Dis maman, c'est vrai que j'suis un séréal killer ? Quoi ? Qui a dit cela ? Voyons mon chéri bien sur que non. Tu es certes impulsif mais les serial Killer sont des tueurs...enfin tu es le petit garçon le plus gentil de la terre... C'est un gars à l'école, il a dit que j'étais un séréal killer... Mon chéri faut pas croire ces âneries voyons... tu es un petit garçon très gentil... J'peux avoir mon avion télécommandé alors? Maman fronce les sourcils avant de soupirer un peu énervée. Ba quoi elle a dit que j'étais un petit garçon adorable, on leur offre des cadeaux aux petits garçons. Non Hadès on en a déjà parlé. Tu n'auras pas cette avion tu n'as qu'à attendre Noël prochain ! J'VEUX PAS ATTENDRE J'LE VEUX MAINTENANT!! MAINTENANT JE VEUX MON AVION TOUT DE SUITE. VAS ME L'ACHETER!!!! Une gifle qui heurte ma joue avec violence, en feu. Non ça fait plus mal, et j'ai les yeux qui pique. Parce que maman n'a pas le droit de me gifler. Pas le droit. Je veux mon avion, j'ai été sage , j'ai eus des bonnes notes, j'ai rien cassé. J'ai été sage et je dois avoir mon avion. C'est tout ! Mais maman me punit dans ma chambre sans manger et dis que je pourrais ainsi réfléchir à mes paroles et mon ton. Elle va me le payer. Je veux mon avion ! Et maintenant j'suis consigné dans ma chambre, plus un bruit la nuit règne et moi je m'ennuie. J'veux mon avion. Elle me l'a refuser. C'est indigne comme mère elle devrait être torturé. Je regarde ma chambre avec dédain, je suis même pas un pyjama, j'ai juste un petit tee-shirt blanc et un pantalon de pyjama abimé. J'veux pas lui faire plaisir. Je saute au pied de mon lit, je veux juste partir. Elle veut pas m'acheter mon avion, elle a pas le droit de me dire non.
Petit lutin dans la maison, intrus dans ce monde de c**/ Je regarda la cuisine, je joue avec la boite dans mes mains. Petits bruits de bâton qui sont perturbé, petit enfant qui va chez ses parents les observer. Sales c**s !
Je referme la porte doucement, je la bloque avec une chaise. vous viendrez plus m'embêter. Je dépose ma couette dessus, je vais m'assoir et attendre qu'ils me gronde. Petite boîte entre mes mains, j'arriverais pas à attendre le matin. J'ouvre la boîte magique, je regarde on arme de Pandore. Petit sourire nostalgique, devant le souvenirs de l'image qui ressemble à l'or. Un petit bâtonnet, je frotte ça craque, ça s'enflamme comme mon âme. Je souris et regarde, cette flamme qui divague. Je souffle. Elle s'éteint. Je recommence. Une douleur dans mon doigt je lâche le bâton qui tombe sur mon drap. Oups. Un petit crépitement, une étincelle et plus rien. JE sourit amusé. Je me lève et regarde ma chaise. Petite allumette qui reprend vie, je l'approche du draps; la colle. Et pouf ça décolle. Petites flammes qui se lèche, je m'écarte. Je ris et je pars. J'en prend une autre, pouf le canapé s'illumine; les rideaux reprennent vie, l'or qui m'entoure. La chaleur qui me secoure. La porte est fermée, je tourne les clefs, je continue de déposé contre les meubles des petits bâtons incendiés. Je referme la porte je tousse avec la fumé. J'aime pas cette aspect de mon dieu bien aimé. Je referme, tourne les clefs les met sur le palier. Et je vais sur le trottoir, regarder mon or bien aimé, venir vers les cieux dansé. Tandis que bientôt j'entends mes parents s'éveiller, et que leurs cris emplissent la nuit que je viens de sublimer. Vous, mon avion vous me l'avez volé.

ANDEA !!!!! P*tain c'est quoi c'te merde?! J'ai dis café pas truc immonde !!! P*tain tu sers à rien t'es inutile comme mec ! je me lève et arrive dans le salon, évidement il est encore avec sa psp de mon c*l. Je lui jette la tasse brûlante dessus, prends toi ça au moins ça va te rentrer dans la tête. Il lâche son jouet suite à la douleurs. De toute manière vu l'écran noir je viens de lui cramer son joujou. Café et chaleur doivent pas lui aller. Tant mieux il se sortira de ce truc pour me faire une meilleure boisson. Je l'observe avec dédain, me foutant totalement de sa douleur et de ses yeux qui s'emplissent de larme sous la chaleur. Va m'faire un meilleur café ! Je croise les bras en le fixant et le voit se lever rapidement. Dea' il est bien, Andea il réagit bien, il obéit bien. Dea' c'est le seul qu'est resté malgré les années. En même temps il sait très bien ce que je lui ferrait si il venait à déserter. Et puis il est trop amoureux de moi pour me lâcher! Je Je retourne dans ma chambre je m'habille. J'enfile un tee-shirt et ouvre ma porte, j'vois mon colocataire reprend sa psp et la regarder quelques minutes. Je l'observe, il a de la crème sur le bras, crème anti-brûlure. Je ris de cela. Je le regarde jeter son jeu par terre et laisser tomber la psp dans la poubelle. La bonne affaire. Je soupire, j'prend une veste, des basket. Je sors dans la cuisine. J'reviens et j'veux mon café dès après ! J'claque la porte.

Je rouvre la porte, je secoue mes cheveux pleins de pluie.Une musique me fait froncer les sourcils. Jeu pourris, où il passe devant sa vie. Je sent l'odeur du café. Cafetière enclenchée, je ris. Je garde mes basket trempée, la flemme de les ôter. J'arrive devant la télé et éteins la console d'un coup de pied. hé mon jeu... Réplique que j'ignore et que j'éloigne d'un haussement de sourcil. Tiens j'ai un cadeau. J'dépose le sac sur le canapé et retourne prendre mon café. Son regard sur mon dos, ensuite je l'entend prendre le sac. Je me serre dans une tasse et reviens vers le salon. Exclamation entendu, je me laisse tomber sur le divan en l'observant regarder sa nouvelle psp. Je l'écoute même pas me remercier, j'en ai que faire. Je le laisse venir à côté de moi, ba allez j'lui ai exploser pour trois fois rien, ça valait pas le coup de l'en priver. Et puis sans psp j'suis sur qu'il ira trainer faire des conneries. Au moins là il reste à la maison. J'bois une gorgée et sors mon briquet. Du coin de l'œil je vois Andea fixer la flamme qui surgit. Non pas aujourd'hui. Il finit par venir s'appuyer contre moi, je me redresse un peu puis finalement le laisse faire. J'ai rien de mieux que jouer à rien faire. Je déguste mon café tandis que lui se remet à jouer à ces trucs de débile raté. Oh moins j'suis pas seul, oh moins il y a toujours quelqu'un en dessous de moi, à qui faire mal sur qui crier, sur qui se reposer et puis; lui il m'a pas lâché, il m'a jamais rien refusé !