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| Sujet: ADMIN - MATT ☂ J'ai des bleus au coeur et ça ne s'en va pas. Jeu 11 Nov - 21:57 | |
| SYLVESTER ULV PAR TUMBLR
Matthew Wolden Matty' ♦ 19 lavements d'estomacs ♦ hétérosexuel enfin... ♦ vodka .Mais du moment que ça se boit.. ♦ tatouage sur la hanche gauche, une phrases française, personne comprend l'écriture. Je suis suédois d'origine et oui et oui. Ha et pour la question culte, oui je suis plus vierge, non je suis pas en couple. Moi? En couple? Ne rêve pas je suis parait-il un don Juan des temps modern. Je suis hétérosexuel, enfin non disons que pour moi lorsque l'on aime on se fiche du sexe; mais pour le moment cela m'ai jamais arrivé alors les filles sont mas distraction sexuelle. J'aime la drogue, et le sexe. J'aime qu'on me regarde et qu'on m'admire. Je sais bien qu'à Bristol je suis sur toute les lèvres, je le veux. J'aime qu'on m'adule. J'aime les bonbons à la menthe et jeter les filles après un orgasme. J'adore les lasagnes et les cigarettes d'après l'acte. Je n'aime pas les cours, j'aime pas les gens aussi. Je crois que j'aime la mode; mais je déteste les filles sentimentales. J'aime me prendre la tête pour rien; mais je n'aime pas les sentiments. Ha oui j'oubliais, j'aime que les choses ne soient pas à leur place et qu'elles n'ai aucun sens lorsqu'elles sont ensembles.
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| ♦ nevada ♦ 17 yo ♦ every day sauf jours de fête haha ♦ on va tous faire pêter, non ?!!! (; | |
Dernière édition par Matthew Wolden le Jeu 11 Nov - 21:59, édité 1 fois |
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| Sujet: Re: ADMIN - MATT ☂ J'ai des bleus au coeur et ça ne s'en va pas. Jeu 11 Nov - 21:58 | |
| All long the fucking life road.
« Tu n'es qu'une erreur de la nature...garde ça en tête petit impertinent. » C'est joli, c'est clinquant, ça fait du bruit et ça remet les neurones en place. Oui ma mère à toujours fait preuve de beaucoup de tact et de poésie pour me dire se qu'il en était. Bon à huit ans j'avais depuis longtemps compris que les enfants chez nous c'était pas comme chez les Duran, les Dupont, les Smith ou tous les autres voisins. Nous étions unique. Car nous étions pas attendu ou idolâtré de nos parents, on était chiant, brailleur, collant et couteux. On était souvent des erreurs d'un soir, les fruits d'ébats trop peu contrôlé. Mais ne vous apitoyé pas sur mon sort, je me suis très bien sortit seul. Seul. Oui car chez nous il n'y a justement pas de nous. Je devrais donc dire dans la famille Wolden, ou même dans la maison Wolden, la où la marmaille habite en colocation plus qu'autre chose. Donc j'ai grandis seul. J'avoues, sans vouloir m'apitoyer sur moi-même que cela a été dur. Mais j'ai toujours été du genre pas timide du tout. J'allais pas vers les autres, c'était les autres qui venaient. Alors j'ai jamais été vraiment seul. J'avais des copains à l'école. J'avais de chouette connaissance plus vieille que moi. qui faisaient les rebelles, qui fumaient et buvaient en crachant par terre. Et moi je les admirais, pourtant eux c'était limite si ils me respectaient pas autant qu'un des leurs.
Donc j'ai grandis. J'ai commencé à sortir de temps en temps. J'aimais bien que les autres me voient comme un garçon précoce. J'ignorais se que voulait dire ce mot mais mes amis lycéen le disaient. Moi j'étais encore au collège. En faite j'avais réussis à ne pas obtenir les ricanements de mes camarades. Venant d'une famille nombreuses j'aurais pu les avoir sur le dos. Mais non, j'étais drôle, et surtout je savais me défendre. En plus on avait de l'argent, enfin mes parents n'étaient pas radins sur l'argent de poche donc ça ma permit de tenir un peu. Je jouais les rebelle, les enfants aimaient mon coté "j'm'en fou". Et oui Lord Matthew était vraiment bien. En plus je fumais. Et oui là c'était la grande classe auprès des midinettes de mon âge. J'étais un garçon qui fumait sans tousser. Alors évidement ça ma donné des privilèges. Comme par exemple choper de Anne-Ma' (Anne-Marie) dans les toilettes, des Malo (Malorie) dans les escaliers. Désolé ma vulgarité passagère mais je me faisais sucer dans les toilettes à l'âge ou certains embrassent tous juste leur première fille. Désolé les gars, je vous l'ai dis j'étais précoces. J'ai grandis peu à peu ça oui. Evidement que j'ai grandis. J'ai commencé à prendre du schit, et je me suis payé des prostituées à 16 ans. J'aime le travail bien fait je n'y peux rien. Nan je ne suis pas un méchant garçons. En faite je ne brise pas vraiment des cœurs intentionnellement. Du moins je le pensais.
« Pourquoi tu fais ça? Tu es si impuissant que ça pour devoir traiter les gens ainsi. Tu as besoin de voir toutes les filles souffrants à tes pieds pour te faire bander? » Déjà je n'aimais pas sa vulgarité. Mais en plus je n'aimais pas sa clairvoyance idiote. Oui j'avais besoin de voir les gens sous mon contrôle pour jouir de ce contrôle et alors? Qui était-elle du haut de son mètre soixante-dix, ses vingt centimètre de talons et son string en dentelle pour me dire cela? Je l'ai mise sur mon palier. Quoi je ne suis pas un salaud et elle me dessinait pourtant ce tableau. Je ne baise pas comme dise les autres. Je fais l'amour moi monsieur. Oui je me fais l'amour à moi même car j'adore voir les sentiments des autres. Je ne veux pas que l'on m'aime. Je ne veux pas de vos sentiments. Où si vraiment vous voulez me les donner et bien ne venez pas pleurez. Ne venez pas pleurer lorsque je les piétinerais, que je vous ferais tomber de haut. Car vous tomberez de haut avec moi, et je rirais de vos larmes. Je me ris du chagrin lorsque je le cause. Alors cette petite idiote qui me disait ça, d'où elle sortait pour me balancer cela? Alors je l'ai oublié car elle ne m'apportait rien. Moi c'est moi qui contrôle mon image. Depuis toujours je suis le petit drôle, celui qui mène les gens du bout de sa baguette, de sa braguette vous dites? Allez vous faire voir. Les gens rient de moi, cela ne me fait ni chaud ni froid, ils rient d'humour, ils ne se moquent pas soyez en sûr. Mais ils ne voient même pas lorsque je suis sérieux. Ils pensent justement que lorsque je suis le plus sérieux, je ris. Je pourrais leur annoncer mon envie de me suicider qu'ils riraient de ma blague. J'aime cela. Car au fond j'ai la trouille. Car au fond avec mon sale caractère, avec mon besoin de tous contrôler ces sentiments. Au fond j'ai peur qu'un jour je retrouve la solitude d'avant. Lorsque je n'étais rien d'autre qu'un gosse chouineur de plus. Non je ne veux pas cela, alors comment quelqu'un pourrait-il m'aimer moi-même? Non je préfère décider moi même de se que les gens doivent ressentir pour moi.
Ma vie sexuel est de loin mieux que la votre chère voisine. J'en suis ô combien navré mais c'est ainsi. En faite j'ai peu de vrais amis. quand j'étais petit déjà j'étais un peu tâche. Les enfants de mon âge se faisaient trainé à l'Eglise et moi j'arpentais les rues délabrées. J'ai quitté la Suède à trois ans. Je suis arrivé ici. Ho en parlant d'Eglise il m'en revient un souvenir amusant. Un jour j'étais rentré par hasard. J'avais un jeans sale, un tee-shirt dépravé et des chaussures cassées. Je voulais voir à quoi ressemblaient les gens à la messe. J'y suis aller, j'avais pitié des petits gens assis de force. J'ai alors croisé son regard. J'ai eu envie de le montrer du doigt en riant de lui, car il était drôle ainsi pas à l'aise. Ses parents le tenant limite en laisse. Oui j'ai voulus rire. Mais je l'ai pas fais, et je suis resté là à le regarder. Il s'appelait Eden. Enfin je dis s'appelait mais il n'est pas mort loin de là. c'est juste qu'avec le temps j'en oublis les gens. Eden, ça fait un peu biblique tous cela. Eden Lauhs. Finalement on a été amis. Il était plus petit que moi je m'amusais à lui apprendre des trucs. en grandissant on s'est perdu de vue. Maintenant je le croise à certaines soirée. Je sais pas si il sait encore qui je suis. S'en souvient-il? qu'importe je m'en fou... Enfin du moins je lui parle pas à ce mec. J'ai bien mieux à faire comme déhancher me corps quand je suis bourré, ou alors avoir des hallucinations. Ho oui malheureusement je crois en avoir eut une de lui un soir. Bref je vois pas pourquoi je vous parle de ça s'était qu'un rêve de mec qui a trop bu et qui pense qu'un autre mec vient l'embrasser. Je vois vraiment pas pourquoi je dis ça. On se ressemble pas. C'est pour ça qu'on est pas amis. Moi je suis plus proche des autres de ses potes, ceux qui se droguent, et qui sont plus extraverti. Oui j'ai plein de pote mademoiselle et encore plus de conquêtes féminines. Et je ne compte pas m'arrêter car au moins comme cela en faisant ça je sais que durant quelques instants les gens ne peuvent se passer de moi. Et étrangement on m'aime.
- Citation :
- Et tu verras on ira danser, on ira valser sur le Mont Olympe. On ira voir le soleil se coucher et se lever, je serais tiens tu sera mien. Car dans un rêve tout est possible. Profites, profites car au réveil ce ne sera pas moi, ce ne sera plus moi et tu sera plus tout à fait toi...
uc
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