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| Jeunesse déglinguée, vas tu enfin nous regarder entrain de crever ? | |
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Auteur | Message |
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Syki Kumerlon
| Sujet: Jeunesse déglinguée, vas tu enfin nous regarder entrain de crever ? Lun 20 Déc - 1:55 | |
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MATT - Ba alors va voir à autre beau mec paumé. J'ai pas demandé à être sauvé Lauhs! J'veux pas changer alors ôtes toi de l'idée que j'aime quoi que ce soit en toi !! C'est bon arrête j'suis pas un enfant, lâche moi je suis pas mourant... J'te déteste Lauhs tu peux pas savoir comment
Je serre les dents mais me concentre sur son poignet explosé. Pas l'temps de se sentir blessé. On marche jusqu'à la voiture, il est agité, turbulant. Comme un putain d'enfant. Je soupira bruyamment. Un sanglot coincé entre les dents. J'te déteste Lauhs tu peux pas savoir comment Et moi je t'aime tu peux pas savoir, tellement... Tellement... C'est moi qui suis mourant. Qu'est c'que ça changerai que tu en sois conscient ? Partir dans un éclat de rire de dément ? M'achever plus vite ? Je l'aide à s'installer côté passager après avoir récupéré les clefs au plus vite. Je claque la porte et vais à mon tour m'assoir, derrière le volant. Je démarre le moteur, et le chauffage par la même occasion. L'état de son poignet me fait angoissé, ça monopolise mon attention. C'est pas le moment eden de jouer au con. Rapidement je remonte la route jusqu'au centre pour jeunes en difficultés. Là-bas je sais qu'un médecin bénévole attend tout les samedi soir les jeunes blessé pendant les soirée. Pas un parole prononcé dans l'habitacle. des méchancetés on était balancé comme une rancoeur qu'on bâcle. Enfin garé je coupe le moteur. J'ai mal au coeur. J'te déteste Lauhs tu peux pas savoir comment Là aussi il ment ? Non, c'était tellement sincère. Ça me lacère... Rangeant les clefs dans mes poches je l'aide à sortir puis à s'assoir dans la salle d'attente. Une seul personne avant nous, une gamine de 15 ans l'aire déglingué, soutenue par sa copine à l'aire juste un peu moins bourré. Mais où cette jeune c'est elle barrée ?!
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Invité
| Sujet: Re: Jeunesse déglinguée, vas tu enfin nous regarder entrain de crever ? Lun 20 Déc - 2:12 | |
| Quoi ? Voila c'est bon j'suis bon à être frappé ? Ho s'il vous plait si il n'y avait que ce soir que j'avais joué à blessé. Je sais trouver les mots qu'il faut, je vous l'ai dis j'suis un pro. Entre jeu et réalité, il y a une barrière que j'ai pas calculé. Je suis l'instigateur de cette torpeur; vous savez bien c'est moi le p'tit manipulateur. Je m'assois doucement, l'habitacle silencieux m'accueille d'un air gracieux. Il s'assoit, démarre le moteur et sans un bruit venant troublé sa rancœur. Tant mieux ça veut dire qu'il apprend. Je replis mon bras contre me ventre, le glissant dans ma veste pour dissimulé son état aux yeux inquiet de mon homologue. Parce que j'veux pas avoir un accident alors qu'il cesse de regarder l'œuvre de notre dispute. On s'arrête, on descend. On s'assoit avec les patients. Moi j'ai mal j'veux juste un calmant. Je fouille dans ma poche à la recherche de mon sachet, un regard à la secrétaire me dissuade de le sortir. Je le relâche soupirant. J'ai mal bon sang soigner moi. Plus un mot entre lui et moi. Le médecin arrive enfin pour nous prendre après s'être occupé de cette trainé désillusionnée, quinze ans et déjà indécent. C'est scandaleux. J'étais pareil à son âge, plus du tout innocent ? J'me fais pitié. On se lève et pour une fois je joue pas un c**, je marche avec Eden sans lui dire de rester dans l'autre pièce. On rentre dans une salle trop blanche à mon goût. Et je m'assois face au docteur, avec un air de gamin méchant.
Et bien jeune homme je ne sais comment vous vous êtes débrouillé mais vous ne vous êtes pas loupé. Va falloir vous plâtrer je reviens avec tous cela. Je le regarde éberlué. Heu pardon j'ai bien entendu plâtrer ?! Non mais ça va pas? Non mais j'ai besoin de ma main gauche, autant pour conduire que pour survivre. Je serre les dents enragé, fatigué, défoncé, en ayant raz bol. Je foudroie méchamment le blond assis en face. Le docteur revient observe mes pupilles. Oui c'est bon je suis défoncé vous êtes habitué. Je vais devoir vous remettre le poignet droit donc tout vous remettre en place. Normalement on donne des anesthésiants local mais avec ce que vous avez prit cela serait dangereux et puis il me semble que vous sentez pas grand chose. Pardon ? Rien sentir? Heu c'est que vous voyez jamais des mecs qui intériorise pour pas passer pour des gosses ?! Heu défoncé ?! Plus tant que ça avec ce froid. Avant que je réponde il prend déjà mon prend. Le tournant avec détermination et douceur. La douleur me foudroie. Et pas au sens imagé, je fais quasi un bond, serrant les dents. J'ai envie de hurler mais mal heureusement j'suis encore trop censé pour me laisser aller. Mais vous allez pas bien p*tain vous êtes taré, j'suis pas assez défoncé pour pas sentir ce genre de truc merde p*tain Ma voix enragé le fait relevé la tête. Il se rend compte en effet que j'suis pas totalement à l'ouest. Il s'excuse et commence à poser des bandes mouillées sur mon bras. Moi je sens surtout quelque chose d'humide descendre sur mes joues. Je serre les dents; me haïssant que mes yeux rejettent eux même la douleurs ignoble de mon bras. Eden, rien que pour ça je te déteste. Je le fixe méchamment, avant de détourner les yeux essuyant mon visage. quand j'aurais moins mal je pourrais essayer de peut-être voir que c'est pas de sa faute et que je le déteste pas...plus tard.
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Syki Kumerlon
| Sujet: Re: Jeunesse déglinguée, vas tu enfin nous regarder entrain de crever ? Lun 20 Déc - 2:30 | |
| Une fois que nous sommes dans la salle de consultation, je vais m'assoir dans un coin et attend que ça passe. La culpabilité m'encrasse. Le médecin lui même reconnais que son poignet est complètement pêté. Merde, non merde j'lai pas loupé. Pourtant j'suis pas bien lourd. On peux vraiment pas dire que je sois dans la catégorie de balourd. J'serai même plutôt le genre grande crevette. Maladif derrière des fringues qui cache mes côtés, pauvrettes. J'me suis fait peur la dernière fois dans la miroir. J'arrivai pas a y croire. Alors un an et déjà j'suis un squelette ? Anxieusement je vois le médecin avancer sa main vers celle de Matt. S'il refuse de lui donner de calmant à cause de ses yeux de drogué pour sure que l'autre va douiller. Je vais devoir vous remettre le poignet droit donc tout vous remettre en place. Normalement on donne des anesthésiants local mais avec ce que vous avez prit cela serait dangereux et puis il me semble que vous sentez pas grand chose. Je serre violemment les dents en le voyant presque bondir. Il a dut vraiment souffrir. Le médecin, espèce d'abrutis, semble remarquer sa connerie. Il lui installe le plâtre. Je me sens d'albâtre. Près à me fissurer à la prochaine marée. J'suis qu'un idiot malmené. Il me jette un regard tellement haineux que moi aussi je sursaute. Pourtant je me lève, un mouchoir trouvé sur le bureau dans la main. Je lui tend, culpabilisant en vain. Il va totalement me haire. Pourquoi ça me donne envie d'en finir ? C'est ridicule de ressentir tout ça pour quelqu'un qui vous a jamais supporté. J'crois que je suis un peu maso vous savez... |
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Invité
| Sujet: Re: Jeunesse déglinguée, vas tu enfin nous regarder entrain de crever ? Lun 20 Déc - 2:45 | |
| Je reste les yeux fixé sur un bout de parquet arraché.Je sers les dents tandis que bande par bande il recouvre mon bras pour maintenant un bout de temps. Saleté de gosses. Ne pouvaient-ils pas faire attention ? Pourquoi nous avoir poussé pauvre c** ? Non pas qu'il soit lourd, ma la chute, la réception plus un autre poids d'avorton, non ça faisait trop il faut croire pour mon bras mal placé. Et maintenant ? J'suis plâtré. Comme si j'avais que ça à branler. J'entends l'autre bouger, moi je veux rester les yeux fixés, ne pas ciller, ne pas bouger. J'ai l'air d'un gamin obstiné ? Tant mieux au moins qu'on vienne pas la ramener. Un truc passe sous mes yeux, un truc blanc et laiteux, je prend son mouchoir d'un geste colérique. Petit enfant qui a été tourmenté. Je m'essuie les yeux, honteux ? Oui et blessé dans son égo. Je ne sais plus quoi penser ! Parce que je sais qu'au moins lui il est resté, moi j'aurais fais quoi ? Mo j'me serrais tiré. Parce que lui il s'en veut. Et que cela me montre qu'il est toujours resté. Le médecin termine enfin son travail. Il me demande de pas bouger le temps que cela sèche et qu'il aille chercher des papiers et autres trucs. Je dis rien, y'a rien à rajouter. Je bouillonne. Le médecin s'éclipse; nous laissant dans un silence compact. Je bouge pas. Je reste là. Je lui en veux ? J'en sais rien. J'attrape son pull, dans l'idée de le frapper. Je le tire brutalement, sans bouger mon bras gauche, en restant assis je l'attire m'emparant de ses lèvres. C'est dit je suis officiellement fou. Ma chute m'a aussi détraqué le cerveau. Je reprend ma respiration une demi e seconde juste le temps de balancer,
matthew - vas rien t'imaginer c'est que le contre coup de la douleur
Et je me raccroche à ses lèvres. Encore un mensonge Wolden ? Parce que j'ai eus mal ais-je besoin de sentir ses lèvres scellées aux miennes? Où alors le besoin de le remercier ? De m'faire pardonner? Parce que lui il est là. Où alors fausse excuse pour un truc qui m'use à force de pas être assouvit. Je suis définitivement perdu au royaume de mes émotions qui se métamorphosent avec déraison.
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Syki Kumerlon
| Sujet: Re: Jeunesse déglinguée, vas tu enfin nous regarder entrain de crever ? Lun 20 Déc - 3:12 | |
| Il m'arrache presque le mouchoir des mains. Je ne sais pas trop comment répondre à ce jeu malsain. Il s'essuit rageusement les yeux. Enfant boudeur abandonné des dieux. Mais lesquels ? Ils ont tous pris feu. Perdue dans nos vaines querelles. Le médecin termine le plâtre, je me mord la lèvre rongé de culpabilité. J'suis vraiment un con de l'avoir autant blessé. L'autre en blouse blanche termine son boulot nous laissant seul. Aie j'vais finir recouvert d'un linceul.. Il m'attrape par le pull, je panique. Je veux reculer. Mon sang est dangereux tu sais ? Il peux tuer... À petit feu comme le bon dieu. Il revient pas un peu trop souvent dans mes pensées cet enculé ? Faut que je pense à m'en sevrer. Arrêter de jurer le seigneur mille fois par heures. Enfin j'y peux rien s'il est l'excuse parfaite pour mes emmerdes. Un vrais fouteur de merde. Je ferme les yeux, me préparant au choc. Et pour une choc, il est de taille vue qu'il m'embrasse.
MATT - vas rien t'imaginer c'est que le contre coup de la douleur
Il ne me laisse ni le temps de répondre, ni celui de le repousser. Car je veux le repousser. Je veux le rejetter. Faite moi y arriver. Par pitié. Sinon je suis perdue. Il va mette mon coeur a nue. Et je répond. Je me fond contre tes lèvres sale con. 10 seconde à rendre fou. À m'envoyer au fin fond du trou. J'y arrive enfin. Je ne rassemble pas mes forces en vain. Détaché de lui, à peine de deux centimètres de c'est si terribles lèvres.
EDEN - Tu te foutrais pas un peu de ma gueule Matty ? Je t'interdit formelement de m'embrasser, tu m'entend ? Je te l'interdit formelement !
Bras qui se croise sur mon torse, air renfrogné. Non mais ! J'vais pas me laisser encore plus berner ! Je le provoque sans y penser ? Quelle drôle d'idée... |
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Invité
| Sujet: Re: Jeunesse déglinguée, vas tu enfin nous regarder entrain de crever ? Lun 20 Déc - 3:29 | |
| Moi je sais plus quoi faire, de toute les manières ce soir je suis vraiment mis k.o. Ça fait combien de temps que je ne m'étais pas blessé ? Des années. Et voila qu'en sa présence, je pers toute assurance, et pour couronner le tout voila que je finis plâtré, dans un hôpital pour ensuite l'embrasser. Nan sérieusement dans le jeu de "chercher" l'erreur ici il n'y a plus rien, et je voudrais changer e titre avec "chercher la normalité". Malheureusement chez moi il n'y en a pas; et alors là je me bats à mon propre records! Et je l'embrasse, lui trop surprit sans doute pour m'imiter. Mais... le voila qu'il réagit et je le sens bouger. dix secondes. Pauvre c** tu aurais pu faire durer un peu plus. Mais nan il me repousse. Pardon ? Il me repousse?? Mais oui il me repousse !!! Et il me fixe décidé les bras croisé sur son torse l'air buté.
eden - Tu te foutrais pas un peu de ma gueule Matty ? Je t'interdit formellement de m'embrasser, tu m'entend ? Je te l'interdit formellement !
Je le regarde surprit. Pardon ? Je le regarde avec les yeux écarquillé. Il a pas l'air de rigoler. Je le regarde sans rien ajouté. Du moins pendant quelques secondes. Et mais j'ai pas envie depuis quand c'est lui qui dicte les lois ? Depuis quand c'est lui le roi ? Je suis devenu fou, je le fuyais pour le planter et maintenant je veux le provoquer ? Non c'est lui qui joue la provoque. Souriant doucement je le fixe avec amusement.
matthew - tu me l'interdis ? Tu me donnes des ordres toi ?! Tu m'interdis formellement ? Alors que si j'ai le bras cassé c'est ta faute ?! Enfin en partie ... tu as le droit tu crois ?!
Je ris doucement, assuré et joueur. Je me lève prudemment, mon bras contre mon corps sans le bouger, je veux pas foirer mon plâtre. Je m'approche de lui, aussi grand, le fixant des les yeux. Fière et assuré. Orgueilleux. Je regarde ses lèvres avec amusement.
matthew - Tu me l'interdis alors que tu me cherches tout le temps ?
Je m'approche encore plus, notre lèvres se frôlant, et moi toujorus tout contrôlant. Je fixe ses yeux buté, quoi que là je vois bien qu'il sait plus quoi faire. Alors tu vois ce que ça fait ? quand on se sent prit au piège ? Bienvenu dans ce monde Eden Lauhs.
matthew - Tu m'interdis...ce que tu désirs vraiment ?!!!
Je chuchote lentement, précisément en articulant ses derniers mots; mes lèvres sur les siennes, et pourtant de l'air si fine nous séparant encore. Ma respiration devenu rares, tandis que nos souffles se mélange. Je le provoque, je reste là.
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Syki Kumerlon
| Sujet: Re: Jeunesse déglinguée, vas tu enfin nous regarder entrain de crever ? Lun 20 Déc - 3:57 | |
| En me sentant m'éloigner il semble indigné. Non mais pensait-il vraiment m'avoir comme un bleuet ?! Tu m'as déjà fais le coup sur le tourniquet. Et tu te souviens, c'est moi qui est mis fin au baiser. Là c'est pareille, j'suis pas ton jouet. J'ai décidé. Oui oui j'ai décidé. Même si tu me regarde avec ses yeux là. Même si j'en crève de m'éloigner de toi.
MATT - tu me l'interdis ? Tu me donnes des ordres toi ?! Tu m'interdis formellement ? Alors que si j'ai le bras cassé c'est ta faute ?! Enfin en partie ... tu as le droit tu crois ?!
EDEN - C'est ma faute j'sais, pardon... Mais je fais quand même ce que je veux de mon corps.
Il plonge son regard dans le mien. Je ne sais même plus le nom qu'est le mien. Je suis perdu face à lui, je ne suis plus rien. Pourquoi diable suis-je restais aussi près de ce vil tentateur ? J'ai du perd le nord quand on est tombés tout à l'heure.
MATT - Tu me l'interdis alors que tu me cherches tout le temps ? Tu m'interdis...ce que tu désirs vraiment ?!!!
Nos souffles qui se mélangent et je sais plus quoi faire. Il me plonge trop facilement dans ce délicieux enfer. Que le médecin revienne s'il vous plait ! Vite, j'vais craquer. J'avance, imperceptiblement. Je sens ses lèvres effleurer les miennes, promesse d'un plaisir sans pareille...
EDEN - c'est... faux... J'veux... plus rien de... toi...
J'avance encore. La porte se rouvre, vite je recule mon corps. Ouf sauvé. C'est moi paie le prix minim du plâtre et nous nous hâtons de retourné à la voiture. Je m'assois derrière le volant en évitant son regard qui lui seul est une torture. Sa bouche m'appel comme un aimant. C'est complètement dément. J'ose, je peux pas m'en empêcher, je glisse un regard vers lui. Timide, pas sur de lui un sourire se forge un passage sur mon visage. Ma langue qui passe sur mes lèvres et celles-ci qu'aussitôt je mordille envieusement. Se provoquer comme ça, c'est l'âge ? |
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Invité
| Sujet: Re: Jeunesse déglinguée, vas tu enfin nous regarder entrain de crever ? Lun 20 Déc - 9:59 | |
| Je continue d'avancer bien fière de mes intentions, parce que maintenant je sais que c'est lui qui ne veut plus. On échange de rôle que quand je sais ce que je perd au change ? Je sais c'est injuste mais c'est moi qui fixe l'échange. Je suis le petit roi tyrannique du centre de ma vie, et tant pis si cela déplait à mes petits sujets.
eden - C'est ma faute j'sais, pardon... Mais je fais quand même ce que je veux de mon corps.
Si je voulais pas jouer, là je serrais choqué. qu'il prenne à ce point véridique la moindre la parole tyrannique. Non mais si je disais que le malheur n'existe que par lui, il s'excuserait aussi de son pseudo bonheur ? Égaré, étonné, je garde pour moi mes ressentit givrés pour continuer sur ma lancé. Moi j'adore le voir troublé.
eden - c'est... faux... J'veux... plus rien de... toi... mathhew - menteur tu crois même pas ce que tu me dis.
Ce genre de phrase balancé à plusieurs degré alors que ce sont ses lèvres qui semblent le diriger. Pourtant c'est quoi cet effrois, qui lorsqu'il dit ce mensonge grogne au fond de moi ?! Nan mais en plus du poignet, j'me suis pété la raison, bravo Wolden on avait dit que tu finirai pas la saison. Il résiste, durement. Il perd pied lentement. J'ai gagné, c'est sur la voie. Et la porte qui s'ouvre. Il saute en arrière comme sauvé. Je ris doucement même si j'suis énervé, de son arrivé à l'autre taré qui m'a fait pleurer. Je le laisse me parler et m'expliquer plein de truc; il rit doucement lorsque je lui demande si dans deux jours j'peux revenir l'enlever. Faut croire que je le fait marrer, moi je vois rien d'amusant à avoir le bras plâtré. Faut d'avoir du blé, resté chez moi bien au chaud, c 'est Eden qui paye et nous sors de ce truc. Retour à la voiture et silence tendu; je le vois crispé sur son siège. Je regarde le pare brise et la neige qui tombe du ciel. Un léger frôlement je vois du coin de l'œil qu'il m'observe. Pas un seul bruit, pas une seule parole. Et d'un coup mon rire qui résonne sans parole. Fou rire déraisonné pour personne détraquée.
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Syki Kumerlon
| Sujet: Re: Jeunesse déglinguée, vas tu enfin nous regarder entrain de crever ? Mer 29 Déc - 21:28 | |
| Me voilà dans cette voiture qui n'est même pas à moi. À me demander comment dehors il peut faire aussi froid. Surtout lorsque qu'il y a un tel feu à l'intérieur de mon fou. Mes jours manquerai de peu brulés, heureusement que je suis trop tressé par ce nous. Rois et fou, rois et cavalier, suis-je simplement fait pour être à tes côtés ? Sûrement pas on s'est trop entre-déchirrés. Incapable de se comprendre, comme des soldats l'un contre l'autre dressés. Il éclate de rire, je sursaute en ouvrant un regard étonné. Allons bon on a perdu l'aliéné. J'ai envie de l'embrasser. Encore plus de me blottir dans ses bras, pas, musclés. Mais ça réflexion de tout à l'heure me stop instantanément. "menteur tu crois même pas ce que tu me dis. " Mais j't'en fait moi des commentaires sur tes mensonges à tous vents ?! T'es tout pourri oui ! Remonté, un peu, j'enclenche le moteur. J'vais le ramener chez lui, c'est l'heure. Sans un mot je le laisse ricaner. Concentré sur ma route de lui je reste faussement désintéresser. Car si de l'extérieure j'ai l'air blasé, je me consume en dedans. Vieux prétendant. Regardant rayonner cette amour qui ne verra, jamais le jour. Aurevoir pas bonjour. J'arrête le voiture devant son appartement de sacripant. Il est temps de dire adieu au fantasmé amant. Un regard de côté, quelque chose auquel on ne peut pas résister. J'amorce le geste de passer ma main dans ses cheveux. me stoppe ne les frôlant qu'un peu. Voiture garer.
EDEN - Tu peux descendre, poupée, t'es arrivé.
Un sourire, forcé. Un désir sourd qu'il faut réprimer. Ne pas lui donner raison. Aller plutôt se cacher sous les draps à la maison. On est décidément pas fait pour jouer à l'unisson. J'y ai jamais crus j'vous promet. Pauvre con. Le premier amour n'est pas fait durer. Et s'il fait crever ? |
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Invité
| Sujet: Re: Jeunesse déglinguée, vas tu enfin nous regarder entrain de crever ? Mer 29 Déc - 22:08 | |
| Contre coup de cette soirée de fou ? C'est finit me voila totalement bannit ? Monde rationnel, monde optionnel ? Moi je suis choisi le second, où responsabilité et c**, non rien à faire avec notre jargon. J'suis pas fou, mais n'allez pas m'enfermer pour trois sous ! Mon rire le surprend et moi j'trouve ça délirant. Vas-y fixes moi avec tes airs anéantit. Moi j'trouve ça pourrit, j'trouve que ma soirée ma bien pourrit ma nuit. J'veux retourner en arrière, avant que je finisse sur le derrière. Normalement j'devais plutôt finir avec une autre sur sa banquète arrière. Et non me voila avec l'autre ange déchu, plâtré et déçu. Je continue de rire alors que lui finit par démarrer ce moteur, je le regard avec aigreur. Avant de m'arrêter et de fixer la chaussée. Moi j'veux pas de ce gosse endiablé, moi j'veux pas de ce mioche amouraché. Je fixe les routes qui défilent, je sais pas où l'on va où il file. Puis je reconnais peu à peu mes habitudes, mon quartier et ma rue nous accueil d'une grâce délavée. La voiture se stop je le fixe étonné, depuis quand monsieur me montre sa bonté ? Il me fixe moi je le provoque sans me gêner. Sa main s'approche de moi et je le fixe sur de moi. Depuis quand est-ce que je joue avec ça ?! Arrêt sur image, oui c'est peut-être plus sage.
eden - Tu peux descendre, poupée, t'es arrivé.
Je le regarde amusé. Poupée ? Non mais il se croit où l'enc*lé ?! En plus il vient de ma briser le poignet. Je reste là abandonné, sur mon siège j'avoue j'suis bien installé. Allez vas-y t'en crèves d'envie, allez vas-y essaye que je t'incendie ! Je me penche, j'effleure ses lèvres amusé, je me décale et sors assuré. Je me retour en m'accoudant à la portière.
matthew - Ba alors tu viens pas? Me dis pas que t'es bloqué ?!!!
Je ris doucement en le fixant, avant de revenir dans la voiture gardant la porte ouverte. Je le fixe pencher vers lui, appuyé sur ma main droite, l'autre me faisant encore mal. Connard de médecin. Je regard ses yeux incandescent, nan mais sérieux c'est pire qu'indécent.
matthew - Ba alors Lauhs ? T'a perdu ta langue en une soirée ? Plus d'initiatives ? Plus rien... ça fait des années que t'es sur moi et là rien...tu m'déçois !
Dis Matt' pourquoi t'as besoin de cette méchanceté pour te penser en sécurité. Ca te fait bander de déblatérer autant d'immondité. Méchant, cynique. Mais enfant t'as pas eut une enfance des plus merdique. alors que t'est-il arrivé ? On t'a confisqué ton jouet préféré ? On t'a obligé à finir ta puré ? Qu'est-ce qui s'est passé pour ainsi de transformé, en sale mec ignoble blasé de tout sentiment de l'humanité ?!
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Syki Kumerlon
| Sujet: Re: Jeunesse déglinguée, vas tu enfin nous regarder entrain de crever ? Mer 29 Déc - 22:53 | |
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MATTHEW - Ba alors tu viens pas? Me dis pas que t'es bloqué ?!!!
Il viens de m'embrasser ?! Bon à peine mais quand même quel connard d'enculé ! Je le dévisage outré, surpris, puis blasé. T'es vraiment qu'un gamin qui adore les caprices enchainer. Gosse mal-éduqué. Tu finira sur les pavé, écrasé par ta speudo insensibilité. J'ai pas envie de te suivre dans te chute effréné. Ou bien j'en crève d'envie tellement que sa me fait flipper. J'hésite, j'suis toujours pas décider. Ce que je sais c'est que ton attitude me fait soupirer. Alors je répond pas, voilà au moins un truc que j'ai décidé. Mais tu me cherche, tu veux provoquer ? Tu reviens, tu me regarde moi j'veux pas craquer. Pas craquer. T'embrasser ? Oui j'suis bloqué. Mais c'est moi qui m'le suis imposé.
MATTHEW - Ba alors Lauhs ? T'a perdu ta langue en une soirée ? Plus d'initiatives ? Plus rien... ça fait des années que t'es sur moi et là rien...tu m'déçois !
Je souris. Oh mon dieu oui. Tu n'es qu'un délicieux pourri. J'attrape mon paquet de cigarette et en allume une avec délectation. Me penche vers lui, m'arrète à quelque centimètre de ses lèvres, j'joue au con. Lui souffle la fumée au visage.
EDEN - Non, j'ai plus vraiment envie. Tu fais trop pitié avec ton plâtre dude. À moins que ma proposition de me sucer pour une dose te t'en finalement ?
Aire de sarcasme absolue. Je me réinstalle au fond de mon siège et observe la rue. Personne ne bouge, personne n'est là. La neige épaisse couvre tout d'un manteau froid. Jusqu'où toute cette histoire ira ? Te courir après depuis des années ? Et alors pour toi ça change quoi ? Y'a que moi que ça chier. |
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Invité
| Sujet: Re: Jeunesse déglinguée, vas tu enfin nous regarder entrain de crever ? Mer 29 Déc - 23:11 | |
| Je le vois réfléchir avec ce p*tain de calme qui m'est coutumier. Il sort son paquet moi j'veux lui faire bouffer. Eden tu sais qu't'as pas le droit de jouer ainsi ? Tu sais que tu devrais pas t'amuser aujourd'hui. Appuyer sur le fauteuil, le fixant avec orgueil; lui il semble pas pour autant s'en préocupé. Vas-y allumes là ta clope espèce de taré ! Se rapprochant je le regard amusé, vas-y allez craques de toute façon tu en as envie. Retractage au dernier moment, il m'envoie en pleine gueule sa fumer. Bâtard, espèce de taré, t-as-t-on jamais dit de ne pas jouer ?
matthew - enc*lé
C'est partit tout seul, j'ai pas pu m'en empêcher, je souris énervé par sa désinvolture contrôler. Il m'énerve quand il commence à se la jouer à mon effigie. J'suis si chiant, avec mon air branlant ?! Faites ce que je dis pas c'que j'fais ! Point barre tiens toi à ça et ne refais pas mes actions. Non mais à quoi il joue ce p'tit c** ?!!! Il se remet bien, et profite de sa clope allumé.
eden - Non, j'ai plus vraiment envie. Tu fais trop pitié avec ton plâtre dude. À moins que ma proposition de me sucer pour une dose te t'en finalement ?
Pardon ? Je serre les dents et mes doigts énervé. Pardon je dis énervé ? Pire il me fait enrager! Non mais il veut pas en rajouter. Mince j'dois être crever car limite j'le frapperais en pleurant, hurlant que c'est sa faute si j'ai ça à la main. Creuvard tu vas me le payer. Je fixe la rue, mâchoire serré. après l'avoir incendié calmement de plusieurs injures. Le sucer ? Monsieur prend ses fantasme pour la réalité ? Genre je vais m'abaisser à cette immonditié ? Pas chez moi jeune homme ! Je me remet calmement sur mon siège réfléchissant à sa proposition, je prend une clope, passant mon briquet de ma main droite. Entrain surtout de réfléchir à la scie dans mon placard pour vite faire disparaître de truc blanc infâme. Non mais je m'en fou il sait pas à quoi je pense.
matthew - Sérieusement Lauhs tu me penses à ce point mal tombé ? Te sucer ? Moi ?! Nan mais sois réaliste je le ferrais pas même si ma vie en dépendait. En plus les p'tits c** qui m'ressemble sérieux j'en suis pas fan. J'suis pas un de tes clients tocards !!
je répond doucement restant en place. Deux c** discutant de trucs étrange, dans une attitude calmes de vieux qui parlent du brouillard.
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Syki Kumerlon
| Sujet: Re: Jeunesse déglinguée, vas tu enfin nous regarder entrain de crever ? Mer 29 Déc - 23:27 | |
| Ça première réaction me fait ricaner. J'adore l'imiter. Lui si semble aux autres milles. Les briseurs de coeur adorés. Ceux qui font chialer les filles dans les soirées. Crois-tu que je ne connais pas ton jeux ? Que je ne saurais pas imité, inverser nos rôles à nous deux ? Erreur mon biquet. J'sais jouer à l'infâme, le composé avec succès. Ça s'appel l'apprentissage des rejetés. On s'endurci pour pas sombrer. Il semble agacer, pris de court dans l'inversion imposer. Puis il m'imite aussi, allumant sa clope sans se presser. Nous y voilà enculé.
MATTHEW - Sérieusement Lauhs tu me penses à ce point mal tombé ? Te sucer ? Moi ?! Nan mais sois réaliste je le ferrais pas même si ma vie en dépendait. En plus les p'tits c** qui m'ressemble sérieux j'en suis pas fan. J'suis pas un de tes clients tocards !!
EDEN - Tu m'imites Matty-pourri ? On fait un jeu de miroir ? Si j'tire sur ma clope tu le fait aussi ? Aller quoi arrête de faire l'enfant et rentre chez toi. J'te déconseille d'essayer d'enlever ton plâtre si tu veux pouvoir un jour te ré-appuyer sur ton bras pour baiser une princesse camée. Mes clients ne me suce pas, Y'a qu'à toi que je ferrais cet honneur t'es tellement bandant. Moi pas besoin que ma vie en dépende pour te baiser, t'y goûterai tu adorerais.
Sans pudeur j'viens poser ma main libre sur son entre-jambe, et lui faire un clin d'oeil exagérément aguicheur. Je sais je sais quand je veux j'joue un peu trop au chieur. Bah quoi après tout on fait s'qu'on veux à cette heure. Faut mieux ça que d'avoir peur. |
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Invité
| Sujet: Re: Jeunesse déglinguée, vas tu enfin nous regarder entrain de crever ? Mer 29 Déc - 23:45 | |
| eden - Tu m'imites Matty-pourri ? On fait un jeu de miroir ? Si j'tire sur ma clope tu le fait aussi ? Aller quoi arrête de faire l'enfant et rentre chez toi. J'te déconseille d'essayer d'enlever ton plâtre si tu veux pouvoir un jour te ré-appuyer sur ton bras pour baiser une princesse camée. Mes clients ne me suce pas, Y'a qu'à toi que je ferrais cet honneur t'es tellement bandant. Moi pas besoin que ma vie en dépende pour te baiser, t'y goûterai tu adorerais.
Matty-pourri ? C'est quoi ce surnom débile ? C'est quoi cette manière puéril. Jeu du miroir, non désolé je veux pas être l'amoureux notoire, c'est pas moi, ça ne me ressemble pas. Désolé ce jeu j'y vais aucun profit pour moi.Rentrer chez moi ? Depuis quand il me donne des ordres ? Depuis quand il lit dans mes pensées de ce plâtre mal tombé ?! Baisé une princesse camé ? Avec une sale main j'peux débrouiller très bien, oh tu crois que je branle avec toi espèce de catho' pas vraiment réglo ?!!! Un honneur ? Sérieux j'en veux même pas, j'veux juste retrouver mon calme d'autre fois.
matthew - arrêtes avec tes surnoms abrutis. Et cesses de me faire la morale si j'ai ça je te rappel que c'est ta faute. Un honneur pitié donne le à un autre j'vois pas la récompense. N'y songe même pas j'veux même pas tenter...
Près à continuer sur ma lancer son geste me coupe dans mon élan. Je bug un instant. Non mais il joue à quoi ? Je me sens mal, je bouge pas un instant. Sa main à cette endroit nan mais il y croit vraiment ? J'avale ma salive, prenant ma clope entre mes doigt de ma main plâtré, je prend sa main avec ma main droite. Je l'écarte, nan mais en plus il veut s'attarder. Sérieux vaut mieux pas.
matthew - Pas envie d'jouer j'suis crever...rentre chez toi t'branler !
je quitte la voiture et sans un regard quitte le trottoir, la porte magnétique qui fonctionne même plus, je la pousse d'un coup de hanche en écrasant ma clope. Non mais attendez je deviens taré où ce mec m'a fait de l'effet. Merde Matt' tu nous fait quoi ?! Je ferme les yeux en grimpant l'escalier, penser à plein de chose hormis à sa main. Nan mais j'deviens taré. Merde ma veste !!!! Elle est resté dans la voiture, carte de crédit, téléphone, clope et drogue y sont rester. Je fais demi tour, puis me ravise. Non mais pas la peine maintenant j'suis trop bloquer. J'ouvre ma porte et la referme me laissant tomber dans la canapé je jure à voix haute. J'suis trop c** !
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Syki Kumerlon
| Sujet: Re: Jeunesse déglinguée, vas tu enfin nous regarder entrain de crever ? Jeu 30 Déc - 0:02 | |
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MATTHEW - arrêtes avec tes surnoms abrutis. Et cesses de me faire la morale si j'ai ça je te rappel que c'est ta faute. Un honneur pitié donne le à un autre j'vois pas la récompense. N'y songe même pas j'veux même pas tenter... Pas envie d'jouer j'suis crever...rentre chez toi t'branler !
Complètement estomaqué mon geste semble l'avoir vraiment décontenancé. Et oui darling moi aussi je sais avec le feu jouer. Tu pourras jamais m'avoir à ce jeu entre garçons. T'a trop peur du qu'en dira-t-on. Alors j'le vois fuir. Partir, courir se réfugier là où il m'entendra pas rire. J'finis ma cigarette les yeux dans le vague d'un amoureux brouillard. C'est nul de finir la soirée comme des trouillards. Envie de pousser le vice. De voir jusqu'où je peux te faire avoir peur. Avoir envie. Parler d'une terreur. D'un désir non-assouvis. Mais bon t'es partie, tempis. Soudain la clef au compteur, j'comprend ton erreur. Ta veste est abandonné inconscient leurre. Je change donc mes plan te rejoins en haut patiemment. Une marche après l'autre jusqu'à ton appartement. Puis je toque. Appuyé au chambranle dans un bras ta veste et ses breloques. Clopes, dopes, portables et porte-feuille. Préférera tu te terrer comme un paniqué petit écureuil ? Oseras-tu seulement sortir sur le seuil ? Pas peur de voir ta nana-addict au fond d'un cercueil ?
EDEN - Ouvre s'teu plait tu as oublié ta veste et tout son contenue. T'aurais pas un peu d'eau aussi j'ai des cachets à prendre c'est un peu urgents.
Quoi je mens ? Jamais d'là vie j'suis pas un si grand garnement. |
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Invité
| Sujet: Re: Jeunesse déglinguée, vas tu enfin nous regarder entrain de crever ? Jeu 30 Déc - 0:14 | |
| Je soupire doucement et déboutonne ma chemise, je regarde mon débardeur blanc uniforme, la flemme de me déshabiller j'envoie juste mes bottine valser. Soupire, sérieux j'suis blasé. Une douche un porno et j'vais pieuter ? Non mais sérieux il est même pas trois heure passé, et me voila de nouveau dans mon appartement enfermé. Je ferme les yeux, allumant la musique, je joue avec ma briquet, je me penche allume les bougie qu'une pétasse à oublé. Ha non c'était une amie qui était venu me séduire. Souvenir amusant, je redécore mon appart avec des flammes étrangères. Un bruit de choque, devant ma porte on toc. Non mais quoi encore ?
eden - Ouvre s'teu plait tu as oublié ta veste et tout son contenue. T'aurais pas un peu d'eau aussi j'ai des cachets à prendre c'est un peu urgents.
Je bugue un instant, briquet dans la main. Pourquoi il est là ? aurait-il un soupçon de conscience pour ma veste et sa valeur inestimable ? Enfin c'est surtout la dope et mon téléphone qui me fond un peu avancer, j'attrape une bouteille d'eau oublié. J'essaye d'ouvrir avec ma main gauche, putain je sens que je vais vite exploser avec ce plâtre de taré. J'ouvre sur lui, appuyé négligé. Je la regarde un sourire sadique et crevé au lèvres. Je lui tend la bouteille et tend ma main pour prendre ma veste.
matthew - voila ton eau clodo', espères pas plus ici c'est pas l'hosto' on prend pas autant soin des patients. T'as rien prit dans ma veste au moins ?
Je le fixe furieux de son retard dans mon champs de vision. Pas mécontent de savoir au moins faire retomber rapidement mes ardeurs. Il vient savourer sa victoire ? Non aucune chance il sait même pas l'effet de sa gloire.
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Syki Kumerlon
| Sujet: Re: Jeunesse déglinguée, vas tu enfin nous regarder entrain de crever ? Jeu 30 Déc - 0:35 | |
| J'attend avec la patience d'un vautours au dessus de son cadavre préféré. Celui qu'il rêve depuis un moment de dévoré. Ce soir j'me sens l'âme d'un tueur engagé. D'un meutrier des temps. Touché couler mon coeur tiendra-t-il se rythme d'enculé ? Faudra voir à pas s'faire étaler. Il ouvre la porte et je retiens mon souffle. Il est trop beau c'est d'une injustice torturante. Son air énervé m'a toujours fait envie plus que n'importante qu'elle autre âme passante. Cheveu en batailles, lèvres rougit d'un agaçant handicape. J'suis quand même coupable de lui imposer ce truc blanc qui l'handicape.
MATTHEW - voila ton eau clodo', espères pas plus ici c'est pas l'hosto' on prend pas autant soin des patients. T'as rien prit dans ma veste au moins ?
J'en reste bloqué. Blessé comme vous pouvez pas l'imaginez. C'est son ton qui l'a d'un coup m'a glacé. Mon courage s'est envolé. Il a préféré d'écamper. Je file sa veste dans les bras sans un regard. Oubliant la bouteille d'eau sur place j'm'en vais hagard. Salopard. T'as toujours ce besoin de me faire mal ?
EDEN - Encore désolé pour ton bras, aurevoir Matty.
J'me mord la lèvre en me rendant compte que le surnom est sortie tout seul. Pas possible que je le retienne non ? Ceci dit au moins je file à la voiture sans demander mon reste. La démarre mais ne part pas. D'abord une cigarette pour oublier combien j'ai froid. Grand enfant désabusé. Toucher, noyer. Faudrait qu'un jour j'apprenne à nager. Qu'il arrête de m'embrasser quand sa lui chante alors ce sale petit... Pff ça n'en vaut même pas la peine. C'est trop fatiguant la haine. |
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Invité
| Sujet: Re: Jeunesse déglinguée, vas tu enfin nous regarder entrain de crever ? Jeu 30 Déc - 0:55 | |
| J'vois son visage se décomposer, lentement je commence à remonter sur notre course à celui qui pourra gagner. Non mais Eden ne t'avait-on pas prévenu que je frappais au détour des quartier ? Ne savais-tu pas qu'ici je connaissais pas les limites de mon règlement de compte ? Tiens tiens serrait-ce moi qui serrait entrain de remporter la victoire ?
eden - Encore désolé pour ton bras, aurevoir Matty.
Je le regarde halluciné. Sans vraiment le retenir, il fait demi tour et hop disparait dans la cage d'escalier. Sérieux il vient vraiment de m'appeler ainsi ? Et puis partir aussi vite? Pourquoi ce soir, il y a un goût amère dans cette fameuse victoire? Où j'en tire le bonheur de ma nouvelle gloire ?! Je referme la porte, dérisoire. Je soupire. Laissant ma veste trainé sur ce canapé délavé. Moi qui adore faire mal, est-ce que j'ai aimé son regard ? Pas une seule seconde , j'étouffe. Je sors sur le balcon, regardant le sol. Sa voiture. Lui, je l'observe rentrer dedans, en dessous de moi. Le moteur qui démarre, aucun départ. Je fronce les sourcils. Je rentre prendre un bédo, je vois sa bouteille d'eau. Soupire. Je retourne sur le balcon, expire la fumer toxique,, dévisse le bouchon mal vissé. J'incline doucement la bouteille, visant son pare-brise. L'eau s'écoulant avec une lenteur avant de s'écraser avec vigueur sur la vitre gelée. Qui a dit que j'aimais savourer mes victoires seul ? Où alors c'est lui...où alors j'suis vraiment foutu!
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Syki Kumerlon
| Sujet: Re: Jeunesse déglinguée, vas tu enfin nous regarder entrain de crever ? Jeu 30 Déc - 1:28 | |
| De l'eau sur mon pare brise, suis-je devenu fou ? J'pensait vaguement à ce qu'aurait pus donner un nous. Il pleut ? Bizarre la pluie en générale c'est pas aussi peu. Ni aussi concentré. Plutôt comme... Une bouteille d'eau qu'on a renversée. Ma colère éclate comme une bulle de savon pleine d'acide. J'sort de la voiture et m'exclame avec rage.
EDEN - Putain Matt !! Mais tu m'emmerdes petit con ! T'a envie que mon pare-brise gèle ou quoi ?!!! T'a pas fini de me mettre en boule exprès ?!!! T'es insupportable franchement !
Je re-rentre dans la voiture en claquant la portière et démarre en trombe. Sauf que la nuit adore que les conducteur tombe. Sous les larmes qui ravagaient déjà mes joue lorsque je l'engueulais. Je n'ai pas vue le lampadaire me faisait face et dedans j'suis rentrée. La voiture est plié, j'finis dans l'airbag complètement paniqué. Merde qu'est qui viens d'arriver ? Je sort en vitesse tremblant sous l'impact. L'avant est abimé mais le reste de la voiture est intact. J'arrive pas à m'arrêter de pleurer, j'suis comme un enfant gronder. Je n'ose pas vers matt me retourner. C'est officiel pour le coup j'suis un gros boulet. |
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Invité
| Sujet: Re: Jeunesse déglinguée, vas tu enfin nous regarder entrain de crever ? Sam 1 Jan - 21:29 | |
| Il sort de sa voiture, énervé? Sans doute. Et pourtant aucune culpabilité surgit dans mes pensées. Moi je m'amuse, moi j'veux pas le laisser se casser ? J'en sais rien, mais j'trouvais que c'était drôle et pas la peine de se mettre en colère si peu. Ba faut croire qu'aux yeux de monsieur le donneur de leçons , oui il y a de quoi se mettre en colère.
eden - Putain Matt !! Mais tu m'emmerdes petit con ! T'a envie que mon pare-brise gèle ou quoi ?!!! T'a pas fini de me mettre en boule exprès ?!!! T'es insupportable franchement !
J'ouvre des yeux grands comme des soucoupes. P'tit quoi ?!! J'ai mal entendu ou quoi ? Non mais sérieux, il ne manque pas d'air. Qui est-ce qui m'emmerde moi chaque fois qu'on se croise ? Et puis j'avais pas pensé à ce détails, bon j'avais c'est pas faux, ça risque de geler par ce temps mais pas besoin de s'énerver pour autant. J'vous jure il est tendu ce mec. Portière qui claque, moteur qui gronde. J'ouvre la bouche brutalement, pour lui signaler qu'il y a un poteau devant son nez. Un bruit vient m'en empêcher. Brutal. Je fixe la voiture encastré dedans. Merde. Je fais demi tour et sors de l'appartement. Descendant les marches en me demandant comment il a fait pour ne pas le louper. Je franchis la porte légèrement...inquiet ? Non mais en même temps c'est vrai si il a un problème j'suis sur ça va me retomber dessus par je ne sais quel malheur. J'voi la voiture et un p'tit bonhomme debout à côté. Désolé si c'est mal polit mais là j'peux pas m'en empêcher et je ris amusé. Hilare de sa débilité. Bon je l'ai peut-être un peu provoqué, mais j'y peux rien son côté boulet c'est trop amusant. Je m'approche toujours en riant,; tandis que je vois alors sur son visage des larmes couler. Merde maintenant il se met à chiler. J'suis censé faire quoi ? Je retiens mon rire dans ma gorge, enfin j'essaye de contrôler un peu cette hilarité. J'm'approche, gentillement.
matthew - Hé t'as rien ? Tu t'es fais mal ?... Allez c'est bon c'est d'la tôle froissé le principal c'est qu'tu sois pas blessé, non ?!
Pis voila maintenant j'le reconforte! Non mais dans quel monde je suis ?!! Ne parvenant pas à faire disparaître mon sourire, j'y peux rien sérieux je suis inquiet mais mon corps veut pas arrêter de rire de notre connerie. Je pose ma main sur son épaule doucement.
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Syki Kumerlon
| Sujet: Re: Jeunesse déglinguée, vas tu enfin nous regarder entrain de crever ? Lun 3 Jan - 17:58 | |
| Un oiseau perchait sur sa brande, bien trop haut. Telle oui, et il fait le beau. Il se moque des autres, de ceux qui se noie dans un verre d'eau. Il se cache, se débarrasse de son fardeau. N'est c'pas un mensonge ? Son nez s'allonge. Vilain petit canard détraqué. Il ne faut pas ainsi tricher. Ne te l'a t-on jamais apprit ? Je ne fait que constater. Inutile de bouder. Es-tu heureux ? La nuance est bien mince avec peureux. Moi je suis amoureux. C'est assez douloureux. J'ai peur mais penses-tu ça si dangereux ? La vie à deux. Tout ça me trotte en tête. Agaçante tempête. Plantait devant la voiture abimée, je ne sais que dire que faire, juste éviter de paniquer. Une main se pose sur mon épaules e faisant sursauter. Mon esprit noyé n'avait pas remarqué son arrivé.
MATT - Hé t'as rien ? Tu t'es fais mal ?... Allez c'est bon c'est d'la tôle froissé le principal c'est qu'tu sois pas blessé, non ?!
EDEN - non non j'ai rien ça va...
Sans vraiment vouloir m'en retenir, je recule un peu contre lui. Me blotti à peine, besoin, protection, irrésistible envie. Mes larmes me font hontent, je les essuie rapidement. Orgueil attendrissant de grand enfant. Ne pas craque, je serre les dents. Au lieu de ça je fait semblant qu'ma rage à pas foutue le camp.
EDEN - C'est ta faute aussi ! Qu'est c'qui t'a pris de me balancer de l'eau sur le pare-brise alors qu'il gèle ?!! Tu sais que c'est pas ma voiture en plus ! J'ai déjà assez de problèmes d'argent comme ça...
Et voilà qu'elles reviennent. Quelle veine ! Masse d'eau salée m'explosant les yeux sans pitié. J'en peux plus, j'suis fatigué, totalement crevé. Mes nerfs lâchent et je sanglote les épaules secouées de violent soubresauts. Dit jolie oiseau tu voudrais pas m'emmener sur ta branche tout la haut ? D'n geste boudeur, honteux et angoissé je jarte sa main. J'doit vraiment avoir l'aire d'un beau crétin.
EDEN - Avec des réparations même que de "toile froissées", comment j'vais payer le loyer ?
Je me met à marcher de tout côté. La tête dans les mains, j'crois bien que je suis entrain de paniquer. Je pleure mais ça n'a plus d'importance. Là ce que je demande c'est comment rattraper ma malchance. Je fait volte face vers Matt, un besoin urgent de brouiller mes sens. Je l'embrasse me penchant sur lui avec prévenance, un tout petit poil de violence. Raté. Le plaisir de ses lèvres adorées me fait alors réaliser mon geste inconsidéré.
EDEN - Pardon je... J'voulais faire ça... Je
N'aurais-je pas omit le "pas" ? Merde, cachez moi. |
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Invité
| Sujet: Re: Jeunesse déglinguée, vas tu enfin nous regarder entrain de crever ? Lun 3 Jan - 22:21 | |
| Rire hautement amusé, hilarité incontrôlée. Je devrais peut-être me calmer? Mais rien à faire ça veut pas s'arrêter. Pourtant faut l'avouer j'ai eus peur, oui c'est vrai à mon grand déshonneur. J'ai flippé. Oh c'est bon j'voulais pas que sur moi la faute soit rejetée. C'est tout. Enfin. Au moins il a l'air d'aller bien. Du moins hormis les larmes sur son visage. Il pleure. C'est amusant. Et moi je suis chiant.
eden - non non j'ai rien ça va...C'est ta faute aussi ! Qu'est c'qui t'a pris de me balancer de l'eau sur le pare-brise alors qu'il gèle ?!! Tu sais que c'est pas ma voiture en plus ! J'ai déjà assez de problèmes d'argent comme ça...
matthew - ok... écoutes je...désolé. J'pensais pas que ça allait gelé, d'ailleurs ça n'a rien fait regarde. J'pensais pas que tu t'énerverais si vite. C'est bon excuses moi mince.
Nan mais faut pas s'énerver. C'est bon quoi, ok c'est que de la tôle froissé. Au pire je peux lui payer. Non je roule pas sur l'or mais j'ai assez des anciens deal que j'ai fais même si j'ai arrêter j'suis pas du genre à vachement dépenser. Il se remet a pleure,r moi je trouve plus ce qui me faisais marrer. J'ai l'impression de revoir l'autre jour...mince...comment elle s'appelle ça sœur tarée? Colombine ? Non Columbine; ouai c'est ça. son regard moins assuré. Mince mais zut.
eden - Avec des réparations même que de "toile froissées", comment j'vais payer le loyer ? matthew - c'est bon t'inquiètes je vais payer...arrêtes de te mettre dans un état pareil .
J'aime voir les gens pleurer, mais là sérieux ça me fait suer. J'veux pas le foutre dans un état incontrôlé. Je le regarde tournoyer, mince il va finir par me donner la tête explosée. Du calme. Mais non bien trop survolté. Trop rapide. Gosses tangibles. Et puis sans m'y attendre, pas pire pour me surprendre. Ses lèvres recommencent, brutalité forcé. Baisé volé. Heu... puré c'est quoi son problème ? Lauhs sister a-t-elle raison ?
eden - Pardon je... J'voulais faire ça... Je matthew - Tu voulais ? Ah ouai carrément ?!!!
Je ris sans l'envoyer bouler, je ris pour arrêter de me sentir gêné. J'aime pas cette nuit, j'ai mal au bras. J'aime pas ce soir, j'ai la tête qui part en vrac. C'est quoi ces changements, c'est quoi mon comportement ?
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Syki Kumerlon
| Sujet: Re: Jeunesse déglinguée, vas tu enfin nous regarder entrain de crever ? Mar 4 Jan - 21:30 | |
| J'ai merdé. Non l'a vraiment j'ai pas assuré. Le p-tain de lapsus révélateur. Une connerie aussi énorme ça fait peur. J'ose pas le regarder. J'fixe un point loin derrière en cherchant un endroit ou me planquer
MATT - Tu voulais ? Ah ouai carrément ?!!! EDEN - PAS ! J'ai oublié le pas. J'suis un peu choqué par l'accident ça m'embrouille les idées. J'aurais pas du faire ça désolé. Pas la peine de me regarde comme ça, ok ?!!!! Et puis j'te dit que j'ai juste oublié un mot... Un tout petit pas, ça s'oublie d'un rien. Ça vous glisse pas hors des lèvres et vous le remarquez même. Hop il était rester coincé là : j'voulais pas faire ça. J'voulais pas faire ça. j'voulais pas faire ça. J'voulais pas faire çaaaaa.
J'le vois sourire je me sens griller. J'suis mis à mort, mis à nue c'est trop tard il m'a capté. J'observe de tout côté. Il n'y a t-il aucun trou de souris pour m'y dissimuler ? Mourir de honte en paix ? Apparemment non la malédiction Laush est toujours activée. Et puis alors mon regard se pose sur lui. Je le détaille et je sais que je trahie mon envie. Alors mon corps bouge tout seul. Je l'attrape à la nuque et l'embrasse, découpez vite mon linceul. Je me recule horrifié. Mon cerveau n'aurait-il pas à l'impact un peu grillé ? Il se serrait pas débranché ?
EDEN - J'VOULAIS PAS FAIRE ÇA !
Demi tour droite je me précipite dans l'habitacle. Installé sur la banquette arrière à cause de l'airbag j'crois qu'on est là en plein dêblacle. |
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Invité
| Sujet: Re: Jeunesse déglinguée, vas tu enfin nous regarder entrain de crever ? Mar 4 Jan - 21:41 | |
| eden - PAS ! J'ai oublié le pas. J'suis un peu choqué par l'accident ça m'embrouille les idées. J'aurais pas du faire ça désolé. Pas la peine de me regarde comme ça, ok ?!!!! Et puis j'te dit que j'ai juste oublié un mot... Un tout petit pas, ça s'oublie d'un rien. Ça vous glisse pas hors des lèvres et vous le remarquez même. Hop il était rester coincé là : j'voulais pas faire ça. J'voulais pas faire ça. j'voulais pas faire ça. J'voulais pas faire çaaaaa. matthew - C'est bon t'énerves pas j'ai compris duchmole. Arrêtes de t'exciter ainsi.
Je ris. Non mais il est pas crédible. Avec son air imbécile, avec sa gêne indescriptible. Moi il me fait marrer. On appel ça un lapsus révélateur. Enfin quoi voila qu'il s'entête dans son rôle de menteur. Regardant partout sauf ma bouche tirée d'un sourire amusé. Moi je l'observe, ses cheveux pas coiffés, ses joues pas séchées, son air encore effrayer. Puis ses lèvres boudeuses. Non c'est sur il ne voulait pas; il a juste oublié le pas, et que ses pensées m'avaient en continuité. Un regard, et espace. Puis plus rien encore ses lèvres contre les miennes. La aussi il veut pas?! Quoi c'est moi qui l'oblige c'est ça? alors pourquoi j'ai sans mains dans ma nuque, alors pourquoi c'est comme ça qu'il me reluque ?
eden - J'VOULAIS PAS FAIRE ÇA !
J'explose de rire. Il ne voulait pas. Attend c'est moi qui suis censé pas vouloir de toi ?!!! Il tourne les talons, s'enfonce à l'arrière de ce truc qui n'ira pas bien loin. Je ris. Amusé, hilare. Je rentre dans l'habitacle. Le poussant plus loin d'un coup de hanche, pour pouvoir m'assoir moi aussi. Je ferme la porte un instant.
matthew - Fais gaffes hein ! Tu sais ton corps obéis plus à tes pensées, même quand tu veux pas il fais ce que bon lui semble, dingue hein ?!!! ... Alors comme ça t'es amoureux de moi depuis tout petit ?!!!
Au début je ris, puis je laisse le silence s'installer et la pof je balance la phrase pleine de débilité. Mais qui a dit que j'étais plein de subtilité?
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Syki Kumerlon
| Sujet: Re: Jeunesse déglinguée, vas tu enfin nous regarder entrain de crever ? Mar 4 Jan - 21:53 | |
| Il me pouse et moi j'suis tellement pire que paniqué. Mon coeur va imploser. J'me sens petite souris traquée. Son hilarité. Ma stupidité. Faites que demain il est tout oublié. Fait que demain, aujourd'hui ne se conjugue même pas au passé. Juste au temps du jamais-existé.
MATT - Fais gaffes hein ! Tu sais ton corps obéis plus à tes pensées, même quand tu veux pas il fais ce que bon lui semble, dingue hein ?!!! ... Alors comme ça t'es amoureux de moi depuis tout petit ?!!! EDEN - Je sais pas, ça doit être un contre coup du choc...
Oui je m'entête, oui j'veux pas avoir l'air si bête. Reconnaitre que l'envie est pire que présente ? Avouer que l'embrasser n'est jamais une idée aux abonnées absentes ?! Bordel achevez moi... Qui a pus lui avouez ça. Je me cache la tête dans les mains les joues brulantes. Si je découvre qui sais je jure de lui faire subir une mort très lente. Mon coeur a implosé. J'vais finir en arrêt cardiaque sur les pavés.
EDEN - Je........ Qui t'a dis ça ?!!! Mattty... Matt... Matthew... Wolden. C'est l'mieux ça oui oui. Je ne t'aime pas depuis tout petit. Jamais de la vie. Et puisqu'est c'que ça peux bien te faire ?
Je me met le corps de profile et lui fait face. Moment décisif pour perdre de mon esprit toute trace. Mieux vaut devenir fou. Au moins j'éviterai de l'entendre mourir rire en pensant à un nous...
EDEN - J'vais me rentrer à pied hein héhé. |
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| Sujet: Re: Jeunesse déglinguée, vas tu enfin nous regarder entrain de crever ? | |
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