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| Jeunesse déglinguée, vas tu enfin nous regarder entrain de crever ? | |
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Auteur | Message |
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Invité
| Sujet: Re: Jeunesse déglinguée, vas tu enfin nous regarder entrain de crever ? Mar 4 Jan - 22:04 | |
| Je le regarde avec un sourire sur de moi. Non ok c'est que je devrais pas. Rien à y faire, maintenant que j'ai le cerveau pu embrumer, maintenant que la drogue à cessé de m'exploser. Et ba je me rappelle clairement le petit tête à tête avec sa soeurette. Il se cache la tête, je souris, je me calme.
eden - Je sais pas, ça doit être un contre coup du choc... Je........ Qui t'a dis ça ?!!! Mattty... Matt... Matthew... Wolden. C'est l'mieux ça oui oui. Je ne t'aime pas depuis tout petit. Jamais de la vie. Et puisqu'est c'que ça peux bien te faire ? matthew - donc tu nies !
Pas une question. Moi je souris tel un c**, j'y peux rien depuis son accident il a disparut mon air grognon. Il me fixe, il panique. Dois-je toujorus tout dominer pour pouvoir jubiler ? Même jusqu'à ses pensées ?!
eden - J'vais me rentrer à pied hein héhé.
Hein ? A pied ? Il est taré, après m'avoir insulté, il veut finir mort sur le trottoir gelé. Je vous jure parfois je me dis qu'il est un pire taré. Je le fixe sérieux avant d'exploser de rire. Non mais il va pas bien, genre il va rentrer à pied.
matthew - mais t'as perdu tes neurones dans le choc ou quoi ?! Dors à la maison tu vas te congeler sinon...et puis sois heureux tu pourras encore plus me mater.
Bon parfois je devrais apprendre à me taire, mais nan excusez moi rien à y faire. Et puis un Matty tout gentil, ce serrait plus le même matty. Je m'étire en riant, avant de regarder vers lui. Alors comme ça c'est faux?!
matthew - Donc c'est faux ? Pourtant Col...Co...ta soeurette chérie quoi, c'est elle qui m'a tout transmit... Elle aurait donc menti... pourtant elle avait plutôt l'air énervé que je te fasse ainsi tournoyer. Et...si je te disais que moi aussi...tu m'avouerais la vérité ?!
Que moi aussi quoi ? Mais son choc vient d'arriver à mon cerveau. Non mais quoi ? Depuis quand est-ce que je dis des trucs aussi débile. Et puis que...Mince. Je m'en fiche. Et puis zut, y'a personne a part lui. Au pire si ça finit mal je pourrais dire qu'il était totalement défoncé. Et qu'il a tout inventé.
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Syki Kumerlon
| Sujet: Re: Jeunesse déglinguée, vas tu enfin nous regarder entrain de crever ? Mar 4 Jan - 22:20 | |
| MATT - donc tu nies ! EDEN - non non...
Il rigole. Bon dieu jamais tu l'débranche ce mogol ? Sin hilarité j'arrive pas à c'qu'elle me tape sur le système. J'me sens juste avec en travers de la gorge un je t'aime.
Eden - J'vais me rentrer à pied hein héhé. Matthew - mais t'as perdu tes neurones dans le choc ou quoi ?! Dors à la maison tu vas te congeler sinon...et puis sois heureux tu pourras encore plus me mater. Eden - Y'a rien à mater. Mais pour dormir chez toi, j'vais pas te déranger ? J'veux pas m'imposer tu sais franchement j'pense que j'peux rentrer à pieds.
J'attend ça réponse mais il semble préoccupé par d'autre pensées. Pas le temps sur leurs contenus de m'interroger. Il me le fait partager.
Matthew - Donc c'est faux ? Pourtant Col...Co...ta soeurette chérie quoi, c'est elle qui m'a tout transmit... Elle aurait donc menti... pourtant elle avait plutôt l'air énervé que je te fasse ainsi tournoyer. Et...si je te disais que moi aussi...tu m'avouerais la vérité ?!
J'avale de travers manquant de m'étouffer. Mais veux-il vraiment me faire crever ? Qu'il continue c'est la crise cardiaque assurée. Ma gène, ma surprise, étendue sur mes joues en un voila rouge timidité. Qu'est qu'il raconte cet abrutie ? Attendez c'est.... C'est Colum' qui lui a dit la vérité ? Trahi par ma propre soeur qu'elle infamie !
Eden - J'vais la tuer... Bordel pourquoi elle a été te raconter ça.... Tue moi au lieu de te moquer d'moi... T'en à d'autre qui t'aime alors juste s'il te plait t'acharne pas.
Je lui fait un sourire angoissé, suppliant pour juste une once de pitié. J'irais torturer ma soeur dès que j'serais rentré. |
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Invité
| Sujet: Re: Jeunesse déglinguée, vas tu enfin nous regarder entrain de crever ? Mar 4 Jan - 22:31 | |
| eden - Y'a rien à mater. Mais pour dormir chez toi, j'vais pas te déranger ? J'veux pas m'imposer tu sais franchement j'pense que j'peux rentrer à pieds.
J'entends mais je réponds pas. Comment ça rien à mater? Sérieux si tu pouvais tu te retiendrais pas de te jeter. Non Matt' calmes toi un peu. Pas de ma faute si ce débile veut se tuer au lieux de me déranger. Non mais sérieux, je lui propose un toit et lui il préfère rester en bas. Débile enfant, comme si je proposais ça sournoisement. C'est pas vrai. Et voila son visage qui va finir ma bouillir, vous croyez qu'on peut attraper un chaud/froid par timidité. Non mais parce que vu la température extérieur et celle qui semble irradier ses joues...Nan c'est méchant de penser ça mais je trouve ça si mignon.
eden - J'vais la tuer... Bordel pourquoi elle a été te raconter ça.... Tue moi au lieu de te moquer d'moi... T'en à d'autre qui t'aime alors juste s'il te plait t'acharne pas.
Sourire angoissé, air prit de pitié. Mince j'suis tant le diable qui le fait trembler. Arrêt sur image. J'sui à ce point le camer, immonde que le tout le monde souhaite clamer. Moi qui voulait m'amuser, moi qui voulait l'envoyer balader. J'arrive pas à sortir un seul mot imaginé. Pfff tout ces années à l'éviter, à m'éloigner et ne pas le croiser. Bâtard t'as réussit ton coup tu m'as foutu P.D ?
matthew - aucune idée elle voulait un thé et des biscuits et aussi me remettre les pendules à l'heure je crois... pfff t'es pas amusant, justement les autres j'me suis tellement acharné que je les au tous terrorisé... mais nan j'vais pas te tuer.
ça ressemble à rien ce que je dis. Pourquoi j'ai l'impression de voir cela en moins grosse catastrophe que lui ? Moi je parle comme si c'était drôle et débile, comme si on n'avait pas besoin d'en faire toute une pile.
matthew - et puis ça serrait par fairplay...tout ces années à te garder éloigné...et t'a finalement réussit à t'incruster. Nan t'es bien malin je t'aime bien.
MATTHEW ta gueule ! Non mais c'est quoi ces paroles d'aliéné. Non mais bientôt je vais lui dire que limite je le fuyais, j'vais avouer que j'étais pas vraiment aisé avec lui à mes côtés, sentiments égaré pensées barricadées. Wolden tu files un mauvais coton.
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Syki Kumerlon
| Sujet: Re: Jeunesse déglinguée, vas tu enfin nous regarder entrain de crever ? Mer 5 Jan - 13:46 | |
| Matthew - aucune idée elle voulait un thé et des biscuits et aussi me remettre les pendules à l'heure je crois... pfff t'es pas amusant, justement les autres j'me suis tellement acharné que je les au tous terrorisé... mais nan j'vais pas te tuer. et puis ça serrait par fairplay...tout ces années à te garder éloigné...et t'a finalement réussit à t'incruster. Nan t'es bien malin je t'aime bien.
Il dédramatise tellement tous ça. De l'importance est c'que ça en a ? Je ne sais pas comment aborder tout ça. J'essai de m calmer. De réfléchir de façon poser. Être résonner. Qu'est ce que j'ai en tête. Concentre toi évite donc l'aire bête. L'embrasser. Le câliner. Rester contre lui et me sentir exister. Tout avouer. Je ne fait qu'hésiter. Je ne sais pas sur quel pied danser. Qu'est qu'il lui prend de balancer ça sans sourciller ? Sincérité ? Lui qui m'a tant d'année évité... Pourtant son regard.... Il a l'aire hilare. Mais pas franchement méchamment. Il a plutôt l'air... J'sais pas la tête dans les aires. Il me ment ? Pourquoi ferait-il ça maintenant ? Autant m'envoyer chier en se moquant. J'm'avance vers lui. Je recule je tangue dans mes envies.
Eden - J'ai réussi à m'incruster ? Explique moi comment j'ai fait toi qui m'a fuis pendant t'en d'année. Pourquoi est c'que je te croirai ? Tu es connu pour mentir pire qu'un arracheur de dent... Et puis on est plus des enfants. Qui te dit que mon désir n'a disparue, changer avec le temps ? Tu sais moi aussi tu m'a longtemps terrorisé, mais d'un connais j'était fasciné. Pas par ta supériorité, c'est ta solitude qui m'attiré. J'pensais qu'on était un peu pareille. Qu'on était pas née au bonne endroit... Et puis tu avais cette bouille, ses lèvres... ses yeux...
C'est vrais qu'une fois qu'on a commencer. Ça libère de dire la vérité. On a l'air quand même très con dans sur cette banquette de voitures à -15 degrés. Enfin c'est comme ça on a toujours été compliqués. |
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Invité
| Sujet: Re: Jeunesse déglinguée, vas tu enfin nous regarder entrain de crever ? Mer 5 Jan - 18:42 | |
| Au jeu du plus c** qui est-ce qui gagne ? Au jeu du plus mignon je le pointe du doigt sans hésitation. H2sitation, questionnement à quoi ça rime? Qu'est-ce qui se trame ?
eden - J'ai réussi à m'incruster ? Explique moi comment j'ai fait toi qui m'a fuis pendant t'en d'année. Pourquoi est c'que je te croirai ? Tu es connu pour mentir pire qu'un arracheur de dent... Et puis on est plus des enfants. Qui te dit que mon désir n'a disparue, changer avec le temps ? Tu sais moi aussi tu m'a longtemps terrorisé, mais d'un connais j'était fasciné. Pas par ta supériorité, c'est ta solitude qui m'attiré. J'pensais qu'on était un peu pareille. Qu'on était pas née au bonne endroit... Et puis tu avais cette bouille, ses lèvres... ses yeux...
Je le regarde avec un sourire, approches? Non? Oui? Non! Je suis si bon acteur ? Faut croire pour avoir briser autant de coeur. Le tiens serrait-il une erreur ? Arnacoeur ?!! Arnatueur ?! Je souris toujours autant. Matt' pourquoi d'un coup tu perds ton tempérament ?! Je l'enjambe doucement, venant m'assoir sur ses genoux, à califourchon grattant mon menton. J'suis c**; ce soir profites mon esprit est en fuite. J'fone à la catastrophe la franchise n'a jamais été chez moi synonyme de réussite. Tant pis.
matthew - Tu veux savoir pourquoi ? Tu veux savoir ce que tu as fait ?!! Tu es nul, tu es un abrutit, un garçon c** finit. Parce que...tu sais je ne t'aime pas tu fais apparaître un truc bizarre dans mon ventre, un sentiment de faiblesse...j'aime pas ça. Il parait que d'autre oui mais moi nan...
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Syki Kumerlon
| Sujet: Re: Jeunesse déglinguée, vas tu enfin nous regarder entrain de crever ? Mer 5 Jan - 23:10 | |
| Je ne suis pas si déjanté. J'veux pas combattre le monde entier. Suis-je donc si compliqué ? La partie ne me semble vraiment pas gagnée. J'le vois bouger. Mon dieu mon coeur va éclater. Qu'est c'qu'il fait soudain sur mes genoux installé ?!! Il veux m'étrangler ? Je remarque un sourire de doux détraqué. Il ne semble pas plus persuadé.
Matthew - Tu veux savoir pourquoi ? Tu veux savoir ce que tu as fait ?!! Tu es nul, tu es un abrutit, un garçon c** finit. Parce que...tu sais je ne t'aime pas tu fais apparaître un truc bizarre dans mon ventre, un sentiment de faiblesse...j'aime pas ça. Il parait que d'autre oui mais moi nan...
Là c'est moi qui souris. Il me rappel soudain cet enfant qui m'avais tant plus. Cette farouche petite souris. Mal-habillée et trainant les rues. Il était déjà si têtu. Il ne voulait rien entendre. Refuser le moindre geste tendre. Ce qui le rendait encore plus attachant. Boudeur mal-mené pauvre petit enfant. Mais rien ne ressemble plus à avant. On a déjà perdue tellement de temps. J'ai peur j'me suis jamais sentie l'âme d'un bagarreur.
Eden - Tu n'aimes jamais ça ? Pourtant à couché à droite à gauche, le trouble tu le cherches, tu l'aimes forcément un peu. Et si je fait ça...
Profitant de sa proximité je lui voler un baiser plus doux que tout à l'heure. Nos lèvres qui s'entrechoquent dans un baiser que je remplie de sensualité. Je le sens ce truc qui dans mon ventre fait que bruler. Enflammer.
Eden - Tu n'aimes toujours pas, même un peu cette sensation ? |
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Invité
| Sujet: Re: Jeunesse déglinguée, vas tu enfin nous regarder entrain de crever ? Mer 5 Jan - 23:26 | |
| Il sourit, je soupire. Bien assis, ainsi je peut le voir rire. Il me fixe. Petit, à ce jeu je vais pas détourner les yeux. Pas gêné, ne va pas croire que tu as l'avantage sur moi ? Non même pas en rêve je ne m'abaisserais pas. Et puis quoi ? Parce que j'avoue que ce débile arrive à me faire ressentir quelque chose, c'est un honneur? Oui bon d'accord il doit être la seule personne à pouvoir s'en vanter, sauf une ex qui m'avait offert une sublime nuit; mais lui c'est pas physique. Lui c'est un c** car il m'a eut petit garçon.
eden - Tu n'aimes jamais ça ? Pourtant à couché à droite à gauche, le trouble tu le cherches, tu l'aimes forcément un peu. Et si je fait ça... matthew - nan jamais. je ...
pas le temps de finir, ses lèvres sur les miennes sont déjà dessus. Bref instant où je suis absent. Bref moment où je pers l'entendement. Petit papillon débile dans le bas du ventre. Si je revois sa sœur je l'explose. Non mais de quoi elle a eut l'idée de me demander si quand je le voyais il y avait pas des sorte de papillon dans le creux de mon ventre. Mais c'est puéril, c'est débile. C'est une idée de file et j'y pense maintenant. Matthew abrutit. Je garde mes mains sur mes cuisses, de toute manière avec une plâtrée...
eden - Tu n'aimes toujours pas, même un peu cette sensation ? matthew - non j'aime pas du tout. Enfin fais voir j'veux réessayer...
Moi buté ? Jamais de la vie, disons juste que j'aime bien m'arrêter à mes idées. Rien de bien dramatique. Si ? Je me repenche vers lui, attrait des lèvres, envie de plus qu'une simple trêve. Retrouvant ce contact qui depuis quelques minutes est devenu un peu régulier. Je profite de ses lèvres brulante malgré la chaleur frigorifiante. Je m'écarte.
matthew - bon alors...juste un peu.
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Syki Kumerlon
| Sujet: Re: Jeunesse déglinguée, vas tu enfin nous regarder entrain de crever ? Jeu 6 Jan - 20:14 | |
| Il semble troubler, incertain de la réaction à adopter. Nos lèvres se sont retrouvés. Lui aussi cette sensation le fait-elle s'envoler ? Douter ne suis bon moi aussi qu'à ça ? Nos vies sont pour le moment en pose pourquoi on en profiterai pas ? Lui même joue en parlant de retenter, comme si ses lèvres n'avait pas encore assimiler la sensation des miennes. Moi je commence à la connaitre par coeur, l'ivresse que crée les tiennes. Retours de la douceur, retours du vertige rien que part notre proximité. C'est ce genre de chose seul qui me donne envie de prier. De vouer un culte non pas à s'barbue mais à ses si beaux yeux. Cérémonie pour un dieu bien capricieux. Je retourne donc l'embrasser. S'embraser. Il fait tellement froid dehors... Se privait de ce délicieuse plaisir serait un grand tord. Je frissonne en me collant un peu plus dans sa chaleur. J'ai plus peur. Je ne sais pas pourquoi mais une bulle viens de nous enfermer dans un monde sans heures. Je veux croire que sa sincérité n'est pas un leurre
Eden - On rentre ? J'ai vraiment froid et toi aussi tu dois avoir froid juste un p'tit pull.
Ceci dit j'ouvre la portière et le laisse sortir le premier. le vent glacé ne tarde pas à venir s'engouffrer. Je suis donc rapidement Matt, essayant de ne pas penser au réparateur que demain matin il me faudra appeler. Me retournant pour rejoindre Matt, je remarque la présence d'un jeune homme. Il semble là depuis un moment car de la neige couvre ses épaules.
Eden - Matt tu le connais ? Inconnue - Toi ! Je te reconnais. Tu es un guerrier du mal qui essai de détruire notre prophète. Tu mérites la mort, et l'homme qui t'accompagne aussi.
C'est une blague ? Il n'est pas sérieux ?! Le voyant fouillé dans sa poche avec fébrilité. J'attrape la main de Matt voulant reculer, m'éloigner. Mais je ne fait que trembler. Il sort une arme. Un flingue mon dieu il vient de sortir un flingue ce n'est pas réelle ! La bulle viens d'éclater. Un premier coup de feu est tirer. J'ai soudain mal à l'estomac. C'est moi ou il fait encore plus froid ? |
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Invité
| Sujet: Re: Jeunesse déglinguée, vas tu enfin nous regarder entrain de crever ? Ven 7 Jan - 18:31 | |
| eden - On rentre ? J'ai vraiment froid et toi aussi tu dois avoir froid juste un p'tit pull.
Sourire amusé. Oui c'est vrai que moi aussi je suis gelé. Alors je proteste pas, je le laisse retourner vers la portière, retournant sur le siège avant de le suivre sous la neige. Il fait froid, j'ai jamais vraiment aimé ce blanc qui tombe du ciel. Ce froid méchant qui vos gerce les lèvres. Mais pourtant à ce moment je m'en contre fou. Et je me dis que la drogue doit toujorus être présente. Parce que ressentir ça, lui avoue tout ça. Nan je suis défoncé, ce truc au cœur ne peut pas vraiment me toucher. Je l'attrape par la main, avant qu'il s'éloigne de trop, juste pour sortir moi aussi n'y voyez pas là un symbole autre pour lui tenir la main.
eden - Matt tu le connais ? Inconnue - Toi ! Je te reconnais. Tu es un guerrier du mal qui essai de détruire notre prophète. Tu mérites la mort, et l'homme qui t'accompagne aussi.
Je fronce un sourcil, rejoignant Eden debout sur la chaussé. Je regarde ce mec. Nan je ne le connait... Détonation, mon regard qui comprend l'altercation. Arme pointé en notre direction; brutal information. Eden. La vérité monte bien trop doucement à ma tête, mon regard se tournant brutalement vers son visage, son doit rechargant ce truc immonde. Un pas sur le côté, non juste le caché de sa proximité. Mon regard baissé. Troué, blessé.
matthew - Eden... Rentres à l'int...
Deux coups bruyant dans mon dos. Non mais il a visé comment?! Sursaut dans ma poitrine, douleur dans ma dos pas si anodine. Hoquet, odeur de métal entre mes lèvres. Je recrache l'air, et dans la salive, tachant la neige d'un liquide rouge. Il tombe, je le rejoins sur les genoux; la neige glaçant mon dos, normalement ça devrait être mes genoux ? Pourquoi c'est alors autour de mon cou ? Des pas, un contre sens; détonations...Tâches sombres sur sa poitrine, soubresaut au fond de mon corps. Je sens plus mes jambes, Il fait froid, et mon corps refuse de reprendre. Et ses coups qui se répercutent à l'infini, détonations qui résonnent comme une abnégation. Qu'est-ce qui m'arrive ? Qui est se fout qui se permet d'entrée dans ma vie et qui m'en prive. Eden.
Inconnu - Au revoir esprits maléfiques.
Je sens des coups dans ma poitrine, boum ça me tord les tripes, baaam je sens plus mon dos, bouum, douleur irradiante, baam Eden tu es où ? Boum, tout près, ta main, ton corps. Baam. Et ce rouge partout. Boum. Ne me dites pas que c'est vrai ? Baam. C'est pas possible je peux pas finir ainsi. Respirations, aller avancer, essayer de le ramener près de moi. Eden t'es froid !Boum. Eden j'ai froid. Spasmes incontrôlées, mains tremblantes douleurs éhontée. Dites moi que je suis entrain de rêver ! Baam. Eden. MA voix reste coincé dans un murmure. Je grimace, j'ai mal, et ça fait mal. Parce que je vois tout ce liquide autour de lui. Et je sens comme une tragique vérité tout au fond s'élever. Boum.
matthew - Eden... eden - j'ai froid. Ma..Matty, excuses moi... j'ai...j'ai matthew - Tais toi... non..parles
Un bruit de pas avancé, une hésitations. Il va encore tirer ? J'sens déjà plus rien surtout qu'il soit pas gêné, tout mais pas son corps à lui. Baam. J'ai mal. Des pas qui reculent, et le silence qui s'accumule. Mes doigts se referment enfin sur quelque chose. Son bras. Tirer, je me sens presque avancer. Un bruits immonde répond à mon appel. Plus capable de parler ? Mes yeux brouillé, voit son image flouté. Boum. Je descends mes doigts, cherchant les siens avec urgence. Eden, donnes moi la main. Eden relève toi reprend ton chemin. Allez dégages retourne chez toi, reprend ta caisse sauvez toi p*tain. C'est quoi cette histoire de prophète ? J'ai mal, j'ai froid. Et la neige rentre en moi. Je sais pas elle se glisse dans mon estomac. Baam.
matthew - Ed..Eden ? c'est qu... je...
Ce quoi cette merde ? Je m'excuse? Je t'aime ? Je veux pas mourir ?! Je ...sens mes mots bloqué, ma respiration hachurée. Et les coups dans mon corps s'éloigner, s'espacer. Quel est la cause de ces battements ? Battements. Boum. J'ai froid.
matthew - Eden..j'sens pl... je..mes mains.
Eden j'peux plus parler. Eden j'arrive plus à rien voir. Eden pourquoi je t'entends plus parler. Pourquoi tes yeux ont cessé de bouger ? Pourquoi je me sens sombrer ?! On est pourtant pas grands, j'comprend pas on a encore du temps ! Baam Hé le dealer, s'il te plait fait moi peur! Dit moi que j'suis qu'un c*nnard. Dis moi que j'suis égoïste. Essaye de m'embrasser. Embrasses moi... allez je te le demande pour la dernière fois. EMBRASSES - MOI ! Pourquoi tu répond pas ?! Le temps est long, et je sens plus rien. Je serre la main, enfin est-ce que je sers vraiment ?! Boum. Tes doigts sont-ils encore dans les miens ? J'arrive plus à bouger, les flocons me laissent de marbre. Je sens plus le froid, et j'ai juste comme vue ton corps vidé avec effrois. T'avais fait quoi ? Pourquoi il était là ? J'ai plus mal. Et toi t'es plus là ?! Embrasses moi pour la dernière fois. Plus beaucoup de coups, c'est bon il est partit ? Il a prit ses jambes à son coup ? Eden, pourquoi plus ça s'espace plus je m'éloigne ? Pourquoi les battements cessent peu à peu ?! Pourquoi ce soir ? C'est moi en te disant ça que nous ai tué ? Pourquoi je sens mes yeux trempé, ce sont mes dents qui font se bruits à m'effrayer ? Et ce silence ! Baam
inconnu - c'est quoi ce bord... MATT !!!
Un cris ignoble qui résonne. Et pourtant je me sens... loin. Loin. Eden t'es plus là. Eden je sens plus rien près de moi. T'es où ? Tu m'attends ? Pourquoi alors que je crève j'me sens si faible ? J'avais tout fais pour pas mourir seul. Tu m'abandonne ? Tes yeux n'ont toujours pas bouger. Un truc bizarre me fait sursauter, un bruit ignoble, un gargouillis d'eau abject. Eden, je veux te parler. C'était ma voix ce truc éraillé ? J'veux...respirer. Je crache le truc qui m'empêche d'inspirer. Trop de liquide. Boum. Trop éloigné, j'comprend que ce bruit c'est mon cœur abimé. T'as raison Eden, emmène le avec toi. Finalement tu me l'as volé, mais quitte à le prendre attends moi. On le prend à deux, on part vers les cieux ?! Tu crois qu'on sera heureux ? Il est ...Baam... grands temps. Juste tout les deux. Je veux plus bouger les yeux; parce que tout deviens noirs et moi je veux juste ton regard. Juste... toi...juste... Et si j'avais ...encore une voix j'aurais enfin réussis...Eden...te dire...je t'aime...Si j'avais pas...ces trous...si ...Je peux plus bouger les yeux; parce que tout deviens noirs et moi je veux juste ton regard. Juste... toi...juste...tout les deux... Comme nos regards...avant...à l'Eglise...dans un autre temps. T'entends ? Plus rien ? Plus de coups, plus rien du tout... Plus de battement...et le dernier...je te l'offre... de tout manière j'ai plus rien à te refuser. De toute façon t'es le seul à qui j'ai tout sacrifier... de toute manière... Baam... On vient de tout les deux de se faire tuer.
Jeunesse déglinguée, tu nous a finalement regarder entrain de crever !
[HAPPY] END
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