Je vais vous exposer leur relations avant le départ d'Hadès. Puisqu'ils ne se sont plus vu depuis un peu plus d'un an, il faut bien imaginer que la scène suivante se déroule au passé. Je laisse la possible réaction de Gloomy vis à vis du retour d'Hadès volontairement inconnu. Histoire que vous ayez vraiment la surprise en rp, comme le personnage. Ça me semble plus intéressant. Tout comme je vous laisse libre de ce qui se passe dans la vie d'Hadès pendant un an. J'expose également leur relation du point de vue de Gloomy, parce que ce qui m'intéresse c'est pas de vous obligé à jouer l'Hadès que j'ai en tête, mais à faire grandir la base que je vous propose. Surtout vu que, malgré tout Gloomy sait assez peu de choses sur ce que pense vraiment Hadès de lui.

Il claque la porte et c'est sans retour. Il m'abandone dans notre tour d'ivoire calcinée et commence le compte à rebours. Des heures durant je serais Raiponce pleurant son impossible liberté. Un jour c'est avec mes propres cheveux que je m'étoufferai. Ou les siens que comme le reste, de force il me fera avaler. Du gaz empoisonné. C'est ce qui sort de ses lèvres que je ne me lasse de désirer. C'est ce qui me fait délicieusement planer. Et j'ai tout à envier, tout à pleurer. Je reste devant cette écran illuminé pour jouer. Jouer à en gerber. Jusqu'à c'que mon esprit se meurt de pixels frelatés. Un casque vissait sur les oreilles et une musique hurlée. Défile des bonhommes aux couleurs agressives et au gestes saccadés. Jeux vidéos pour oublier. Un air électronique me rompt les tympan jusqu'à même m'empêcher de penser. Ensuite je choisie son tee-shirt pour me masturber. Dans ses draps que trop de filles ont visités. Je sens le plaisir monter. Une seconde sa présence me traverse l'esprit... Il vaut mieux pas que j'en parle, on deviendrai fou. On deviendrai quelque chose trop proche du nous. Et justement on ne ressemblerai alors, plus à rien du tout ?


“ Excuse toi Gloomy ! ” Petit chiot est égaré. Il ne sait plus ce qu'il doit croire ou renier. Un chien maltraité fugue ou reste malgré les coups portés ? Qu'est ce qui importe, cette place privilégiée ? Ou un monde d'amour jamais partagé ? Une baffe pour une caresse, il me ferait presque bouffer sa merde s'il le pouvait. À mon cou de corniot mon collier est lourd, trop serré. Sur les piques qui l'ornent je ne cesse de m'écorcher. Je me blesse et ça te fait rigoler. Tu en rajoutes et bientôt c'est mes croquettes que tu vas empoisonner. Déjà que tu squattes perpétuellement mes pensées. Un blond qui passe dans la rue. Des yeux un peu trop bleus et paff je suis foutu. Dévorais de l'intérieur par notre jeu biscornu. Je voudrais me défendre, me tordre et hurler cette passion de chien battu. Mais ta fausse candeur m'a déchue. Mes hormones d'adolescent détraqué me poussent à des gestes incongrus. Je ris, je pleure. Hadès tu sais je crois que j'ai peur. Peur de comprendre que sans scrupules tu m'abandonnerai. Que tout ce qui t'importe finalement c'est une poupée à calciner. Le reste, rien à cirer. Va y cabot crève sur le planché. Ta place tu le sais, elle est à mes pieds.