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| GRIFFITH'S BROTHERS ➜ ☆ Hope well, and have well. A guilty conscience needs no accuser. | |
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Auteur | Message |
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M. Pièro Griffith
| Sujet: Re: GRIFFITH'S BROTHERS ➜ ☆ Hope well, and have well. A guilty conscience needs no accuser. Mar 8 Mai - 19:26 | |
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camil & kael
“ Parfois le plus dure est de faire semblant que tout vas bien pour le plaisir des autres alors qu'on a qu'une envie c'est de crever. ”
Je comprend pas trop ce nouveau Ton' qui est face à moi, cette non confiance en lui que je ne connais plus. qu'il avait par fois à Varsovie quand parfois ça n'allait pas. Le temps où encore trop petit je venais me glisser dans son lit, sans appréhension, sans idée de trahison, juste par peur quand j'entendais le paternel hurler, parce que je savais qu'il était là lui. Et je voyais son regard incertain et pourtant fort, sa main enfermant la mienne si minuscule et me remettant que tout irait bien. Que tout irait bien. Est-ce que là aussi tout va bien ? Est-ce que ça aussi on peut le classer dans les choses qui ne vont pas mal ? Est-ce que j'ai besoin de demain pour savoir que ça va changer, que l'un de nous le regrettera sans doute, que ça va me faire mal, très mal, trop mal ... J'ai déjà mal, parce que c'est pas bien ce que l'on fait, on a pas le droit, et qu'il ira oublier cet évènement dans le bras d'une catin, noyer ses pensées dans l'alcool et je ne sais quoi d'autre, qu'il ira se laver et oublier, et que moi j'aurais rien, rien pour ne pas y songer. Je souffre d'avance, c'est fou, ça devrait franchement devoir atténuer la douleur suivante... mais je sais que non. Non pas du tout.
Je vois ses grimaces, je vois que mes mots l'agace, non lui vont pas. Mais il ne s'énerve pas, non pire il semble ne pas s'énerver et en être touché. Si.. Si, on peut. Je.. tu en as envie alors.. C'est pas grave.. On peut Camil, on peut. Ses mains se contractent sur les miennes, sans douleurs pourtant, il a pour une fois abandonner semble-t-il tout domination physique et violente. Je devrais voir ça comme un bien alors pourquoi je ne cesse de me dire pire ? Parce que j'ai peur de m'attacher à ça, parce que je sais que ça ne durera pas ?! Je ne sais pas ! Ses lèvres reviennent sur les miennes plus doucement, plus simplement et pourtant tout le temps aussi tentant, envoutant. Je frissonne, ne pouvant que me dire de fuir. Mon corps lui me dit que non, moi je le désir. Mais lui ? Et lui ?! Pas de réponse, j'sais très bien que j'en aurais pas c'est certain. Je soupire, j'inspire. Et sa main sur mon torse me ferait presque gémir. Je m'enfonce dans le matelas comme si cela me donnerait enfin la force de partir, ou alors juste la force de choisir. Ou peut-être que ça le fait, mes mains se dégages des siennes pour glisser lentement sur ses poignets remontant lentement le long de ses bras, le long de sa peau tatoué, dessiné transformé. Mon frère c'est une œuvre d'art, mon frère à moi, mon frère et rien. J'ai tout bonnement envie de pleurer, parce que tout ça me dépasse et que j'ai pas sa force et sa dureté. J'ai peu de distance pour avoir les larmes aux yeux, trop brillant. Je le repousse même pas, mon cou se détachant du matelas... C'est mal... Je souffle ma tête me disant de partir, alors que mon corps reprend le même geste, revenant prendre ses lèvres avec envie et besoin. Oui c'est mal, mal de recommencer, mal de ne pas l'en empêcher, mal de moi aussi le désir. Mais j'y peux rien, mes mains sur ses bras me permette de plus me relever pour mieux l'embrasser.
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Invité
| Sujet: Re: GRIFFITH'S BROTHERS ➜ ☆ Hope well, and have well. A guilty conscience needs no accuser. Mar 8 Mai - 20:16 | |
| Welcome home. Contrairement à ce que j'ai dis avant, je ne veux pas revenir en arrière, j'adore le moment présent, même si il est remplie d'inquiétude et d'incertitude. Je ne veux pas que tout redevienne comme avant, je ne veux pas qu'il se fasse draguer par Gontran, qu'il vienne me voir dans ma planque et que je l'engueule parce qu'il n'a rien à y faire. Je veux pouvoir le tirer dans un coin jusque parce que j'ai envie de l'embrasser, j'ai envie de le voir sourire parce que j'ai dit un truc complètement stupide ou que j'ai fais une blague pourrie. Je veux voir ses yeux briller lorsque je souris. Putain, je commence à devenir complètement guimauve, ça en est navrant, je suis pitoyable, mais c'est à cause de lui tout ça. C'est lui qui me fait ressentir tout ça et je ne lui en veux pas. Je ne serais qui je suis sans lui, en vérité c'est pour lui que je fais tout ça, que je le repoussais et que je n'étais pas proche de lui. Parce que je me disais que si je le repoussais, il ne s'attacherait pas à moi et ce serait mieux comme ça. Seulement en ne voulant pas le faire souffrir, c'est moi qui souffre à sa place. Peut-être que ce n'était pas la meilleure solution et que maintenant ça allait s'arranger, pour lui et pour moi ? Je n'en avais que faire des autres, je sais qu'on a pas le droit de faire ça, que noter mère ferait une crise cardiaque si elle entrait maintenant dans la chambre et qu'elle nous voyait ainsi. Encore heureux que notre père soit partit, mon souffle se bloqua en pensant à ce qu'il aurait pu faire, ce qu'il aurait pu faire à Camil. Lorsque j'étais petit, j'avais déjà du mal à voir notre mère se faire battre par lui, alors si il avait un jour touché à Camil, je crois que je l'aurais tué de mes propres mains. J'aurais fait autre chose que de pousser ma gueulante, je l'aurais tuer lentement mais surement, j'aurais laissé ma folie m'échapper. Personne ne pouvait faire du mal à Camil à part moi, c'est complexe comme pensée, mais c'était comme ça.. Une fois, j'avais complètement péter un câble, le jour où je l'avais giflé, je m'étais dit que j'étais comme lui, que je faisais exactement ce que lui avait fait à notre mère. Et si je devenais comme lui ? Je n'en étais plus très sur.. Alors pourquoi il s'était laissé faire dans ce cas ? C'était évident, non ? Je n'étais plus sur de rien, plus sur de moi. Ah.. Mais cette pensée s'était vite envolé parce que je savais au fond de moi que j'aimais trop Camil pour lui faire le moindre mal, du moins pas intentionnellement.. Je tenais trop à lui, mon ange.
Il me semble pas plus rassuré que cela de ma douceur, comme si elle lui faisait peur aussi, est-ce que je me voilais la face ? Est-ce que j'étais violent sans m'en rendre compte, je ne pensais pas être tombé aussi bas, du moins je ne l'espérais pas.. Il frissonne sous mon baiser, il ne s'enfuit pas, il ne panique pas, une fois de plus, je pense que c'est gagné, mais mon cerveau me dit bien vite que je ne devrais pas me réjouir trop vite parce qu'il pourrait très bien se dire encore que c'est mal et partir.. Pourquoi il fallait toujours qu'il dise que c'est mal, je ne voulais pas qu'il regrette, je savais très bien que c'était mal, mais je le voulais tellement que ça m'étais égal, je savais que je n'allais pas regretter le lendemain, peut-être un peu, mais pas au point d'oublier ou de faire comme si de rien n'était. Je le sens sous l'emprise de ma main qui fait des arabesques sur son torse, j'aimerais tellement voir la peau qui est en dessous, j'avais déjà eu l'occasion brève de toucher sa peau, mais jamais de pouvoir la contempler et de l'adorer comme je le voudrais..Je sens ses mains se défaire des miennes, encore une fois je ressens une sensation de froid qui vient manger mes mains, je le regarde paniqué, croyant encore qu'il va me repousser, qu'il va pousser mes épaules pour me faire dégager de sur lui. Pour une fois dans ma vie, je suis heureux de me tromper, sans un mot, il pose ses mains sur mes poignets, les faisant remonter doucement sur mes avant-bras et sur mes bras. J'apprécie pleinement cette douce caresse qui n'est pas de trop. Inconsciemment, ça montre qu'il repousse une barrière pour poser ses mains sur mon corps, je ferme doucement les yeux sous ses mains douces et chaudes. Il se redresse vers moi, me regardant de ses yeux brillants que je vois d'une lumière bleuté qui accentue encore plus le bleu de ses yeux. Il montre tellement d'émotions à travers ses yeux, des émotions que j'aimerais décrypter, mais je n'y arrive pas. C'est mal... Je serre la mâchoire, putain.. pourquoi il était toujours en train de faire ça ? Pourquoi dès qu'il faisait un truc pour me montrer qu'il était d'accord, deux secondes après, il faisait le contraire, il faisait machine arrière et décidait que c'était mal. Il n'en avait pas envie autant que moi ? Il avait des reproches à se faire ? Je ne sais pas, j'aimerais bien savoir ce qui lui passe par la tête. Il me parle comme à un enfant qui ne comprend pas tout et c'est vrai en partie, je comprend rien, mon cerveau est dans le flou après ce qu'on vient de faire. Cela avait provoqué un tourbillon dans mon cœur et ces paroles étaient en train d'emporter tout ce qu'il y avait dedans. Puis finalement, il reprend mes lèvres entre les siennes, je souris dans ce sourire, un vrai sourire, dommage qu'il ne puisse pas le voir, mais je suis sur qu'il le sent. Je remonte doucement en position assise, emportant avec moi, nous sommes tous les deux assis l'un en face de l'autre. Dans cette position, je veux lui faire comprendre que nous sommes à égalité, qu'il peut arrêter dès qu'il le souhaite. Je passe une de mes mains dans ses cheveux, les caressant doucement, collant encore plus mon visage au sien. Je penche la tête pour un meilleur accès à sa bouche, heureux de l'avoir retrouvé.. Lentement, je glisse ma main immobile au bord de son tee-shirt, caressant du bout des doigts sa hanche nu, demandant une autorisation muette pour accéder au reste de son corps.. |
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M. Pièro Griffith
| Sujet: Re: GRIFFITH'S BROTHERS ➜ ☆ Hope well, and have well. A guilty conscience needs no accuser. Mar 8 Mai - 21:14 | |
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camil & kael
“ Parfois le plus dure est de faire semblant que tout vas bien pour le plaisir des autres alors qu'on a qu'une envie c'est de crever. ”
Malgré la violence certaine de Kael, malgré ses coups de gueules, ses emportement quand parfois il renversait la table d'un coup de colère, sa violence avec moi. Malgré tous ça j'avais je n'avais comparé mon frère à notre père. Jamais. Il n'était pas comme lui c'était certain, même si j'avais été très jeune quand il était partit, et donc je n'ai pas de souvenir exact et sur de lui et de sa méchanceté. De mes souvenirs c'était un homme qui hurlait, qui frappait ou autre. Alors que Ton', jamais il ne l'a fait exprès, jamais il s'est mit à crier pour rien, jamais je ne l'ai vu des jours entier en colère ou lever la main sur notre mère ou même moi. Ok il m'avait déjà giflé une fois, certes chaque soir quand il rentrait défoncé ses mains se refermaient méchamment sur mes bras laissant de méchantes traces, mais c'était pas lui, c'était pas voulut. Et je reste persuadé depuis tout ce temps, malgré le changement certain de mon frère, qu'il n'est pas comme lui. Sa méchanceté n'est pas héréditaire et je sais que malgré sa froideur, et ses grognements je sais qui il est.
Mais voila je sais qu'a chaque fois il doit y penser, penser à être violent à ne pas vouloir l'être. Penser à notre père. Homme qu'on a en commun, parce qu'on a le même sang, le même ADN. Parce qu'on est frère, et que je devrais pas ressentir ça pour lui. On doit chérir son frère, l'aimer, l'aider pas le désir, pas en fantasmer, pas sentir cette chaleur dans son ventre, se sentir excité de l'imaginer dans certaines situations. Non on doit pas... et pourtant... Et la situation présente là n'aide en rien à me faire refouler ses sentiments, cette sensation face à lui. Ses mains, son corps contre le mien, si la matka rentrait que deviendrait-on ?! Je pense qu'elle le mettrait à la porte, elle le tiendrait pour responsable.. sans aucun doute. Où alors elle me virerait, car de nous deux c'est lui qui rapporte de l'argent, moi je ne serre à rien. Si à en dépenser. Alors peut-être qu'elle me virait. Et si elle nous virait tout les deux, accepterait-il de m'héberger avec lui ? Où me délaisserait-il vu qu'on serait plus sous le même toit ?! Trop de question pour si peu. Tout ça en partant du fait que si on nous voit on est mal. Mais dans ma chambre quel est le risque ? Hein ? Aucun, personne n'y rentre sauf lui. Personne ne s'y introduit sans mon autorisation sauf lui. Alors je n'en fais rien, je laisse ma raison de côté, je laisse ces question s'en aller, et je plonge tête baissé, bien trop envieux, bien trop envouté. Ses mains, ses lèvres, tout en lui me donne envie de me laisser aller. Et puis il est là, rassurant, protecteur, si grand, si lui... Alors je retourne dans ses bras, contre lui, je replonge dans cet abîme de l'envie. Je me penche vers lui, enfin non plutôt je monte vers lui, vers son visage pour m'emparer de nouveau de ses lèvres. Il semble surprit, sans rien dire. Je les sens s'étirer dans un sourire, et ça me fait presque sourire intérieurement délaissant mes craintes. Je finis par m'accrocher à ses bras pour me soulever et mieux l'embrasser.
Il bouge, il s'éloigne m'entrainant pourtant avec lui, nos lèvres se séparent un moment alors qu'on se retrouve assis, je retrouve ma liberté, délester du poids de son corps je reste un instant à l'observer, sa peau illuminer par mon ordinateur devient bleu, ses tatouages des traces sombres en arabesques enivrantes. Sa main revient dans mes cheveux avec douceur, nos lèvres se retrouvent, je le sens bouger et je commence à jouer avec sa langue, découvrant ce plaisir de ne plus lutter. Je me laisse sombrer, mes mains quittant ses bras pour se diriger dans sa nuque, empêchant ainsi ses lèvres de quitter les miennes. Un instant mon cerveau se remet sur ON en sentant sa peau frôler la mienne, plus bas, beaucoup plus bas à la limite de mon jean qui se tient toujorus trop bas. Ma peau s'enflamme, alors que je ne cesse pas de l'embrasser ne m'éloignant pas. Ne l'arrêtant pas alors qu'il semble attendre une réponse, mes doigts glissent le long de son dos, avant de s’immiscer sous son tee-shirt caressant son dos que je sait tatoué. Mes mains hésitante presque tremblantes par ces pas qu'on franchit. Non pas que c'est une première fois mais... Quoi que je doute que Ton' soit heureux d'apprendre que oui ce n'est pas une première fois, ni même une seconde et qu'en cachette j'ai déjà tenté l'expérience. Si seulement il connaissait la personne y'aurait des morts sur ses mains alors je me suis tu et puis... Bref, je me rapproche de lui avant de bouger, mes jambes se relevant légèrement pour finalement venir m'asseoir à califourchon sur lui. Une fois lancé... je suis le pire enfoiré, une fois lancé désolé Ton' mais je commence à te ressembler...
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Invité
| Sujet: Re: GRIFFITH'S BROTHERS ➜ ☆ Hope well, and have well. A guilty conscience needs no accuser. Mer 9 Mai - 19:00 | |
| Welcome home. Tout ce que j’espérais, c'est que Camil ne me compare pas à notre père, je voulais tout sauf ça. Je ne voulais pas voir la peur dans son regard comme lorsque nous étions petit. Il avait l'habitude de se faufiler dans mon lit lorsqu'une dispute éclatait entre nos parents. Il venait discrètement dans mon lit, sans faire de bruit, puis il me collait, se blottissait contre moi. Je n'avais pas d'autre choix que de le prendre dans mes bras, ce genre de situation me faisait peur aussi alors je ne voulais pas que mon petit frère ressente les mêmes choses, alors je m’efforçai à lui changer les idées, lui racontant des histoires pour qu'il s'endorme en oubliant tout. Je ne veux pas voir cette même lueur de peur qui reflétait au fond de ses yeux dans ces jours là, surtout si c'était moi qui faisait naitre ce sentiment de peur. Il m'avait fallu beaucoup de courage pour affronter notre père ce jour-là, au fond de moi je me pissais littéralement dessus, je n'arrêtais pas de penser qu'il allait me frapper sans aucun remord et que j'allais le sentir passer. Mais non, finalement il est partit le soir même et il n'est jamais revenu, pourtant on a cru qu'il allait revenir et qu'il allait être plus en colère que d'habitude.. On a pas attendu qu'il revienne, on est partit à noter tour et malgré que ma vie ne soit pas un modèle de sécurité, je me sentais mieux maintenant qu'il ne faisait plus partit de nos vies. Je sais très bien que ma mère à du mal parfois, notamment lorsqu'elle voit que je suis en colère ou des choses comme ça, j'ai peur qu'elle voit en moi notre père et qu'elle prenne peur. Je ne veux pas qu'elle pense cela, Camil non plus d'ailleurs.. Je voulais montrer à ma mère que je pouvais prendre des responsabilités et que je pouvais m'occuper d'elle et de Camil correctement, même si ce n'était pas d'une manière très légale.. Je voulais montrer à Camil que je pouvais être doux, attentif et tendre avec lui dans certains moments comme celui-ci. Au fond de moi, je ne veux pas faire honte à ma mère, alors j'essaye de l'aider comme je peux, de lui ramener de l'argent, de passer à la maison de temps en temps. Mais je pense que si elle découvre ce que Camil et moi faisions, elle me foutrait dehors. Je suis sur qu'elle penserait que c'est de ma faute, que j'ai pervertie mon petit frère. C'est vrai que des deux, je ne suis pas vraiment celui avec une vie irréprochable alors je comprendrais parfaitement sa réaction. Au fond de moi, j'ai envie que tout cela reste secret, entre nous. Même si c'est impossible qu'on s'embrasse devant tout le monde, si un jour c'est possible, j’aurais du mal quand même, parce que je me dis que c'est notre secret à nous, que l'on partage enfin quelque chose d'unique. On a jamais rien partagé tous les deux, à par peut-être de la peur, mais ce n'est pas vraiment un exemple. On a jamais eu de « moments privilégies » entre frères. Jamais de sortis pour aller trainer dans un parc, ni de sortie pour lui offrir une glace. Jamais. Alors, partager un moment aussi fort ce serait surement l'occasion. Un moment aussi intense et fort avec lui. Pour l'instant je n'ai jamais trouvé quelque chose d'aussi envoutant qui me fasse perdre la tête et qui me procure autant de frisson dans s mon être.
Lorsque nous nous sommes relevé ensemble et qu'il m'a regardé, j'ai vraiment cru un instant qu'il allait s'enfuir, qu'il n'avait fait tout ça juste pour partir et demander de l'aide. Mais je pensais à mal apparemment, ce n'est pas que je n'avais pas confiance en lui, c'est juste que j'avais tellement peur parce qu'il n'avait pas l'air près à continuer. Il avait changé d'avis, en même temps, je sais pas.. il avait l'air de le vouloir aussi, même si il disait non, son corps et ses yeux semblaient me dire de continuer et c'est pour cela que j'insistais tellement, c'était aussi parce que mon corps ne ovulait plus bouger de sur lui, mais j'essayais un peu de me trouver des excuses, je l'avoue. J'étais troublé par son regard, il me fixait, détaillait ma peau en long et en large, regardait mon visage. Puis son regard descendait sur mes bras et mes mains, j'avais l'impression que c'était comme un caresse invisible qui parcourait tout mon corps et qui me faisait frissonner tellement c'était doux. Ma main fait des caresses dans ses cheveux, prenant une mèche entre mes doigts et jouant avec, ses cheveux sont tellement doux dans je pourrais passer ma journée à jouer avec, rien que de sentir leurs odeurs pourraient me rendre euphorique. J'aimerais me perdre dans ses cheveux et dans son odeur, je pourrais m’endormir rien qu’avec ça que je serais heureux de mourir sur le champ. Encore une fois ses lèvres viennent chercher les miennes, c'est tellement un délice sur ma bouche que je pourrais les embrasser à longueur de temps. La douce texture de sa bouche me fait perdre la tête, c'est indéniable, je suis complètement fou de lui. Je n'y peux rien, c'est ma nouvelle drogue, ma nouvelle addiction, ses lèvres. Il joue avec ma langue, putain.. je ne le savais pas aussi doué, une petite pointe de jalousie vient en moi, sachant pertinemment que je n'étais surement pas la première fois qu'il embrassait quelqu'un, j'étais certes jaloux, mais tellement heureux qu'il se serve de ses talents pour moi. Ses mains se mettent sur ma nuque, empêchant nos lèvres de se décollés, chose que j'accepte avec plaisir, aspirant encore plus sa bouche avec passion, mais tendresse. Alors que j'attendais une réponse de sa part pour remonter ma main sous mon tee-shirt, je sens les siennes descendre plus bas, sur mon dos. Puis un violent frisson me parcourt le corps lorsque ses mains se mettent sur la peau de mon dos, ses mains sont tremblantes, ne sachant pas trop où se poser, ce geste me fait cambrer légèrement le dos vers lui. Ses mains sont si chaudes que j'ai l'impression de bruler de l'intérieur. Son corps se fait plus présent sur le mien, il bouge ses jambes, se mettant à califourchon sur mon corps, c'est là que je me rend compte que j'aime quand il prend des initiatives. Le voir comme ça au dessus de moi, ça m'excite encore plus. Putain, il faut arrêter de monter le chauffage de la chambre là, j'ai l'impression que le radiateur est en train d’explosé alors que c'est surement moi qui explose de l'intérieur. Je passe mes mains sur ses cuisses un moment, puis reviennent au niveau de son tee-shirt. Je les glisse en dessous, frôlant sa peau douce et je remonte de plus en plus, mais le touché ne me suffit pas, il me faut le visuel avec, alors à conter cœur, je détache mes lèvres à peine quelques instants et fait passer son haut par dessus sa tête, le laissant choir sur le sol. Je le regarde un instant, admirant cette peau magnifique et sans défaut qui se pavane devant moi. Je relève mon regard vers lui et l'embrasse de nouveau, encore plus passionnément. Mes mains ne peuvent pas s'empêcher de parcourir son corps, caressant du bout des doigts sa peau, de peur de lui faire mal. |
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M. Pièro Griffith
| Sujet: Re: GRIFFITH'S BROTHERS ➜ ☆ Hope well, and have well. A guilty conscience needs no accuser. Lun 14 Mai - 12:31 | |
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camil & kael
“ Parfois le plus dure est de faire semblant que tout vas bien pour le plaisir des autres alors qu'on a qu'une envie c'est de crever. ”
Demain sera un autre jour, c'est sur, s'en est certain. Demain sera plus étrange, demain je n'y survivrais pas. Comment reprendre à respirer, comment réussir de nouveau à se lever, à feindre une normalité. Demain je sais très bien que ça n'ira pas, ça n'ira plus. Et pour lui comme toujours tout irait bien. Je sais que demain je serais en sang, écorché, brûlé, mis au sol de l'intérieur, je me trainerais avec un sourire factice, je me lèverais avec la promesse d'aller en cours, de suivre la vie, comme toujours. Demain je me lèverais après avoir atteint un sommet jamais atteint. Demain je le sais ça sera beaucoup moins bien. Comme tout, mais pire. Je le sais. Je le sens, comme des toit enneigé avec un soleil qui se pointe, comme un beau temps trop vite oublié à la fin d'un été orageux, les arbres qui finissent par flambé aux couleurs hivernal. C'est comme la vie qui s'écoule, un fleuve qui ne revient jamais à sa source. Demain j'vous l'jure ça n'ira pas bien !Vous allez me dire pourquoi continuer, si je sais que je ne pourrais plus lutter, que je ne pourrais pas en parler, pourquoi pas tout stopper... C'est Ton', il est plus grand, plus fort, plus violent, et il est mon frère, il est aussi le mec qui à l'instant est entrain de m'embrasser. Un instant rend cette chambre totalement insensé et une température bonne à se consumer. C'est Ton', tout simplement. Et j'ai bien conscience que c'est mal, plus que lui. Parce que Ton' y'a rien d'interdit, y'a rien qui peut lui être refusé, ça je le sais. Ça je l'ai appris, je l'ai compris. Dictateur à ses heures perdues, voleur et chieur, méchant conteur, il vous baratine, vous vole et vous écorche et le reste il s'en fout, les règles, la lois, la moral il y a bien longtemps qu'il n'y fait plus attention. Cela fait-il de moi le plus amoral de poursuivre avec tout ça en tête ? Je sais pas... Je sais plus.Je crois que je lui en veux même plus. Pour si peu, pour tout ça, pour lui, pour moi. J'sais plus, j'veux plus, j'comprend plus !
Sentant sa main jouer avec mes cheveux, étrangement ça ne fait qu'accentuer la distance entre la raison et mes envies. Romantique à ses heures perdues ? Mon frère ?! Je suis sur que non, mais pourtant sa douceur me laisse en effet étranger à cette situation sans me la faire détester. Un simple contacte même pas directement avec ma peau me fait quasiment frémir. Je le haïs à cet instant de sa domination sur moi, de son importance, et pourtant j'en ai même pas clairement conscience. Non je le haïrais demain matin, en me réveillant, là ma tête semble rapidement s'être arrêtée. Mais peu importe, ses lèvres contre les miennes m'empêchent totalement de respirer mentalement parlant, mon corps se meut lui même pour venir contre lui. Mes mains dans son dos ont pour effet de le faire se cambrer d'autant plus et je le sens se coller contre moi et je frissonne de plus belle malgré mon incertitude à pouvoir réellement le toucher. J'ai la désagréable sensation qu'il peut se barrer à tout moment, parce que c'est lui qui a commencé, il commence toujours à jouer, il commence toujours. Mais quand va-t-il arrêter ? Est-ce qu'une blague ? A-t-il trouvé une autre sorte de torture que la violence ?! Non pas Ton', pas mon frère ! Je peux pas penser un seul instant que tout ces fois où il est violent il le fait pour réellement me blesser, c'est pas Ton' ça. C'est pas lui, malgré ses apparences, malgré le big boss Kael que tout le monde respecte, malgré ses air dédaigneux quand j'ose venir le dérangé dans son hangar avec ces "potes" où il y a Gontran. Non il ne le ferait pas, je veux y croire. Sa langue et ses lèvres contre moi me font en effet penser que oui il n'est pas comme ça, loin de là même ! Je le sens frissonner donc contre mes mains, et je finis par venir m'asseoir au dessus de lui, enfin face à lui mais sur ses jambes, étant ainsi beaucoup plus... collé à lui, beaucoup plus proche. Peut-on être plus intime que des frères ? Je manque de m'étouffer légèrement en sentant ses mains sur mes cuisses, et heureusement ses lèvres collé à moi permettent de ne laisser sortir aucun son de ma bouche. Encore heureux. Ses mains finissent sur ma peau, sous mon tee-shirt, il a les mains froides, mais douce, étrangement douce pour un mec aussi violent d'habitude. On s'embrasse, on se caresse et pourtant il se détache alors que je sens mon tee-shirt remonter sur ma peau, il me suffit de lever les bras et bientôt ce tissu n'a pas plus d'importance que ce qu'il n'est, finissant au sol alors que le regard de Ton' sur moi me fait frissonner autant de malaise que d'excitation. Il revient contre moi, et ses lèvres m'empêchent d'encore une fois retomber dans la réalité et le repousser. Je soupire légèrement en sentant ses doigts sur ma peau, et je finis par me laisser tomber doucement en arrière sans me détaché de mon frère, l'amenant avec moi alors qu'on reprend la position de tout à l'heure. Exception faite, mes jambes accroché autour de ses hanches et mes mains dans son dos , à la recherche du contact de sa peau et son corps contre le mien.
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Invité
| Sujet: Re: GRIFFITH'S BROTHERS ➜ ☆ Hope well, and have well. A guilty conscience needs no accuser. Mer 16 Mai - 17:49 | |
| Welcome home. Je ne veux pas réfléchir, je veux juste que ce moment ce passe comme je 'lavais imaginer. Pas que je pensais à ça souvent, mais.. quand même de temps en temps, dans mes rêves les plus fous. Je ne veux pas passer au lendemain, parce que j'y pense, j'ai peur que cela change tout, qu'il s'arrête parce qu'il ne veut pas que nos voies soient changer à cause de ça. Moi, au fond, je me dis que ça vaut peut-être le coup de laisser nos désirs prendre le dessus, c'est si on arrête maintenant que ça changera tout.. On aura la pensée de ne pas avoir été aller jusqu'au bout de notre plaisir et ça allait empirer, j'en étais sur et certain, ce n'était qu'une question de temps avant que je pète un câble. Il ne m'aurais fallu qu'un petit quelque chose et je lui aurais surement sauter dessus.. Je ne me méprend pas, je sais très bien que si on continue, on n'allait pas faire comme si de rien n'était. Je ne savais pas si il allait regretter ou pas ce qu'on faisait. Moi j'en étais sur, je n'allais pas regretter. Je le voulais tellement que c'était impensable de ne pas le vouloir et que je le repousse après. Je savais que c'était ce que je faisais avec toutes les autres personnes avaient qui j'avais une aventure. Mais lui ce n'était pas pareille. C'était mon petit frère, Camil, mon Camil. Je me doute bien qu'il peut penser que je me sers de lui comme un jouet. Je veux juste lui montrer que ce n'est pas le cas, que je prends cela vraiment sérieusement. Que tout mon être le demande encore et encore. Putain, j'ai peur de devenir accro à ses lèvres, peut-être que je le suis déjà. Peut-être qu'après être devenu fou parce que je ne pouvais pas toucher ses lèvres, j'allais devenir fou maintenant parce que je les avais touchés. C'est tellement doux comme poison que je m'empoisonnerais toute ma vie rien que pour l'embrasser de nouveau. Il ne se rend pas compte à quel point ce sera dur pour moi demain, le fait de revenir à la réalité, de se souvenir de tout, de réaliser, ne pas savoir ce qu'il va dire, ce qu'il va faire. Il n'a pas idée de l'influence qu'il a sur moi, de ce qu'il fait à une influence sur ma façon d'être, si jamais il me repousse, qui sait ce que je ferais. Je pense que je tomberais encore plus bas, devenant plus dur et plus froid de ce que je ne suis déjà, tombant encore plus dans la folie. J'allais perdre le peu de tête qu'il me restais jusqu'à présent. Qui aurait pu savoir en nous voyant petit, que j'allais l'embrasser et que j'allais aimé ça. Dieu que j'aime ça, cette nouvelle sensation dont je ne pourrais plus me passer.
Je n'aurais jamais imaginé que comment Camil pouvait être doux avec les autres, je le voyais, mais ce n'était jamais à mon attention, je voyais comment il était avec notre mère, mais jamais avec moi. L'idée qu'il pouvait être comme cela avec quelqu'un d'autre me fit bouillir, est-ce que tout le monde tombait sous son charme comme moi je l'étais. Je découvre une autre facette de sa personnalité que je voulais absolument découvrir plus en profondeur. Ce Camil passionné et tendre à la fois, chacun de ses gestes étant un affront total à mon contrôle mental. Comment pouvait-il faire des gestes, me toucher avec autant de pureté et d'innocence. Tous ses gestes me brûlaient d'une passion vif et brutal. C'était à chaque fois une douce torture qui me faisait perdre la tête. Mon esprit était totalement envahis par ses gestes, les sentant comme si ses mains étaient en train de ma lacérer. Il pouvait faire tout ce qu'il voulait de moi, je l'aurait laissé faire sans rien dire, c'était moi la poupée maintenant. On s'accrochait l'un à l'autre comme si la vie en dépendant, comme s'il fallait absolument qu'on rentre dans un boite pour survivre, presque chaque partie de notre peau était en contact avec l'autre, comme si elle ne faisait qu'un. C'était tellement bon de se sentir vivant avec lui, de se remplir les poumons avec son souffle, de prendre cette chaleur permanente. On frissonne à tour de rôle, chacun de ses mouvements me fait frémir des pieds à la tête, jamais je ne m'étais sentit aussi réactif à cause de quelques caresses, ses mains dans mon dos avaient provoqué une vague de désir dans ma colonne vertébrale jusqu'à venir manger mon ventre de l'intérieur.. J'adore sentir que je lui fait perdre pied lorsque je le touche, que chacun de mes caresses envers lui le fait trembler ou frémir, dans ces moments-là, je savais vraiment qu'il était réceptif à ce que je faisais, qu'il n'était pas indifférent, ça faisait du bien à mon égo. Je n'arrête pas d'attraper ses lèvres entre les miennes, en se demandant parfois comment on fait pour respirer, à croire qu'on respire pour l'autre, on se dévore comme si on n'avait pas manger depuis des lustres, le moindre moment séparer de lui est une torture. Même lorsque j'enlève son tee-shirt, je fais un effort surhumain pour me décoller de lui, mais lorsque j'aperçois sa peau diaphane, je découvre une autre zone que je voudrais chouchouter à ma façon. Petit à petit je découvre sa peau et ça me donne encore plus envie de l'embrasser ce qu'il est, comme il est. Puis mon regard croise encore le sien et je me jette littéralement sur ses lèvres, je ne peux décidément m'en empêcher, désormais, les mots ne sont plus de mise entre nous, plus besoin de faire des batailles pour se comprendre. Je l'entend soupirer lorsque mes doigts font des arabesques sur son torse, caressant son abdomen doucement, apprenant tous les recoins de ce corps que je voudrais tant connaitre. Ses mains sont toujours sur moi, dans mon dos, lentement il se laisse tomber en arrière, sans jamais me lâcher, m'emmenant avec lui. On se retrouve dans la même position que tout à l'heure sauf que c'était totalement différent, il à ses jambes autour de moi, je comprends maintenant qu'il le veut vraiment que ce n'est pas juste sur le moment, je ne sais plus trop comment m'exprimer tellement que son être prend place dans mon cerveau. Un mouvement bref et extrêmement rapide, je fais passer à mon tour mon tee-shirt par dessus ma tête, laissant mes tatouages respirer, lui montrant ma peau griffonné. Je l'embrasse de nouveau, ayant peur que sa bouche m'échappe. Nos torse sont en contacte, ma peau contre la mienne, cette sensation me fait soupirer de satisfaction, mon désir commence à se faire plus visible et surtout à se faire sentir au niveau de mon bassin, je n'ai plus le contrôle sur mon corps ce qui est affreusement frustrant et en même temps j'envoie toutes ses idées à la poubelle, je n'en ai plus rien à foutre de tout ça, de bander comme un ado en manque, c'est parce que c'est lui qui compte, qui me fait sentir tout cela. Lentement, je fais migrer mes mains sur ses cuisses encore recouvert de son jean, les griffant presque à travers la matière, comme si elle allait partir de ce geste. Je caresse doucement son pantalon à l'endroit où commence ses fesses, le dévorant toujours avec ma bouche, je ne peux pas m'empêcher de vouloir le découvrir en entier.. Inconsciemment, je commence à me frotter contre lui, mes mains ayant définitivement fait leur place sur ses cuisses, ne voulant pas non plus bouger de leur nouvelle maison. |
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M. Pièro Griffith
| Sujet: Re: GRIFFITH'S BROTHERS ➜ ☆ Hope well, and have well. A guilty conscience needs no accuser. Jeu 17 Mai - 10:24 | |
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camil & kael
“ Parfois le plus dure est de faire semblant que tout vas bien pour le plaisir des autres alors qu'on a qu'une envie c'est de crever. ”
Je découvre son corps d'une toute autre manière. Mon regard glisse sur sa peau crayonnée et marquée. Ce corps à la limite du sacré, ce corps que je pensais réservé aux autres et tant éloigné. Mes yeux s'attardent un long moment sur ses tatouages. On ressemble au Yin et au Yang, moi si pâle si blanc si translucide, et lui si coloré, quasiment noir dans cette obscurité, sa peau marquée, taguée, enjolivée. Son corps et son histoire, sa peau et son passé. Mon frère c'est comme ça aussi que je l'ai toujours adulé, ce côté intouchable de la virilité, ce côté bancale et farouche de sa volonté. Apposé par aiguille sur une étendu non prévu, patience et douleur pour un résultat à couper le souffle. Petit je voulais lui ressembler, mais aujourd'hui j'ai qu'un tatouage sur l'aine, tellement bas et bien caché, je ne me suis jamais vanté ma mère prendrait cet acte pour une entrée dans l'illégalité. Mon frère c'est la toile de sa vie, l'artiste en faite c'est lui...
De nouveau allongé je sais que là tout à changé, tout à mué. C'est plus cette notion de qui sera dominé, c'est plus cette peur de l'avoir énervé. Non il y a cette nouveauté, cette envie à chaque fois étouffée. Besoin de lui. Depuis des lustres je le sais sans me l'avouer, depuis des nuits j'y pense sans y rêver, la honte de ces pensées m'aurait quasiment fait me flagellé. Tout pour oublier cette envie et ce désir inavoué. Envie de lui. Et de son corps, de son attention et de ses mains, qu'il me regarde autrement que comme un autre corps, qu'il me regarde comme je voulais depuis longtemps. Qu'il me voit, déjà ça serait pas mal, juste ça, j'en demande pas beaucoup plus. Exister, à ses yeux, pour lui, comme lui. Et la dans cette obscurité retranchée il me regarde, il semble pour une fois apaisé, il semble pour une fois peut-être moins drogué. Ou bien plus, plus que d'habitude peut-être et demain il ne s'en souviendra même pas. A cette pensée une angoisse acide nait et se glisse dans mon sang tel un poison. Il ne s'en souviendra pas. Comme tout le reste, comme à chaque fois. Y'a que cette nuit qu'il me regardera comme ça. J'ai le souffle court, la peur de tout ça , mon coeur s'emballe encore plus frôlant l'arrêt. Il oubliera tout... comme toujours, il me fixera demain sans rien dire, parce qu'il n'y aura plus rien dans ses souvenirs. J'ai peur, de l'abandon, de ses regards chaque lendemain de soirée, quand il vient me trouver et qu'il me fait mal... J'aimerais qu'il s'en souvienne, qu'il s'excuse, qu'il me regarde, mais non chaque fois c'est un silence et rien d'autre. Et là... est-ce que ça sera différent ?!
Ses lèvres font pourtant taire cette peur vile, elles m'apaisent et augmente le brasier dans mon corps, dans mon ventre qui se déchaine par la découverte que mon frère c'est pas comme les autres, c'est plus, c'est pire, c'est mieux. Ça déchire ! Son torse collé contre le mien, sa peau bercé d'originalité collé à moi la banalité. Je m'en fiche,ce soir c'est lui et moi, rien d'autre. Une nouvelle fois ses mains descendent, je me me mors la lèvre un instant empêchant un soupire de s'échapper des miennes. Je sais pas si il comprend, si il sait à quel point même si c'est mal ça fait du bien... Ses ongles sur mon jean ne font même pas mal, et les sillons contre ma peau ne font que me faire frissonner alors qu'à quelques centimètres de ses mains je suis de plus en plus excité. Bordel comprend il ce que ça fait de se sentir si bizarre entre ses mains ?! Mes jambes toujours enroulées autour de lui ne veulent pas le mâcher, au moins comme ça je suis sur qu'il ne partira pas, qu'il ne me laissera pas, qu'on restera comme ça, nos lèvres soudée, alors que je sais même pas comment j'arrive à respirer. De toute manière mon cerveau à disjoncté alors il a plus besoin de son apport en oxygène, non ?! Peu importe. Ses mains de nouveau glissent, et un instant je me dis que toutes ces filles en ont de la chances, de l'avoir chaque soir, plusieurs fois , de le retrouver, de ne pas être ignorée... Un autre frisson grimpe en moi alors que Ton' glisse sur moi, non contre moi, pas n'importe comment. Bordel. Mes mains se crispent dans son dos, alors qu'un soupire se mélangeant à un gémissement s'échappe bien malgré moi. Parce que rien que ça ne fait que m'enflammer d'autant plus, je frissonne me cambrant légèrement pour encore plus le sentir contre moi, à cette endroit alors que mon jean commence sérieusement à faire une barrière en trop. Je glisse le long de son dos, mes mains parcourant ses tatouages alors que j'arrive à son jean toujours aussi mal taillé, à ses jeans qui semble toujours ne jamais bien le serrer, pour une fois je m'en fiche, en faite comme toujours mais la plus encore, alors que mes mains glisse entre celui-ci et son boxer ayant l'impression de violer un sanctuaire sans la moindre gêne, le si peu de tissu me faisant entrapercevoir la réalité de la chose, qui me plait alors que mes doigts glissent sur ses fesses sans véritable honte. Même si mes lèvres reviennent à l'assaut des siennes comme excuse à ce qu'il cesse de me détailler avec tant d'étrangeté.
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Invité
| Sujet: Re: GRIFFITH'S BROTHERS ➜ ☆ Hope well, and have well. A guilty conscience needs no accuser. Jeu 17 Mai - 11:59 | |
| Welcome home. C'est impensable de se dire que certaines personnes pensant qu'on se ressemblent. Ils ont vraiment de la merde dans les yeux.. Déjà au niveau caractère, c'est impossible, il est souriant, il pense aux autres, il profite de la vie pleinement, il profite de sa vie d'ado comme s'il n'y avait pas de lendemain, à 16 ans on est encore insouciant de ce que la vie vous réserve. Moi, j'étais froid, violent, drogué jusqu'à l'os, il ne profitais pas de la vie, au contraire, je la détruisais et en avait bien conscience. Je savais déjà de quoi mon avenir était fait, si j'en avais un d'ailleurs. Physiquement, il ressemblait à un ange, mon ange la peau tellement blanche qu'on aurait dit un tableau blanc qui n'attendait que d'être griffonné seulement on ne pouvait pas le faire, n'osant même pas touché à cette œuvre d'art, ma peau était marqué à vie de mes conneries, chaque tatouages avaient des significations pour me remémorer toutes les choses qu'il s'était passé dans ma vie, des choses les plus importantes aux plus futiles... Beaucoup de personnes pourraient dire que c'est des conneries tous mes tatouages, que toute ma vie j'allais avoir ça sur la peau et que j'allais le regretter, que quand je serais vieux, je ne ressemblerais à rien. Je vois bien tous ces vieux dans la rue qui me regardent comme si j'étais une bête de foire ou un fou, qu'il ne s'imagine pas du tout comme ça à leur âge. Mais est-ce que au moins j'allais atteindre leur âge. Je pourrais vous sortir tout un tas de petits génies qui diraient que avec le train de vie que je mène, je n'allais pas atteindre les 35 ans, pas que j'ai envie de mourir jeune, mais à ce rythme là, je savais déjà que j'étais foutu alors pourquoi arrêter maintenant. Je voulais montrer fièrement tous mes tatouages, qui a me promener torse nu dans les rues alors qu'il fait -5°, j'adorais voir leurs regards curieux qui se posaient sans cesse sur mon corps. Camil lui n'avait pas besoin de se montrer pour être vu, même avec des tonnes de fringue, on le remarquait tout le temps, mais lui ne semblait jamais le voir. Il ne voyait pas comment sa peau translucide jouait avec le soleil, il en devenait à la fois transparent et fluorescent, le blanc de sa peau tranchait parfaitement avec le noir et ses cheveux et le bleu irréel de ses yeux. Comment pouvaient-ils dire qu'on se ressemble, tous des cons, nous étions les exact opposés , tellement que l'une des premières fois où il était venu me voir dans le hangar, les autres croyaient que c'était un de mes coups, mais je leur ai bien fait comprendre que c'était mon petit frère, je n'aurais peut-être pas du d'ailleurs. Nous étions les deux face d'une pièce, semblable, mais tellement différent. Ce que les gens ne semblaient pas voir, c'est que malgré le fait qu'on était différents, on se complétait d'une manière inimaginable. Je lui enviais sa douceur et sa tendresse, lui semblait m'envier mon assurance et passion. Je voulais lui montrer qu'il n'y avait pas que le côté violent et brutal en moi, qu'il existait une partie enfouit qui était comme lui, la partie caché de mon être, celle qui ne voulait ressortir que pour lui.
Sa peau m'hypnotise complètement, j'ai tellement envie d'allumer la lumière pour enfin la voir en entière, savoir où elle est plus sensible, plus claire, où il y a une petite griffure, une égratignure. Je veux connaitre tout, pour graver ça dans mon esprit, au cas où je ne la voit plus par la suite. Je me sens totalement entouré par son corps, par ses bras qui continue eux aussi à explorer mon corps, à ses jambes qui ne semblent plus vouloir se retirer de mes hanches, puis enfin sa bouche qui ne cessent pas de m'embrasser, provocant des bruits humides. Il s'accroche à moi comme s'il me prenait pour sa bouée de sauvetage, j'essaye de me raccrocher à lui pour en pas sombrer dans mon plaisir. Je veux voir toutes ses réactions, voir la moue qu'il pourrait faire sur son visage lorsque je le frôle ou bien capter tous les sons qu'il pourrait sortir et continuer à la torturer pour les entendre encore plus longtemps et plus fort. J'avais l'impression d'être un gamin qui découvre les choses de la vie, c'était comme si je recommençais tout à zéro, que je redécouvrais les sensations, les odeurs, le touché. Je découvrais tout ça avec lui et cela me paraissait normal et évident. Je vois qu'il se mord la lèvre inférieur lorsque mes mains glissent sur sa peau, et dire que c'est moi qui provoquent tout cela chez lui. Je voudrais continuer jusqu'à ce qu'il perde la tête comme moi je l'ai perdu, qu'il tombe avec moi dans les profondeurs du plaisir, jusqu'à se que ses yeux roulent d'extase, je veux épuiser son corps pour qu'il ne puisse plus bouger le lendemain. Je veux lui faire du bien jusqu'à ce qu'il en ait mal au corps et au cœur. Je veux lui faire voir ce que veut dire mourir d'envie. Je le sens frissonner une nouvelle fois, mais cette fois le frisson se propage dans mon corps aussi, on frémit ensemble. Putain.. ça fait tellement de bien de se sentir contre lui, avec lui, enfin en sa présence. Savoir que dans sa tête il y a mon image, dans ses mots il y a mon prénom, sur sa peau il y a la mienne, tout est relié à moi en ce moment même et je ne veux pas que cela s'arrête.. Mes lèvres sont soudés, mes dents rencontrant les siennes de temps en temps et ma langue danse avec l'autre, goutant tout de lui. Lorsque je me rend compte que je ne cesse pas de glisser contre lui, ses mains se crispent dans mon dos, un instant je m'insulte mentalement, pensant avoir fait quelque chose de mal, ne sachant pas du tout comment il allait réagir. Puis je me fige un instant quand j'entends la plus belle chose que j'ai eu l'occasion d'entendre, un soupire mélangé à un léger gémissement sort du fond de la gorge de mon Camil. Putain, recommence, encore, encore, recommence, je veux encore entendre ce son si pure qui m'excite encore plus. Il se cambre contre moi, je resserre sans m'en rendre compte, mes mains sur ses cuisses, s'en servant comme un point d'encrage pour me faire revenir à la réalité. Doucement, je sens ses mains descendre contre mon dos, me faisant frémir sous la douceur de ses gestes, elles descendent encore et encore, jusqu'à s'introduire sous mon jean trop grand, ses doigts glissent sur mes fesses. Comment pouvait-il faire des choses comme ça avec autant de douceur.. Je cache mon visage dans son cou comme avant, étouffant comme je le pouvais un grognement sortit de nul part, faisant vibrer sa peau sous ma bouche. Mon bassin se colle encore plus contre le sien, profitant de la pression que Camil effectuait. Je pouvais sentir les os de ses hanches se loger contre mes aines, je glissais contre ses hanches, voulant qu'il chante encore pour moi. Ma bouche ne resta pas immobile et décida de butiner son cou, montant contre son oreille, lui faisant entendre tous mes soupirs et mes grognements. Le contrôle de mes mains se perd puisqu'elles décident de remonter contre les flans de Camil, les frôlant du bout des doigts sans jamais les toucher vraiment, rien que pour le faire frissonner. Mes mains glissent entre nos deux corps, s'arrêtant là où commence son jean, jouant avec, passant mes doigts en dessous sans vraiment y introduire mes mains. Puis-je ?. Mon murmure résonne dans la chambre, ma voix est méconnaissable, encore plus rauque, plus noir, remplie de désir. Je sais que c'est une autre barrière à franchir, mais malgré tout, mes doigts frôlent le boutons de son jean, attendant impatiemment une réponse pour l'enlever le plus vite possible. Je continue mes mouvements de bassins sans vraiment m'en rendre compte, faisant grincer joyeusement le lit de mon petit frère... |
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M. Pièro Griffith
| Sujet: Re: GRIFFITH'S BROTHERS ➜ ☆ Hope well, and have well. A guilty conscience needs no accuser. Ven 18 Mai - 9:52 | |
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camil & kael
“ Parfois le plus dure est de faire semblant que tout vas bien pour le plaisir des autres alors qu'on a qu'une envie c'est de crever. ”
Ses mains me perturbent. C'est indéniable que ce toucher n'est pas normal, trop différent, tellement excitant. Je me perd dans un simple touché, mon souffle se coupe quand je le sens me frôler. Je suffoque. Mon frère me prend d'assaut par son importance, il me dominera toujours par sa puissance, par sa grandeur autant que son assurance. Et pourtant là c'est différent, il ne m'impose rien, nous ne sommes plus aux nuits apeurante quand il rentre. On est plus au mains qui font mal et aux grognement énervé. Non, je ne crois pas. C'est pire et mieux à la fois, ça fait mal et ça réchauffe en même temps. Cette amalgame de sensation me terrifie, de l'intérieur faut pas croire que je mène aussi bien que lui la barque, il est lui faut pas oublier. C'est Kael dans toute sa splendeur, c'est son incapacité à se dire non à lui-même et à ses désires, sa volonté à avoir ce qu'il veut, c'est mon frère tout simplement.
Nos corps semblent pas savoir faire autre chose que de se frôler, se toucher, se découvrir. Alors que de lui il y a longtemps je connaissais tout. Mais pas comme ça. Jamais pour ça ! Ses lèvres dans mon cou semble être autant un poison mortel que son antidote, ça me brule et ça me rend accro, et la moindre seconde que je passe sans ses lèvres me coûte un effort sur-humain. Comment ferais-je demain pour survivre ? Y'a-t-il un après de possible ? ça me fera presque rire car beaucoup de fille ont du penser ça, et beaucoup on du leur dire qu'il n'y a pas de "après" avec Kael Griffith. Et moi je suis la dans ses bras, à me poser cette question que toute se sont demandée, je suis là à essayer d'y croire. Mais ses lèvres m'en empêche, la pression de son bassin aussi glissant contre le mien, contre mon entre-jambe n'aide en rien. Non pire. Et mieux. Je sombre. En faite le supplice est là, l'avoir contre moi, après des nuits de tortures des réveils brutaux et une honte à refouler ça, une jalousie croissante lorsqu'elles y ont le droit ces filles là. Oui c'est trop et trop peu à la fois, c'est tout et rien. Ses mains sur mes cuisses m'insupporte par leur effet, et j'aime ça, cette sensation, cette envie, ce désire. Cette excitation face à son touché, à ses mains qui semble s'y loger, à ses lèvres dans mon cou, à sa peau que je devine sous son boxer. Tout et tellement bien. Je voudrais ne plus bouger, ralentir le temps... Mais je sais que c'est impossible et que seule la nuit nous permet cela, et que bientôt... Le soleils se lèvera. Mais là tout de suite, ce sont des lèvres sur ma peau, ses soupires et ses grognements si différents de d'habitude, c'est son corps bougeant contre le mien, ma peau qui frissonne mais ma température intérieur qui bouillonne. Je soupire d'aise une nouvelle fois, la tête légèrement en arrière tentative pour chercher de l'air autant que savourer son toucher. Je frémis à ses doigts, entre chatouillement et chavirement, je hais ces filles qui ont le droit à ça à chaque fois, je les tuerais de mes propres mains si ce n’était pas si mal. En faite Kael me rend pas mal, c'est mon envie pour mon frère qui me rend amoral. Je sens ses doigts glisser entre nous deux, descendre le long de mon ventre, un grognement s'échappe de mes lèvres alors que je devine sans mal sa lancée. Puis-je ? JE frémis à ses paroles, à sa nouvelle politesse trouvée, à sa douceur et à notre intimité. Mon frère, j'aimerais pourtant que là de suite ce mot soit bannis. Je frissonne, quelque part en moi y'a une voix qui hurle, qui se débat pour s'en aller. Mais je ne l'écoute pas, je suis trop loin, trop bien. Et la voix trop envieuse de mon frère ne m'aide pas, si peu... Je hoche la tête à la recherche de parole qui ne viennent pas. Impossible de parler sur le coup, un léger grognement pour approuver sa requête, alors que les mes doigts dans son dos font déjà descendre son jeans sur ses hanches, tellement plus simple ce genre de pantalon, ils tombent si facilement. Trop facilement ? Pour trop de monde autre que moi ! Mais je ne dis rien, ce soir, cette nuit il est avec moi, il est à moi. Je lâche ses hanche de mes jambes celle-ci prenant la relève sur mes mains pour descendre son jean avec douceur qui contraste avec la rapidité de mon geste... Trop contrasté.
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Invité
| Sujet: Re: GRIFFITH'S BROTHERS ➜ ☆ Hope well, and have well. A guilty conscience needs no accuser. Sam 19 Mai - 20:11 | |
| Welcome home. Je me demande comment j'ai pu vivre jusqu'à maintenant sans l'avoir touché d'une telle manière, jamais cela n'avait été aussi bon avec quelqu'un. C'était comme si c'était une révélation pour moi, comment quelque chose d'aussi bon pouvait être interdit ? Cela n'a aucun sens.. Je tremble tellement que j'ai l'impression d'être dans un mauvais trip, que mon corps va partir à la dérive et ne plus revenir. Tout son corps frissonne sous mes doigts, lorsque je le frôle, quand je l'embrasse et le caresse. Il semble sensible à toutes mes attentions, moi j'ose à peine imaginer que je le touche pour de vrai, que ce n'est pas un de mes rêves ou une de mes hallucinations. J'ai tellement eu envie de ce moment que même si c'est un rêve, je pourrais très bien ne pas me réveiller que ça m'irait très bien, je pouvais mourir heureux dans ses bras, quelle belle mort. Je veux tellement le posséder, qu'il ne soit rien qu'à moi, je devrais pas ressentir ça... Je ne devrais définitivement pas ressentir ça pour mon petit frère, mais je crois que désormais cette partie de notre vie est partit bien loin dans notre tête, on a laissé toutes les barrières que l'on avait derrière nous. Je le voyais maintenant comme une personne spéciale, même pas comme un amant parce que cela signifierait que demain, il n'y aurait plus rien à part une nuit de baise, or je ne veux pas faire ça avec lui. Je ne peux pas faire ça avec lui, je ne peux pas le jeter comme une vieille pomme, parce que il restera mon frère malgré tout, on ne pouvait pas oublier ce lien même si on priait les étoiles toute la nuit. Ce que nous faisions était si semblable et tellement différent à la fois des autres nuits, disons que les sentiments étaient tout autre, mais finalement l'acte physique restait le même.. Putain, non ce n'était pas la même chose du tout, comment je pouvais dire ça. Rien que le fait que les sentiments étaient là, faisait que le rapport n'était plus le même. Avec les autres, je ne faisais que baiser avec eux, ni plus ni moins, un plaisir partagé sans lendemain, avec lui, c'était autre chose, c'était plus pur, plus magique et plus vrai à la fois. Le voie se tortiller sous mes doigts et ma bouche faisait que c'était un moment irréel, qui n'appartenait qu'à nous, nos gestes faisait du bruit comme une mélodie que nous seuls pouvions entendre. Le fait que ce soit plus vrai, était du fait que nous avions parfaitement conscience de ce que nous faisions, du moins lui plus que moi, je devais l'avouer, mais l'intention était là. L'interdit était bien là, il était présent autour de nous, il planait comme une ombre dans la chambre, jouant les voyeurs en nous regardant. Toute la chambre était témoin de nos débats illégaux, tous les objets, le lit devait même se sentir offusqué qu'on le maltraite d'une telle manière. Est-ce qu'il avait déjà été manipulé d'une telle manière ? Je ne voulais pas y penser, rien qu'à l'idée qu'il avait pu ramener des gamines ici, dans son lit, dans sa chambre, avant moi.. Je voulais effacer toutes les traces que les autres avaient pu laisser, remplir son oreiller de mon odeur pour que lorsqu'il se couche, il se souvienne tout le temps de ce qu'on faisait. Je voulais laisser une trace visible ou pas, que quand je reviendrais, je me rendrais compte que ce n'était pas qu'un rêve que je faisais. Que mon cerveau ne me jouait pas un tour malsain encore une fois. Combien de fois j'avais rêvé de faire ce genre de chose avec lui lorsque j'étais défoncé et le lendemain, je me rendais compte de mon erreur en me réveillant près d'un mec qui ne lui ressemblait même pas. Pathétique.
Nos corps semblent s'être fait à ce genre de traitement, ils ne veulent plus se décoller de l'autre, ils se posent bien moins de questions que nous, c'est certain. A chaque baiser, chaque caresse je lui injectait un peu plus de désir dans la peau, faisant bouillonner son sang, celui que nous partagions dans nos veines. Je voulais qu'il goute au plaisir que je pouvais lui apporter, qu'il y soit accro, qu'il vienne me voir plus tard parce qu'il aura envie de regouter à mes lèvres, parce que la sensation était partit trop vite.. Je voulais à tout prix le faire devenir dépendant de moi, ce que je ne me rendais pas compte, c'était que c'était moi qui ne pouvais pas me passer de lui, maintenant que je savais la saveur de sa peau et l'odeur de son corps, je n'allais plus fermer les yeux sans y repenser. J'allais devenir encore plus fou que je ne l'étais déjà, j'allais perdre toute ma raison à cause de lui, il était l'unique responsable de ce que je suis devenu et il ne semble pas en avoir conscience. Mes mains ont trouvés leur chemins, leurs maisons, mais le jean serré que Camil portait devenait trop gênant désormais, j'aurais voulu le déchirer de mes ongles pour oser faire obstacle à sa peau, une protection vaine qui allait bien partir.. Du moins si il accepter que j'enlève cette couche de vêtement, j'avais déjà eu l'honneur de voir son torse tellement blanc et enivrant alors le reste n'allait être que plus exceptionnelle, vous avez déjà eu l'impression que quelqu'un était tellement beau qu'il ne pouvait pas être réel.. ? J'avais cette même impression avec Camil, il était trop beau, trop beau pour moi et le fait que je puisse le toucher comme je le fais représentait un véritable enchantement pour mes mains. J'avais l'honneur de dire que je l'avais touché de mes mains, de ma bouche. En même temps, je voulais garder tout cela pour moi, garder tous les sons qu'il faisait dans une boite de mon esprit, comme ça je pourrait l'ouvrir et réentendre encore et encore ses soupirs comme une boite à musique. Une musique qui pouvait m'apaiser autant que m'exciter. La température de mon corps atteignait des sommet, j'avais l'impression que tous mes membres étaient en feu et le fait d'être contre Camil n'arrangeait rien, au contraire, seulement impossible de m'enlever. Mes lèvres lui faisait subir tous les outrages dans son cou, embrassant tant doucement, puis plus passionnément en le mordillant, léchant, lui laissant des marques qu'il aurait du mal à dissimuler demain. J'étais heureux de ma connerie, je me dis qu'il ne pourrait pas les cacher, les montrant à tout le monde, ils allaient ce demander qui avait fait cela. Moi, j'allais jubiler entant que l'auteur de la déformation de sa peau. En temps normal, si jamais j'avais vu une marque de ce genre sur son cou, je crois que j'aurais fait u malheur, je l'aurais torturé pour qu'il me dise qui lui avait ça. Une fois que j'aurais trouvé cette personne, je lui aurais surement fait comprendre de ne plus le refaire, de ne plus s'approcher de Camil, j'aurais envie de le buter à mon avis et je ne savais pas que qui m'empêcherait.. tout le monde savait qu'il ne fallait pas toucher au "petit frère du droguer" sous peine de se retrouver dans un fossé, Gontran avait eu un avant gout la dernière fois lorsqu'il avait osé s'approcher de trop prés. Il n'y avait que moi qui avait le droit de poser mes mains sur son corps frêle, le faire frémir sous mes paroles pendant que mes doigts jouaient près de son boxer caché, chatouillant sa peau. J'attends avec impatience sa permission, que je reçois lorsqu'il hoche la tête et qu'une grognement passe dans sa gorge, les mots ne veulent apparemment plus passer. Je n'ai même pas le temps d'approcher mes doigts de son bouton de jean, que je sens mon pantalon glisser trop facilement le long de mes jambes. Je me retrouve en boxer devant lui, ne restant plus qu'une couche de vêtement pour me protéger. Doucement, je me redresse sur mes genoux, me tenant à quatre pattes au dessus de lui, je le regarde dans les yeux, ma respirations toujours aussi chaotique. Je jette mon pantalon par terre avec mes jambes, frissonnant de l'air qui passe sur mes jambes.. Mes yeux sont plus noirs que jamais, tout en le regardant, je descends mes mains contre lui pour arriver à son jean, que je détache sans mal le regardant toujours dans les yeux. J'enlève la barrière lentement, trop lentement le long de ses jambes blanches que je découvre avec plaisir. Elles semblent être tellement fragile, comme du verre. Laissant mon envie me contrôler, je colle ma bouche la l'intérieur d'une de ses chevilles, remontant encore et encore, le long de son genoux, puis de sa cuisse, mes lèvres frôlant cette peau fine, mes mains suivent juste après. |
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M. Pièro Griffith
| Sujet: Re: GRIFFITH'S BROTHERS ➜ ☆ Hope well, and have well. A guilty conscience needs no accuser. Ven 25 Mai - 10:20 | |
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camil & kael
“ Parfois le plus dure est de faire semblant que tout vas bien pour le plaisir des autres alors qu'on a qu'une envie c'est de crever. ”
J'ai du mal à tous suivre ce qui nous arrive, ou plutôt du mal à réaliser se qui se passe. Que c'est pas n'importe quel soir, avec n'importe qui, que c'est pas comme avec d'autre ou je ne sais qui, non que c'est lui, lui et lui. J'arrive pas trop à comprendre comment, je sais plus pourquoi ni comment ça à commencé. Comme toujours je crois, comme souvent chez lui, sans possibilité de sortie, sans choix pour lui résister. Puis ça à dévier, c'est partit sur d'autres baisers, sur une peau enflammé. Oui ça s'est totalement barré. Je suis totalement damné. Et sous ses lèvres, sous ses mains, j'oublie tout jusqu'à ce que je devrais faire, jusqu'à la moral qui nous empêche et nous fait taire. Et pourtant ce soir y'a rien de tout ça, rien à par lui et moi. Un corps gribouillé et sombre à l'infini contre le miens quelconque à l'inconnu. Contraste surprenant, extrémité différente, on ne peut pas se complété, il est le sombre et l'intouchable, je suis pas l'éclaire et le modifiable. Je suis pas son côté bonté à sa face tacheté. On peut pas se complété. Il a je le sais bien une face cachée, je sais que son obscurité n'est pas entière et qu'il y a quelques part une image obstrué. Je sais qui est mon frère et qu'il n'est pas ce connard facilement à reconnaître.
Face à ses lèvres je ne pensais pas une seule seconde à une quelconque marque ou autre que l'esprit tordu de mon frère allait m’apposer. Ton' et son esprit de tortionnaire possessif, ton' et son corps et ses mots qui e font fondre depuis le secondaire. Chut c'est un secret, ne jamais en dévoiler le moindre aspect. Hum, pas réel dans ce genre de position, pas trop crédible dans cette situation. Je frémis en le sentant glisser contre moi, mon bassin contre le sien, mon bas-ventre en feu tout simplement. Je devrais en avoir honte, je devrais être cloué par cette marque brûlante de honte de réagir ainsi face à lui, au lieu de ça je suis brûlant de désir et d'envie contre lui. Et je finis par oublier toute mes décision, toute mes résolutions en descendant le long de ses jambes son pantalon. Il se redresse quitte ma peau, quitte mon corps, ses yeux couleur charbon me fixant avec une lueur bien trop flippante, bien trop bandante je le reconnais. Le souffle court, l'esprit tordu, je le fixe sans détourner le regard alors que je le sens bouger et j'ai pas besoin de voir pour comprendre que son jean est entièrement viré. Je jubile presque de cette idée, je frémis de le sentir de nouveau contre moi avec si peu de vêtement, il n'a quasiment plus rien et pourtant trop à la fois. Ses mains je les sens presque sur moi, alors que je sens sans mal mon bouton viré et ma braguette descendre avec habilité. Ses yeux me mettent autant mal à l'aise que me plaisent, trop dur à comprendre. Trop dur à vraiment chercher le sens, je laisse tomber ne pouvant faire autour chose que le dévisager. Je frissonne en sentant mon jean quitter mes hanches, mes cuisses et mes jambes, le voyant descendre le long de mon corps j'inspire difficilement alors que je suis libéré de ce vêtement totalement inutile. Ses lèvres me font me mordre la lèvre avec hardeur, alors que peu à peu je le sens remonter peu à peu je me sens encore plus chavirer. Mon coeur s'emballe mon esprit arrive plus rien à contrôler, mes doigts légèrement crispé sur mes draps qui maintenant vont sentir son odeur. jamais, jamais plus je ne serais tranquille et loin de mes songes et pensées dans se lit qu'on est entrain d'outrager. Il arrive le long de ma cuisse et un léger gémissement sort de mes lèvres alors que je bouge légèrement sous le plaisir de sentir ce simplement contacte. Mes doigts viennent se perdre dans ses cheveux, se crispant dedans par cette envie et ce plaisir apporté. Je voudrais vraiment arrêter le temps. Je le tire vers moi, pour reprendre possession de ses lèvres , mes mains descendant le long de son dos, le collant plus contre moi. plus de vêtement ou quasiment plus, juste ce simple tissu qui n'empêche en rien de sentir le reste, je frémis, mes doigts glissant le long de son dos jusqu'au à glissé sous le bord de son boxer, sans pour autant y entrer, douce hésitation qui me fait me calmer, doucement, juste un instant...
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Invité
| Sujet: Re: GRIFFITH'S BROTHERS ➜ ☆ Hope well, and have well. A guilty conscience needs no accuser. Ven 25 Mai - 20:13 | |
| Welcome home. On ne peut plus retourner en arrière, on a déjà fait trop de choses, trop de baisers, de caresses, trop de vêtements enlevés, laissés à l'abandon sur le sol froid. Je doute qu'il soit vraiment fois, la chaleur de nos corps font chauffer la pièce comme si elle était en pleine journée, en plein soleil. Notre respiration saccadé et rapide aurait pu faire croire cela.. Pourtant, ce que nous étions en train de faire était définitivement bien plus chaud d'un après-midi en pleine canicule. J'avais du mal à me faire à cette ambiance, je ne me rendais même plus compte que ma peau était surement brulante comme si elle prit un coup de soleil instantané. C'était comme si d'un coup, on touchant son corps, je m'étais bruler à son contact. Il était responsable du fait que mon corps s'était réchauffé et je lui en étais reconnaissant. Normalement, j'ai toujours cette image de moi-même froide, glaciale même, celle du mec qui te foudroie sur place en un regard, que la colère ne cesse d'illuminer ses yeux. Avec lui je me réchauffe, je deviens enfin vivant, je deviens humain, je deviens humain tout simplement... Moi je deviens humain, mais lui au contraire semble devenir une vrai marionnette face à mes caresses, je le vois se tordre sous mes baisers, soupirer sous mes caresses. Jamais je n'avais éprouvé un tel plaisir en voyant quelqu'un d'autre être dans un état pareil grâce à moi. Pas que je suis juste un connard qui tire son coup et qui s'en va. Mais cette fois, c'est différent, je me soucis plus de son plaisir que du miens, mon plaisir c'est de le voir se tortiller de plaisir, lui faire découvrir des sensations, des choses qu'il n'aurait même pas imaginé. Tout son visage que je croyais connaitre sous toutes les coutures, je les voyais changer d'expression.. Je voyais sa bouche pleine et pâle devenir rouge à cause du mordillement que je lui faisais subir, ses yeux légèrement cernés se fermer brusquement sous le plaisir ou bien son grain de beauté décalé bouger lorsqu'il ouvre le bouche pour gémir sous mes caresses. Je voulais à chaque fois voir quelque chose de différent en lui, je ne pouvais pas m'en empêcher, jusqu'à connaitre absolument tout de lui, dans ses moindres humeurs, plaisir, colère, etc.. J'aime tout en lui, j'aime quand il me frôle parce que je sais très bien que cela va me faire trembler violemment, qu'il m'embrasse comme s'il était obligé de partir la seconde d'après, dévorant ma bouche de ses lèvres, me faisant encore plus perdre la raison. Il avait l'art et la manière de me faire perdre mes moyens et il ne s'en rendait même pas compte, c'est ça qui était fou. Il ne voyait même pas le pouvoir qu'il avait sur moi, sur mon corps, il faisait tout cela si innocemment que je ne pouvait pas lui en vouloir.
Je n'allais en aucun cas le laisser partir sans une trace de mon passage sur sa peau, je voulais qu'il se souvienne pendant un moment que ce cou à appartenu à Kael, à son grand frère. Même si par hasard il voulait oublier cette partie de la nuit, il ne pourrait pas, même si ça fait mal, même si il regrette au moins il se souviendra de toutes les choses que je lui ai faite et qu'il n'avait pas l'air de refuser. C'était un peu une petite menace explicite, avec de la chance, la trace violacé qui trônait sur son cou resterait une bonne semaine, elle m'attendait plus que d'autres viennent se mettre à côté d'elle. Je marquais sa peau, trop vite, je la décorais à ma manière, je la marquais comme ma propre peau, il y avait tellement de place pour que ma bouche s'y pose, c'était un véritable terrain de jeu pour moi.. Il n'avait pas l'air de se rendre compte que je le marquais, je me demandais bien comment il allait réagir face à cela demain. Est-ce qu'il m'en voudrait ou pas ? Si jamais quelqu'un lui demande qui lui a fait ça, il va répondre quoi ? "Bah c'est mon grand frère pourquoi ?" Trop facile, ce serait trop simple si il pouvait répondre cela le plus naturellement possible. Quel peine de ne pas pouvoir le tirer à moi quand je le voulais, sans avoir à regarder si quelqu'un nous regardait, j'aurais voulu montrer à tout le monde qu'il m'appartenait maintenant, depuis le temps que j'attends ce moment. Au fond de moi je savais très bien que cela allait compliqué encore plus les choses entre nous, mais je ne pouvais pas m'en empêcher, il fallait que cela arrive, c'était le destin.. Destin mon cul. Si le destin existait vraiment, il ne nous aurait pas fait frères. Je savais bien aussi que lorsqu'il allait s'approcher de quelqu'un d'encore plus près, j'allais vraiment péter un câble après cela.. Déjà que à chaque fois que je voyais Gontran le regarder, je e pouvais pas m'empêcher de penser à ce qu'il imaginait dans sa tête de pervers. A chaque fois dans mes rêves, je le tuais de mes propres mains, le torturant le plus possible, lui montrant que Camil est à moi, rien qu'à moi. Jamais de ma vie je n'avais été aussi possessif avec quelqu'un, Camil c'était l'exception, je ne savais pas pourquoi je m'accrochais à ce point à lui, il était surement trop beau pour ma santé mentale.. Comment lui résister ? Je ne l'avais remarquer que lorsqu'il est rentré au lycée, il devenait un beau jeune, beaucoup trop canon pour que ce soit mon petit frère, comment pouvait-on me mettre un être aussi parfait sous les yeux avec une grosse interdiction d'y toucher ? C'était cruel et je ne pouvais pas résister, je ne devais pas résister. Il me fixe avec ses yeux bleus perdus, ses yeux qui normalement étaient légèrement vides et fantomatiques, à cet instant précis, ils étaient remplies d'une lueur troublés par le désir et d'autres choses que je n'arrivais à décrire. J'aurais prier Dieu pour qu'il me regarde comme cela tout le temps. Il me regarde descendre entre ses jambes, il me ne lâche pas du regard et j'aime ça, on s'hypnotise à tour de rôle, ne pouvant pas lâcher les yeux de l'autre. Je vois la chair de poule se répandre sur ses jambes lorsqu'elles se retrouvent à nus devant mon regard, elles aussi ont peur de ce que je pourrais leur faire. Lorsque ma bouche touche sa jambe, je vois du coin de l'œil ses mains se crisper aux draps, tirant dessus comme si ça vie en dépendait. Cela me donne encore plus envie de continuer avec plus ardeur, pour qu'il se laisse aller contre ma bouche. Il a besoin d'un point d'encrage pour revenir à la réalité, pour moi, la réalité est déjà partit bien trop loin pour que je puisse la rattraper. J'entends encore ce son que j'adore maintenant de trop, il gémit lorsque je frôle sa cuisse de mes lèvres, je voulais continuer encore, quand je sentis ses mains venir dans mes cheveux et me tirer vers lui. Je lui obéit docilement et remonte près de lui, prenant sa bouche avec envie, comme si je voulais avaler ce gémissement qu'il venait de pousser pour moi. Je sens de nouveau mon bassin se coller contre le sien, cette fois-ci il n'y avait presque plus de tissus pour nous empêcher de nous toucher complètement, je pouvais deviner la chaleur de son entre-jambe contre le mien. Un grognement étouffé sortit de ma bouche pour se perdre dans la sienne.. Je frémis de nouveau lorsque ses doigts reprennent le même chemin qu'auparavant, elles glissent le long de mon dos, atterrissant sous l'élastique de mon boxer, n'osant pas vraiment continuer. Moi, je n'en peux plus, il faut que j'agisse, que je fasse quelque chose de son corps, j'en voulais encore plus, toujours plus. Je passe mes mains contre son torse, le caressant doucement, glissant peu à peu vers le bas, sur son ventre fin, s'arrêtant sur ses hanches, caressant ses aines avec mes pouces. Puis mes mains partent vers l'arrière découvrant ses fesses arrondies qui me faisaient tellement envie. Lentement, je glisse aussi mes doigts sous le morceau de tissus, mais moi je vais plus loin, posant mes paumes délicatement sur sa peau. De ce fait, nos bassin se colle encore plus l'un contre l'autre, glissant inexorablement ensemble. Mes mains semblaient encore une fois avoir trouvé leurs places, ne voulant plus bouger, je n'osais plus bouger les mains. Seul ma bouche faisait pression sur ses lèvres et mon bassin faisait lui pression sur ses hanches. |
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M. Pièro Griffith
| Sujet: Re: GRIFFITH'S BROTHERS ➜ ☆ Hope well, and have well. A guilty conscience needs no accuser. Ven 1 Juin - 10:16 | |
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camil & kael
“ Parfois le plus dure est de faire semblant que tout vas bien pour le plaisir des autres alors qu'on a qu'une envie c'est de crever. ”
Une énième fois sous l'assaut de l'envie et du plaisir mon corps s'éveille par étincelle. Mais pire. Pire pour cette foi, c'est pas juste un picotement dans le bas du ventre, une envie lattante qui demande à être soulagée. C'est pas juste un truc comme ça avec n'importe qui. Non c'est pas n'importe qui. Et ça, chaque centimètres de ma peau semble le comprendre en explosant dans un incendie torrentiel à chaque fois qui l'effleure. Mon cou, mes bras, mon dos. Tous. Tous n'est qu'un brasier incandescent, je suffoque, et j'aime ça. On devrait arrêter et je ne veux pas ! C'est comme crier à un enfant de ne pas ouvrir une porte, ça fascine, ça donne envie, l'interdit rend tous meilleur. Est-ce juste pour cela que j'aime autant les caresse de KaeL ? Est-ce parce qu'il est mon frère et que je suis tordu que je succombe sous ce besoin e le sentir ? Je ne crois pas. Je ne pense pas. Je ne voudrais pas. Pas qu'il soit mon frère, pas que je sois tordu à ce point, pas que seul cet attrait m'attire en lui.. J'aimerais qu'il ne le soit pas, j'aimerais qu'il soit qu'un étranger, un type lointain. Vraiment ? Je doute, je sombre, ça me déroute. Si j'étais qu'un inconnu, qu'un étranger, il s'en irait le lendemain, je n'aurais ni nouvelle ni chance de revoir ses mains. Je ne serais qu'un coup parmi tant d'autre si j'étais pas son frère, non ? Je sais pas. Je sais plus, comment Ton' peut-il être à ce point mauvais et sii bon à la fois ? Comment peut-il me donner ce doute et cette passion qui me fait peur dans ses yeux. Qui me fait peur et me rassure, cet colère froide, cette force endormie qui m'a plus d'une fois montrer qu'entre ses mains je ne peux être qu'un pantin, et pourtant je me sens bien, je me sens enfin protégé...
Demain sera différent, je le sais, et je ne veux pas y penser. Est-ce que plus tard il reviendra encore dans ma chambre le soir ? Est-ce que j'aurais toujours cette peur d'en sortir au cas où il rentrerait ivre et que j'aurais du tracas à me faire ? Et si je deviens accro, et si j'en oublie le reste et que je deviens marteau ? ! Peut-être que toucher à ce point une envie trop intense, un interdit trop présent, une amoralité malmenante, peut-être que ça fait disjoncté, peut-être qu'au final je vais lui ressembler. Ses main descendant sur mon ventre me font entièrement, totalement frissonner. Où alors est-ce l'idée d'un jour lui ressembler. C'est Ton', j'aimais je n'irais le critiquer sur la base même, malgré ses affaires que je déteste qu'il gère, malgré ses amis que je n'aime pas, malgré son entrepôt flippant où il se cache parfois avec eux, je le critique pas, c'est Ton' ! Mais y ressembler, m'imaginer un jour à ce point être débrayé, ma peau à ce point détournée, ma colère à ce point remontée... Non comment pourrais-je lui ressembler ? Comment pourrait-on à ce moment même ce supporter ? Et si un jour je venais à changer et qu'on pouvait plus se supporter ? Ça serait la fin de quoi ? De cette fraternité ? Mieux vaut ne pas en parler, je frissonne trop, je me sens bien trop loin pour pouvoir convenablement y penser, ses mains on trop raison de mon corps pour me permettre une totale liberté de pensées. J'en suffoquerais presque de le sentir me toucher. Je me mors la lèvres alors que ses mains sur mes hanches et rien que ce contact est effrayant. Je l'entend légèrement grogner, mon coeur semble même en louper son rythme cadencé. Ce genre de bruit ayant une tendance à me faire juste totalement perdre la raison. Mais encore une fois Ton' ne s'en arrête pas, et je sens un autre frisson lorsque je le sens glisser sous mon boxer s'introduisant jusqu'à mes fesses ses paume fraîche sur ma peau, sa peau à lui, ses mains à lui. Je défaille presque. Nos bassin encore plus collé l'un à l'autre j'avale ma salive avant de reprendre possession de ses lèvres. Un instant le temps semble s'arrêter, nos gestes et cette folie semble se calmer. Un simple instant, alors que je le sens s'arrêter sur ma peau, et que je reste à savourez cette instant, l'ardeur de nos gestes s'éteint mit sur pause un instant. Un simple instant. Je reprend mon souffle, et finalement mes doigts au lieu de passer sous son boxer, attrape son élastique pour le faire descendre sous ses fesses, mes genoux encadrant son corps permettant à nos bassins de se frôler toujours et encore plus, d'à chaque fois me faire frémir par ce contact, ces frolement qui vont me rendre dingue. Dingue.
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