais de son feu.
J'ai peur que sur le cris des autres, on écorne un peu trop le nôtre. Foisonnant dans mon appartement il y a tes autographes de tortionnaire. Lingerie de dictatrice aux grand airs. Une dispute des heures auparavant qui encore me lacère. Hurlements aphones et incompréhension qui me mettent à terre. Tu as claqué la porte sans un regard en arrière. Cette pièce se jouait déjà hier. Ils ne comprennent pas pourquoi tu reviens à chaque fois. Pourquoi je ne met pas le verrous pour te rappeler qu'en amour il y a des lois. Dans notre jeu t'autodestruction tu craque l'allumette, et j'y apporte l'essence de mes larmes. Un drôle de drame où l'on s'échangent les armes. Ils finissent la boucherie en étant le vent soufflant sur nos incendie. Quelle mauvaise synopsis. Dans la scénario maudit de nos respiration, je cherche les traces de vies. On s'essouffle à courir loin d'ici. Retour en arrière, ce sont nos affaires. À l'amour comme à la guerre. Je suis le combattant qui s'écorche les doigts dans ton sang. Me désagrégeant dans son amour hors du temps. Buvant ses douces paroles aux effets d'arsenic sans jamais formuler plus que de vagues critiques. Léger hic.
L'acide peut prendre la place du miel, et le monde change en rêve cruel. Rois de pacotille pour jeux d'échec en mille morceaux. Comme ton corps de brindille explosé sur le carreaux. Encore un soir à finir dans les bars. Tasse de thés en trop ça suffit je me barre. Toi tu te pique de ces bonheurs en petit capsules colorés. Finir ivre puis morte sur le pavés. Dans la pièce aseptisée je te reconnais étendu et brisé. Ton visage de traces de pneus souillé. Ma respiration me fait penser aux maisons qui s'écroulent. J'abdique, reconnais le décès en signant ce fichu papier. Ton absence déjà là autour de moi s'enroule. Elle m'étouffe jusqu'à suffoquer. L'air de dehors en suite noyé dans le chaos. Celui de la glace qui étreignait ta peau. Ton âme m'échappe mon amour. Elle s'est faite fauchée au carrefour.
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Invité
| Sujet: Re: Nafanail - À l'envers de notre terre il y a l'interrogation du que-faire - End Lun 22 Nov - 20:38 | |
| Encore toi ? Increvable xD Ta fiche est juste à couper le souffle *o* Je t'aime tu sais ? ♥ |
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Invité
| Sujet: Re: Nafanail - À l'envers de notre terre il y a l'interrogation du que-faire - End Lun 22 Nov - 20:41 | |
| HAN. Deden ! Trois compte. Comment que t'es un fou. |
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Invité
| Sujet: Re: Nafanail - À l'envers de notre terre il y a l'interrogation du que-faire - End Lun 22 Nov - 20:59 | |
| NAFANIEL mouahhaha tu es un fou tu as raison Xd faudra que je trouve le temps de la lire elle parait troooop fun c'te fiche |
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Invité
| Sujet: Re: Nafanail - À l'envers de notre terre il y a l'interrogation du que-faire - End Lun 22 Nov - 21:02 | |
| Je confirme; elle l'est! J'adore la poésie que tu glisses partout @@ |
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Invité
| Sujet: Re: Nafanail - À l'envers de notre terre il y a l'interrogation du que-faire - End Lun 22 Nov - 21:03 | |
| J'suis fou et alors, on m'aime quand même N'empêche j'aimerai bien vos avis sur le contenue de la fiche, savoir si je suis acceptée dans le rang des validé Merci pour les compliments Ash et Alice |
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Invité
| Sujet: Re: Nafanail - À l'envers de notre terre il y a l'interrogation du que-faire - End Mar 23 Nov - 17:49 | |
| Par contre ficheuse de trouble que je suis... Will est prit pour un scénario :/ |
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Invité
| Sujet: Re: Nafanail - À l'envers de notre terre il y a l'interrogation du que-faire - End Mar 23 Nov - 18:16 | |
| Je fait alors une appel à l'aide, je trouve personne d'autre qui irais pour nafanail, auriez-vous des idées ? |
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Invité
| Sujet: Re: Nafanail - À l'envers de notre terre il y a l'interrogation du que-faire - End Mar 23 Nov - 18:21 | |
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Invité
| Sujet: Re: Nafanail - À l'envers de notre terre il y a l'interrogation du que-faire - End Mar 23 Nov - 18:22 | |
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non trop féminin, un trop androgyne ne colle mais alors pas du tout avec l'image que j'ai de nafanail =/
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Invité
| Sujet: Re: Nafanail - À l'envers de notre terre il y a l'interrogation du que-faire - End Mar 23 Nov - 18:45 | |
| J'ai finalement opté pour Max Barreau (a) fiche finie donc avec un jolie mannequin, libre |
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Invité
| Sujet: Re: Nafanail - À l'envers de notre terre il y a l'interrogation du que-faire - End Mar 23 Nov - 22:14 | |
| Nan sérieux t'attend quoi là ? Qu'on supprime ton compte? Nan parce que la tu te fou bien de notre gu*ule !!! *haha en mode ambiguë de propos* Bref j'attend personne j'te valide en premier parce que vu ton pavé, vu ton écriture et sa beauté sérieux il n'y a rien à attendre. |
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Dead Pixels
| Sujet: Re: Nafanail - À l'envers de notre terre il y a l'interrogation du que-faire - End Ven 26 Nov - 16:36 | |
| Avant de m'apercevoir que c'était ENCORE toi, j'me suis n'empêche une rameute vraiment des gens extraordinaire, qui ont une imagination débordante, et qui aime les gens pas trop connus -et beau- bref, je dévorerais ta fiche demain, aujourd'hui je manque de temps. et j'aime ton avatar, il est sublime |
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Syki Kumerlon
| Sujet: Re: Nafanail - À l'envers de notre terre il y a l'interrogation du que-faire - End Sam 27 Nov - 21:26 | |
| Suis impatiente de voir ce que tu en penses |
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| Sujet: Re: Nafanail - À l'envers de notre terre il y a l'interrogation du que-faire - End | |
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