(c) Lichtenstein

Matthew tu veux pas m'accompagner voir le dealer ? Je tourne la tête vers les pieds juste à la hauteur de mes yeux, c'est la samba dans ma tête. Je soupire contre l'arrivé de ce malheureux. Cette ? Pieds nue je n'en sais rien, je relève un peu les yeux, des jambes, un string rose, un nombril, une poitrine, des cheveux. Lola. Pourquoi ? tu veux pas que je le paye ou que je le suce à ta place ? J'ai la tête qui bat et qui fait mal, je suis entrain de refaire l'inventaire, à l'envers, de ce que j'ai pris ces dernières heures. Alors j'ai terminé par de l'ecstasy, avant j'ai pris une ligne de coke, avant... Nan impossible je m'en souviens pas. Peut-être est-ce pour cette raison que ma tête joue la makarena; ha non mon sang s'agglutine aussi un peu trop dans mon cerveau. Tu es obligé d'être vulgaire ? Tu crois que je vais devoir le sucer ? Mais je le connais pas ! Je soupire et me dit que cette fille devait se calmer. Non mais sérieux faut bien débuter; elle va pas mes les briser pour un dealer de mes deux qui doit lui revendre je ne sais quoi. Pauvre lycéenne, tu crois pas que la ça frôle le ridicule ? Mais j'en sais rien moi ! J'ai une gueule à sucer mon dealer ?! Si je viens après tu promet de ma lâcher ? Nan sérieux on a b*isé d'accord; mais pas plus loin. Là tu es entrain de tué mon état. Elle soupire et enfile sa robe. Je finis par rouler sur le côté et atterrir au pied du lit. Je me remet à l'endroit, je sens ma tête se vidé d'un coup. J'enfile mon jean cigarette, non sérieux c'est plus du slim là c'est du legging presque. Je m'étonne de comment mes pieds rentre dedans, j'y passe au moins deux minutes. Ouai ba finalement l'ecsta a fonctionné. Je me glisse dans mon débardeur XXL me demandant si il a été conçu pour les gros. J'enfile ma veste de blazer et mes italienne abimées. Je passe une mains dans mes cheveux et voila on a décollé. En bas la soirée est au maximum; rien que pour une b*ise j'ai manqué ça ? Ouai sérieux ça valait le coup, sinon je ne l'amènerait pas voir son imbécile de dealer.

Trente minutes, trente minutes qu'on marche et ça rien que pour de l'héroïne. Si encore ça avait été autre, nan sérieux elle me pique un flippe pour une dose d'héro' ! Je suis sur qu'elle est en plein bad trip où alors son dealer c'est fait descendre et elle doit en trouver un autre. Je me demande comment il s'est fait tuer ? Un balle dans le crâne ? Dans le dos ? Dans le cul ? Je ris tous seul, et là je crois avoir la confirmation que je suis bien. On arrive au zoo, direction le parc pour enfant. Mais quel dealer assez taré peut-il dealer ici ? Non mais ho ça c'est mon parc, enfin je le croyais. Ha non la souillé de deal je me sens vidé. On avance et un forme assise sur un jeu apparaît. Lola commence à bafouiller un truc; sérieux meuf t'es en manque grave comme tu fais flipper. Nan mais relax ça va finir par te tuer. Je sifflote et m'assois sur le tourniquet près du mec, tournant la tête vers lui. J'aime bien faire ça avec les gens parait qu'ils sont déstabilisé quand je fixe trop. Je vois ses cheveux bouclé et je reconnais vaguement ce visage. Eux ? Comment...pardon je... Qu'est-ce..pourquoi il... Eden ! Le mec assis, le mec tout près, le mec en noir, le mec le dealer; non c'est pas possible. Le pont entre Eden et deal j'y arrive pas. Les gosses de ton âge sont pas censés être couché au lieux de jouer à des jeux de grands ? Lola sursaute à mon intervention sans comprendre mes paroles. Elle soupire me pensant défoncé. Non là je suis juste noyé sous l'afflux des derniers souvenirs qui accompagne ce taré. Oui taré car il l'est pour ainsi m'embrasser, me chambouler. Qu'est-ce qu'il fou ici ?

Je regarde cette tête de gland; non mais sérieux c'en est presque gênant. Nan en faite je réfléchis et j'arrive pas à trouver la moindre idée de trouble, hormis peut-être l'idée de ses lèvres. Je le fixe un sourire radieux aux lèvres, comme si c'était la personne que j'avais rêvé de voir. Se que je peux être c**, se que je peut être bon. Non mais sérieux avec moi j'suis sur que les monde se porterait mieux. Capable de faire gober mes masque à n'importe qui. M'enfin j'suis pas mécontent de voir sa face d'enfant. Peut-être juste surprit et étonné. surpris de le revoir de si tôt, et presque en "intimité"; et étonné car peu à peu l'idée de son activité commence à s'imposer. Pas possible! Le petit pratiquant, le petit enfant assis près de ses parents, bien seul, on attend sagement. Mais enfin qu'est-il advenu de ce garçon devenu délinquant. Je te retourne la question, passé minuit les marmots capricieux ça doit être au lit. Je le regarde avec un sourie conquis; mais dites donc seriez vous entrain de grimper dans l'échelle pour répliquer. Totalement j'y étais mais j'en fais plusieurs par nuit...trop capricieux pour n'en garder qu'une. je rétorque avec conviction; aussi beau parleur que menteur. Je me complais dans ce jeu de mensonges. J'aime voir chez les autres mes dictats qu'ils ingurgitent. Je me sens bien, je me sens fort. Je le regarde et je vois Lola qui comprend vraiment rien. Bon ba vu que tu as l'air d'être devenu un vrai dur ...autant faire se que tu dois faire...tu devais lui donner quoi ? Car bon elle va clamser là et j'ai pas envie de l'avoir sur les bras... Je regarde Lola avec un sourire de focu, je m'en fiche elle est bien trop en manque pour réagir et puis même si c'était autrement et bien au pire elle bouderait. Les filles sont toutes les mêmes, si prévisibles. Je regarde Eden sans me départir de mon air qui maitrise. Je crois que je suis plus doué à jouer qu'a ressentir, trop de jeu tus le naturel. Chez moi il revient plus au galop, il fuit en avion privé. Ça fait trop longtemps que j'y suis habitué; et je ne ressens qu'une vague surprise et une vague déception de découvrir que le blond de mon enfance n'est plus cet ange intimidant.

Je lui rétorque qu'il devrait s'occuper de sa cliente. Nan mais c'est vrai quoi je suis ici par sa faut à elle point finale. Alors elle va pas non plus nous péter un câble à cause de son manque. Manquerai plus que ça qu'elle claque... Bouge pas d'ici. Je le regarde un sourcil levé, surprit. Non mais il me donne même des ordres le petit délinquant ? J'avais pas l'intention de se bouger, se tourniquet est parfait. J'm'allume un joins sans y faire attention, je les regarde faire. Hilarant Eden en dealer on me l'avait jamais faite. Et je ne l'aurais pas crut,cette personne qui m'aurait annoncé ça. Non pas que ça m dérange, c'est sa vie. Mais quand même, le petit enfant parfait devenu père Noël en moins parfait. Je vois Lola lui donner l'argent. Je ris la voyant dans cette état. Comment ai-je pu réussir à la b*iser ? Sérieusement je me félicite car je sens que ce soir passer après moi va être difficile pour les autres mecs. Je ris amusé, sans me retenir mon rictus railleur plaqué sur mes lèvres. Elle me fait pitié à ne pas tenir sur ses talons hauts, sa jupe si courte qu'elle ressemble à rien. Non pardon c'est une robe. Qu'es t'a Wolden ? Elle me le rétorque avec hargne je ris avec amusement. Eden est debout, je sens son regard sur moi. Ça ne me dérange pas au contraire, j'en suis plutôt amusé. Tu m'fais pitié voilà tout... On dit que je suis pas ba*sable après deux heures...mais regardes toi à peine minuit et te voila quasiment intouchable. Je la regarde toujorus assis nonchalamment, supérieur ma voix trainante, grinçant la fait se pencher sur moi. Elle va me gifler si ça continue. Ha ouai ? tu veux essayer ? Je souris amusé, attirant sa tête vers moi je l'embrasse. Ouai en effet je veux bien tenter. Amusé de savoir Eden à proximité. Mais enfin qu'est-ce qui tourne pas rond chez moi, qu'ai-je donc à lui prouver ?

Lola répond à mon baiser sans complexité. Caressant son bras, je la sens grimper sur moi. Mes mains descendent le long de son dos sans hésitations. Nos langues s' entre-mêle et je laisse échappé un rire de satisfaction. Comme quoi même défoncé elle peut pas me résisté, clean, en manque ou défoncé elle ne peut rien me refuser. Je ris de ma supériorité profitant de ses lèvres sucré. Se collant plus à moi l'instant d'après je la sens plus sur moi. L'observant debout elle se retient de tomber. Si tu veux t'envoyé la pétasse merci d'aller ailleurs, quoi que dans son état franchement se soit un peu pitoyable d'essayer de profiter d'elle. Et toi si tu veux que je continue à te fournir tu dégage d'ici, clair ? Je soupire blasé et me laisse retomber sur mon tourniquet. Intrigué je regarde Lola en proie à un dilem de choix. Soit elle recouche avec le mec le plus précisé soit elle se taille prouvé sa réputation de défoncé. elle hésite, moi je jubile. Mais pourquoi il fait ça l'autre tryso ? Non mais j'ai rien fait sil il avait pas envie de porno il avait qu'à se barrer. Lola me regarde et s'éloigne en arrière puis tourne les talons. Lola t'es une droguée... et merde je passe après la drogue quoi. Je soupire et tire sur mon joins les pieds sur le bord les genoux replié. Je boude légèrement la détestant d'avoir déserté. Et voila mon envie de la nuit partie en fumée.

Mais pourquoi t'as fait ça merde ? ... Tu peux pas te trouvé un endroit tranquille ? Investit un squatte une église mais fait pas suer...bravo maintenant j'ai plus de quoi b*iser. Je soupire sans pour autant être froid, juste blasé comme si je lui disais que j'avais mangé une compote périmée. Je tire sur mon joins me demandant pourquoi je l'aime pas ce blondinet ? J'en sais rien ou du moins la je sais plus trop, la drogue embrume mon esprit et ma perspicacité. Je le regarde et soupire sans rien dire. Non c'est bon on va pas ouvrir les hostilités. Bon t'a quoi sur toi ? Qu'au moins tu as pas fait viré l'autre pouff' pour rien je lui demande un sourire dragueur et sur de moi. Je regarde mon joins tendre doucement vers sa fin. Je crois sérieusement que je devrais ralentir; mais bon en plein virage aucun moyen de fuir.

Je le vois sourire et du coin de l'œil je l'observe ainsi. Quoi il à quoi à rire ce taré ? Je dis rien préférant me taire; et puis j'ai déjà plus de quoi b*iser j'ai pas envie de me retrouver larguer de dope. Je l'observe et il se bouge alors pour venir me rejoindre sur le tourniquet. Je bouge lentement avec méfiance. Quoi je me souviens parfaitement de ce baiser. Non faut j'en ai qu'un vague souvenir mais on sait jamais. J'ai la plupart de ce qu'on trouve sur le marché. P'tain je déteste parler comme ça. Bref'. Ta déjà pris de la coke avant de tourner sur le tourniquet. Minimum 2 rail, et tu augmente les doses jusqu'au premier qui abandonne. Ou qui gerbe. Tu crois pouvoir me battre à ce jeux là ? Je le regarde; ces explications sont foireuses, j'y comprend que dalle. Mais j'ai comprend qu'il y a un défis et des rails à se faire. Juste cela me suffit. Non pas quoi c'est pas bientôt finit ? Je veux pas d'une nuit bien tranquille, ba d'idée claire et de souvenirs conquis; je veux pas avoir une seule nuit en sa compagnie. Ce mec je le fuis depuis des années c'est pas pour me laisser avoir. Je comprend pas pourquoi je pense à ça je les repousse loin. Enfin Lauhs...t'étais à peine sortis de l'église que j'étais déjà habitué à la coke... être dealer ne rend pas plus expérimenté... mais allons-y...tu as fais fuir ma distraction donc autant s'occuper.

Je le regarde ôter son manteau, moi je garde mon blouson sur mes épaules. Je replis une jambe sous les fesses sentant le cuir vernis frais, je l'observe. Prenant un collier bizarre et disons plutôt imposant; non mais il me la joue trip de quoi là ? Je le regarde sans rie dire me disant qu'au pire je peux toujours me barrer. Il tire dessus et quelque chose s'en décroche. Je comprend rapidement et ce blond remonte vite ait dans mon estime. Je le regard s'enfiler le rail sans hésiter. Il en remet et me le tend, je le regard avec un sourire moqueur. Sans le prendre de sa main de mon index droit je me bouche une narine et j'inspire. La poudre m'expose le nez, je souris amusé. Millier de particule inspiré, et bientôt l'univers à ma porté. Il se resserre. Il inhale deux et me retend son truc. Je le suis. Pas méfiant. Ma tête s'enveloppant de coton; mes esprit s'envolant plus que de raison. Je passe une mains dans mes cheveux. La coke détend l'atmosphère peu à peu; tandis qu'on monte les enchères.

Accroche toi ou tu vas tomber J fronce les sourcils sans comprendre se qu'il veut dire. Laissant mon regard sur lui je le vois bouger son pieds. Il veut faire quoi là ? Et au moment où je comprend qu'il va prendre appui sur le sol pour nous "éjecter" c'est trop tard. Ma bouche s'est ouverte pour exprimer mon désaccord mais trop tard voila déjà le tourniquet qui tourne. En action, mes cheveux flottent, en action le monde devient flou; en action mon cerveau perd pied; et mon estomac proteste. C'est simple je déteste le tourniquet. Je n'aime pas cet aspect de ne rien contrôlé, de me laisser tourner et de voir le monde autour flouté. Non je n'aime pas ça et en plus avec de la weed et d'la coke dans le sang je crois que ça accentue a non-appréciation. Ca ralentit enfin, les yeux posé sur le centre du tourniquet, seul partie qui ne bouge pas enfin qui bouge avec nous donc pas d'effet ignoble; je relève le regard sur les images autour de moi qui se calme. Eden est taré ce mec je devrais pas le fréquenter. Mais rectification ce mec ce mec n'est pas avec moi attention.

Ça va Matt tu gère ? Je le regarde son sourire moqueur, je lui ferrais ravaler en deux vitesse mais j'en fais rien. Je le vois se faire une autre ligne. Que cherche-t-il à prouver ? Qu'il a bien changé ? Qu'il est un vrai garçon que la vie n'a pas épargné? Il y en a des pires mais alors que veut-il ? Pourquoi ce pari stupide ? Il me tend une autre ligne et je me le fais avant de le regarder. Qu'est-ce que tu cherches au juste Lauhs ? A montrer aux gens que la vie t'a pas épargné ? Que tu es tombé bien bas en dealant et ingurgitant autant de drogue ? Sérieux ça fait pitié...c'est quoi ton but ? Me dépasser en en prenant le plus ? Frôler l'overdose ? Frôler la névrose ? J'connais plus ta vie j'en ai pas envie mais c'est risible et cliché le petit enfant adoré qui allait à l'église et qu'a effondré ses parents en leur disant qu'il est p.d. Nan sérieux j'comprend pas... expliques vas-y...'fin envoies moi chier si tu veux. T'en fais pas pour moi je gère... j'irais peut-être pas aussi loin que toi c'est vrai ... après deux trois lignes j'finirais par abdiquer...mais qu'est-ce que t'auras gagné ? Nan sérieux les victoires de c** y 'a que moi pour les apprécier...mens pas au fond y a bien quelque chose qui cloche...m'enfin... je parle d'un ton banal. Disant juste la vérité, nan sérieux je le préférais nettement plus lorsqu'il était plus sérieux, lorsqu'il ressemblait pas à tout ces mecs ennuyeux, que je côtoie à chaque parties et qui ne valent pas mieux. Je sors une clope et l'allume, je regard le ciel; mon cerveau s'arrêtant de tourner.

Déjà tu te prend pour qui pour me parler comme ça ? J'ai pas à te rendre de compte. Mais puisque ça semble t'intéresser non je vais pas bien, ça t'étonnes ? Ça t'intéresse ? Non, alors pourquoi tu t'emmerde à me parler de ça ? Surtout qu'tu passes ton temps avec des mecs dans un état pire que le mien, le pitoyable est franchement déplacé. Je souris amus", t'as raison c'est déplacé mais j'aurais jamais rien loupé pour te voir ainsi t'énerver. Car malgré ta petite façade de blasé, Lauhs je suis pas un nouveau né tu peux pas me le cacher. JE souris car je suis content, et que pour une fois malgré la violente incapacité à pouvoir m'éclairer je vois au moins les autres tout de lumière. J'me prend pour personne, ni ton père ni ton frère... ça m'intrigue les gens futile c'est tout... Ba ouai c'est bien se que je dis...j'en fréquente toujours et je trouve ça pitoyable. Je lui réponds avec ce sourire insolent, ce sourire de l'innocent. Je sais je créverais en enfer; mais rien à faire quand je peux m'amuser. Nan sérieux j'en sais rien, pourquoi lui, pourquoi ça ? J'adore torturer certaines personnes, leur cracher à la gueule des paroles abjecte, je sais que c'est risible que c'est puéril et futile. Mais je n'y peux rien, et si on me dit qu'en agissant comme ça je prouve mon malêtre; j'en suis encore plus honorer car sérieux je suis doué. Je le fixe il a l'air de s'en foutre. Avoir l'air. J'aime cette expression. Avoir déjà posséder je sur-adore. Non mais sérieux de l'être et d'avoir je m'en remet à la possession; l'être n'apporte rien, qu'une déterminaison, qu'une informations, avoir c'est posséder, c'est prendre ou voler; mais c'est tout de même consommer, nier et déterrioré mais au moins c'est y accéder.

Tu crois vraiment que je fais cliché ? Qu'énormément d'autre jeune finissent dans ma situation ? Si c'est le cas p*tain c'est ça qui est catastrophique... Il s'est rallongé les mains derrière la tête, je le regard du coin de l'œil. Je me retiens de lui rire à la gueule, non tout en finesse mon jeune. Je le regard insolemment; je sais bien qu'au fond c'est à moi que je mens. Je le sais qu'au fond c'est rien hormis le néant; mais que voulez-vous j'y peux rien, un jour je vais devenir te un flan. Ne jamais se croire seul, on est tous cliché de l'humanité. Sérieusement tu pense le premier à être comme tu es ? Même sans savoir ta vie je le sais; tu n'es ni le premier ni le dernier qu'importe qui tu fais chier et se que tu fais pour te tuer... on est tous pareil en plus ou moins bien... Je le regarde n'ayant pas vraiment répondu à sa question. Enfin je pense pas qu'il attendait de réponse. Mais tant pis, je m'amuse moi. Quoi il m'a donné de la coke; tout le monde le sait bien Matthew Wolden est déjà pas baisable passé une certaine heure mais plus du tout fréquentable si avec de la drogue en horreur. Je le regarde amusé. Je l'ai déjà dis mais pas de ma faute c'est se que je suis. Le pire c'est que je comprend pas pourquoi je suis exploser à l'intérieur, nan sérieux il n'y a rien de drôle mais je me fend de l'intérieur tellement ça me fait marrer. Tellement je me fais pitié.

Il se relève et enfile son manteau, moi je reste là,je suis bien contre cette barre et allongé sur ce truc débile. Je le fixe avec un air insensible. D'un coup il se penche et se colle à moi. Non mais il fait quoi ça va pas ?! J'essaye de m'éloigner mais le crétin de gamin m'a bloqué, le dos contre une barre de fer, le torse contre lui. Nan mais que cherche -t-il à faire ce débile ?Tu te rappel vraiment un truc comme quoi je t'aurais volé un baiser ? Je le fixe éberlué. Ha ouai la tu auras une raison de te vanter, c'est pas toujours qu'envers Matthew on la lui fait boucler. Je le fixe un moment estomaqué. Puis je me ressaisis et souris d'un air carnassier. Certes tu m'as retourné mais tu m'as pas terrorisé. Je ne fuis pas devant les P.D, je ne suis pas celui qu'il ordonne de les lapider. J'en ai rien à faire, sauf certes lorsque une scène hante mes rêves et qu'on se soit permit de me volé mes pensées. Heureusement personne n'est censé les observer. Oui et d'ailleurs je n'aime pas les gens qui m'utilise dans l'illégalité .

Personne n'est vraiment futile idiot... Je le regarde avec amusement. Souriant à n'importe laquelle de ses réactions. Il pourrait me blesser, m'insulter ou autre chose je serrais amusé. Et je viens à me demander si c'est vraiment moi qui suis effondré dans ce rire de demeuré. Nan il doit y avoir la weed, la coke, l'héro' aussi peut-être... Je le fixe sans rien dire. Nan parce que là j'ai rien à répondre. Bien sur que si on est tous futile pauvre tâche; mais j'ai pas envie de me battre ou de débattre avec ce simulacre de bonne conscience.

Je ne parler pas du fait d'être cliché, mais du fait qu'il est inquiétant qu'autant de jeunes soit ainsi rejeter par leur parents. Je le regarde amusé. Quoi ils l'ont rejeté ? Pourquoi ? Car leur fils est P.D ? Ouai l'idée me travers et je la trouve plutôt bonne comme absoluté. Je m'y cramponne avec le sourire. C'est inquiétant mais c'est comme ça. Surtout ne pas croire être le premier, même moi avant toi j'étais que le dernier d'une simple longue ligné de gosse désillusionné qui se pensaient être enfant illuminé. Il n'y a rien d'inquiétant...le taux de pollution l'est...ça c'est juste blasant. Je n'ajoute rien. Car encore une fois je réponds dans un divague-ment profond d'un j'en foutisme profond. Quoi pourquoi devrais-je me sentir touché par ce point commun ? C'est bon mes parents m'ont jamais attendu, aimé, adoré et alors ? Ils m'ont jamais attendu ou venu me chercher après l'école, m'ont pas lu d'histoire ni amené à la messe; non ils se sont contenté de me dire que j'allais devoir me mettre à bosser pourquoi leur rapporter. C'est pas pour ça que je me sens touché enfin, justement je me sens éloigné et je ne veux pas appartenir à cette infinité...même si je sais évidement que je peux rien y contrer.

Il me sourit amusé et je crois deviné, que dans son esprit embrumé une idée à germé. Il se relève et j'arrive pas à l'esquiver ce gamin d'enc*ler j'arrive pas à l'éloigner. Je sens ses lèvres me haper et là sérieux c'est mon poing qu'il aurait mérité. Voila c'est fait alors que tu es conscient. Tu peux arrêter de ronchonner maintenant ? Je le regarde un sourcil froncé. Nan mais depuis quand c'est-il mis à jouer ? Je le regarde et retrouve mon amusement; je sais pas pourquoi il revient au mauvais moment. Nan c'est pas comme ça qu'on fait...mais qu'est-ce qu'on va a apprit à l'Eglise hein ? Je vais te montrer espèce d'inculte de la politesse. D'abord on est polit on demande; "Eden ais-je le droit de t'embrasser ? " ou au pire tu préviens un peu..." Eden là je vais t'embrasser"... je m'amuse à lui expliquer avant que, contre toute attente, je décide de me pencher et l'embrasser pour poursuivre à lui expliquer la différence avec un baiser volé.

Mes lèvres s'approchent des siennes, non mais vraiment c'est quoi ces actes anormales ? Pourquoi vais-je contre ma morale ? Morale ? en ais-je une ? Enc quoi cela va contre celle-ci ? Car elle m'impose de fuir cet imbécile. Futile. Et puis je ne fais que lui montrer, c'est juste un accès de bonne volonté... Je l'embrasse sans vraiment comprendre mon geste, je sens ses lèvres, je le sens lui. Et je le sens répondre, sentir sa main dans mes cheveux. Merde mais qu'est-ce qui est entrain de se passer.
On peux aussi dire après avoir embrasser la personne, "excuse moi c'était trop dure de résister. " et on général on recommence juste derrière. Nos lèvres séparées le voila de nouveau à jouer, j'aime bien ce nouvel accès de sa personnalité. Même si je préférerais peut-être l'ancienne avec ma supériorité. Ne le suis-je plus ? Si ? Oui mais où ? Je ne le reconnais plus ce gosse à moitié perdu. Ouai mais nan au pire tu lui demande...tu embrasses et tu t'excuses d'avoir pas attendu de réponse... Où encore autre solution encore plus débile..." tu commence par " Eden pourrais-je..." Je me repenche sur lui recommençant à l'embrasser nan sérieux c'est maintenant prouvé que je suis totalement défoncé, y'a pas d'autre possibilité pour que je sois passé de l'engueulade à cet apprentissage débile.. Je sépare mes lèvres des siennes un sourire amusé aux lèvres. "excuse moi c'était trop dure de résister. " et là tu peux recommencer. Je le regarde et dépose un autre biaser rapide sur ses lèvres. Amusé, mi sérieux mi mors de rire, oui promis je vous jure chez moi c'est possible je le regarde. Enfin n'en profites pas non plus...je t'apprend un point c'est tout...après t'as juste à t'entrainer avec quelqu'un de plus intéressé... Matthew as-tu conscience de ce mensonge éhonté ? De ces remarques désordonnée ? Pour toutes question dans le genre par respect de mon propre égo je dirais que non j'en ai pas conscience ça fera toujours mieux que d'avouer que j'en suis pleinement conscience même défoncé et que pourtant je peux pas m'en empêcher d'ainsi le prononcer.

On est là comme des c**; comme des grands enfants allongé sur ce truc tout pourrit, jeu que je déteste pour cet ivresse de la vitesse. Et pourtant à l'arrêt ce tourniquet n'a d'air que d'un simple jouet. On est là comme des débile, lui me bloquant la sortie vers une fuite disons plus approprié; moi le dos collé contre cette barre glacée. Il me fixe d'un air calme et neutre; moi ça me fait marrer de le voir ainsi en toute neutralité. Il se rapproche légèrement..Donc si j'ai bien tout suivis... Je le vois collé presque ses lèvres aux miennes, et je fixe ses yeux, bien que mes pupilles eclaté, exité par l'abus de drogue ont du mal à rester fixé sur ses yeux bleuté. Matt, je voudrais... s'il te... Pardon j'ai pas sus résister... Nos lèvres à peines écartées, après ce baiser tout en sensualité. Je le fixe reprenant de l'air dans mes poumons. Que ne comprend il pas dans les mots "pas intéressé" ? Je le fixe avec aucune animosité; me retenant dans mon hilarité. Nan sérieux je nous trouve vraiment drôle ainsi dans ce jeu de rôle.
Je sens son souffles sur mes lèvres. C'est est trop, je dirais que l'effet de la coke en abus, de l'alcool que j'ai bu et de la drogue en surplus me font divaguer; je dirais ça. Je m'empare de nouveau de ses lèvres, attrapant le col de son manteau pour le ramener plus à moi. Non mais ce mec il me cherche et il réussit et je crois que c'est se qui me fout le plus en rogne. Néanmoins pas la peine que je prive de cela, demain tous sera oublié...j'en ai la plus que certitude; autant continuer dans ce mensonge ridicule. Ouai c'est bien...mais t'oublies de recommencer...je serais pas derrière toi pour le compléter moi. Évidement pourquoi s'arrêter, alors que le jeu me fais tant rigoler. Et puis il est au courant, je ne cesse de le lui répéter je ne suis pas intéressant, ni même intéressé par la moindre réciprocité...

Enfants de l'innocence, nous ne le sommes plus. Nous nous contentons de jouer, de refaire à notre idée cette image avec l'adolescence. Tournons, rions, jouons. Reproduire la fuite de l'avenir, la peur de grandir. Je le sens répondre à ce baiser. Je me demande ce qui, chez lui, ne sait pas tourner. Sans doute est-il vraiment débile ? Peut-être que son existence est trop futile; pour se laisser ainsi abuser. Je ne te veux pas moi. Qui est-il ? Enfant docile, je ne le reconnais plus. Enfant fragile, je ne le sais plus. Drogué, prostré, borné. Devenu comme tous, presque devenu fou. Mais où sont donc nos années passées ? Sans les vouloir, en les reniant, je savais au moins où elles étaient rangées. Il semblerait que toi aussi, et que tu t'en sois chargé. Il m'embrasse et je dois le repousser oui je le dois. Céder à ses passions, c'est laisser le désir du corps empiéter sur l'esprit. Mais ai-je encore assez d'esprit avec tous se que la coke m'a prit ? Moi mes jambes elles me disent "fuis !". Nos lèvres se séparent enfin, avec sur les miennes se goût d'empreint. Qui es-tu gamin d'agir d'un air si malin ? Il me tire la langue, je le regarde. Insensé; in-touché. Moi tu vois j'aimerais bien tracer mon chemin, faire un f*ck au mot destin. Et toi ? Où sont donc passé tes prières absurdes ? Ce charme qui te caractérisait dans ce monde décalé. Dis le moi que c'était-il passé ? Nan je ne veux pas. Arrêtez. Quelle est cette guerre étouffée qui se déroule entre mon jugement et mes décisions. Je ne veux rien savoir de lui, je me suis détaché il y a bien longtemps.

Mes réflexions me prennent, m'enchaînent. Eden profite de cet instant pour bouger sur moi. En faite il ne le sait pas; mais néanmoins il choisit ce moment où en proie à cette lutte je ne peux rien contre ce retournement sans force brute. au dessus de moi. Lui contre moi. Ôtes toi ces idées de la tête Matthew. Mais toi aussi, tu oublies de continuer. Tu reste sur un jeu trop innocent pour que la personne soit réellement troublée. Sa voix glisse à mon oreille, sa main me frôle et je dérègle. Respiration stoppé, contrôle arrêté. Qu'est-ce qu'il fait au juste ? Mes muscles se contractent pour le repousser mes ses paroles les forcent à s'immobiliser. Dommage que tu soit pas aussi irrésistible qu'on le dit. Que...quoi ? Je ne suis pas quoi ? Comment peut-il dire cela ? Cet fois-ci mon égo en prend un coup, lorsque sa voix désintéressée semble s'éloigner. A quoi joue-t-il ? Que fait-il ? Et qu'a-t-il de plus à ce jeu de quille ? Faire tomber le plus, faire tomber le premier ? Mais quel est lot de ce jeu idiot ? Je relève les jambes bloquant ses hanches avec mes genoux. Position étrange pour le retenir je l'avoue. Mais hors de question d'ôter mes bras de derrière mon cou, ne pas lui donner ce plaisir d'un coup. Basculant mon bassin doucement je le fait descendre vers moi. Et je me fais mal au bas du dos mais ça je m'en fou. Alors crois moi tu as très très mauvais goût jeune homme.. Ne t'a-t-ont donc pas dit que j'étais un bon cou ? Que j'étais celui qui décidais sur tout ? Je comprend peu à peu et la coke n'aide pas à m'éclairer, je ris intérieurement car il m'a bien berné. Bien joué Lauhs tu es doué... durant toute ces années tu as vraiment pas chaumé... Alors voici donc qu'il a réussit à comprendre l'art de tromper ? Se serrait-il vraiment métamorphosé ?

Je ne suis ni adulte, ni l'enfant innocent que tu as pu être, j'espère que depuis le temps tu l'as deviné. Mais il semblerait que tu es plus rapidement saisit se que je suis comparé à moi. Je n'ai été capable de savoir qui tu es depuis maintenant les nombreuses minutes que nous avons passé ensemble. Tu as tellement changé; qui es-tu ? Qu'était advenu de cet ingénu ? De ce gosse qui paraissait crédule au point de découvrir les drogues, les injures subtile, la méchanceté, ma méchanceté. Que c'est-il donc passé ? J'en ai entendu parlé de ce changement... j'ai bien vu au fils des années ce changement de comportement. Je ne suis pas tant nombriliste, du moins pas sur cela. Que c'est-il passé ? Comment tu y es arrivé ? A être le débile que tout le monde peut apprécier ? Si tu écoutais autre chose que ce qui se raconte sur toi... Tu saurais que je ne suis, pas, un ange. Que je ne l'ai jamais été, mon chou. provocation, désir qu'il a de me voir à ses pieds. Non je ne céderais pas. Eden ne le sais-tu pas ? Ici c'est moi le roi ! Jamais été...Rappel toi il y a des années, tu étais se qui pouvait le plus se rapprocher à cette image. Tu étais bien la seule personne pouvant supporter ce qualificatif. Tu l'étais, où l'as-tu jeté ? Je me focalise sur mes pensées défoncées, plutôt que sur cette langue éhontée qui ne m'apporte que trouble et doute. qui es-tu ? Que me fais-tu ? Je suis seul à décider des règles ici. Que viens-tu faire et y remettre la m*rde ?!!!

C'est pas tous ça mais j'ai court demain, et puis je couche plus avec n'importe qui... Si jamais t'es gentil, une pipe et j'te ferais peut-être un prix. Il se libère de mes jambes, retournant sur terre ferme. Je fixe ce revirement de situation. Mais f*ck il joue à quoi ? Il commence à partir et je fronce les sourcil sur le "n'importe qui." Je ne suis pas n'importe qui jeune homme ! Mais je veux pas coucher avec lui, sachez juste que je ne suis pas n'importe qui. Sa nouvelle phrase m'estomaque totalement. Mais pour qui se prend il ? Ôtant ma chaussure vernis, je vise et lance de toute mes forces, la chaussure lui arrivant en plein dos. J'allais pas viser la tête non plus, je l'aurais tué. Puré mais même défoncé je sais bien viser. Je le regarde partir. Enc*lé. J'suis pas n'importe qui Lauhs ! Gardes ça en tête ...je suce pas les dealers pour une doses , moi ::: Je le regarde s'éloigner.

Me mordant la lèvre, je me jure que c'est un p'tit c** et je me rallonge sur ce jeu puéril. Pas envie de rentrer. Personne qui m'attend. Pas envie de bouger, personne à aller voir. Juste rester. Je m'allonge, ne me levant même pas pour essayer de retrouver cette fichu chaussure vernis si couteuse. M'en fou. Je frissonne un moment. Mais que t'est-il arrivé Lauhs ?!! Un simple murmure, plus à moi-même , au ciel, au vide autour de moi. Je remet mes bras derrière ma tête, un goût de métal m'apprend que je me suis mordu la langue sans m'en rendre compte. Fichue coke. Il fait froid. Tant pis j'ai pommé les clefs. Il fait noir et j'men fou, j'ai pas envie de rentrer. Je fixe le ciel; pensant à cette fin de nuit trop bizarre avec ce mec. Qui remet tout en désordre.