CLYDE ∆ 20 YEARS OLD ∆ AMERICAINES ∆ BISEXUELLE ∆ ECRIVAIN & JUNKIE ∆ UN AMOUR MALADIF POUR LA SOUFFRANCE.
CLOSE YOUR EYES AND EASE YOUR TROUBLE MIND.
BOUYACHAKA. Je m'appelle Daphné et c'est globalement ce qu'il y a d'intéressant à savoir sur moi ♥ J'aime bien manger des biscuits en forme de dinosaures en buvant du jus de cactus, j'aime pas que les gens me plaignent parce que j'ai eu des problèmes familiaux, j'aime bien les chats mais ma maman est allergique, j'aime pas l'eau plate, j'aime bien le cinéma, je voudrais travailler dedans plus tard, j'aime pas le fait que j'ai gratté mes piqures de moustiques, mes jambes sont moches, j'aime bien le fait d'être fumeuse, j'aime pas le fait qu'on me dise d'arrêter, j'aime bien le coca, j'aime pas le lycée, j'aime bien écrire et parler à un café, j'aime pas les radis, j'aime les girafes et les pandas. Je suis végétarienne, mon film préféré est american beauty, j'ai vu tout les simpsons et je sais pas un mot d'espanol, contrairement à l'anglais. Et je vais vous dire un secret : j'ai rencontré un SDF un jour, il était plus heureux que toute ma ville réunie. c'était magique. je vis pour les instants, pas pour les choses durables. Vous savez que vous pourriez mourir demain ? Faites ce qui vous plait, pas ce qu'on vous dit.
Dernière édition par Bonnie N. Robinson le Mer 21 Sep - 14:45, édité 1 fois
Invité
Sujet: Re: MRS ROBINSON → ENFIN LIBRES D'ÊTRE LES MONSTRES QUE NOUS SOMMES Mar 20 Sep - 20:43
❝ On ne voit que ce que l'on veut voir. Un seul revers de la médaille. Avez vous déjà pensez à dire toute la vérité, rien que la vérité ? Je le jure. ❞ - bonnie n. robinson.
Je ne peux pas pleurer, j'ai jamais eu envie de rire de ma vie, même si parfois, l'hystérie me vient au coeur, les larmes aux yeux. Les gens ne comprennent pas qu'ils me donnent la gerbe, clairment. J'ai pas grandi trop vite, comme certains m'ont accusés, le monde est juste rempli d'attardés. En voyant cela, je vais fumer un pétard. Sans doute que ces quelques minutes entre les vapeurs de drogues seront meilleurs qu'une seule seconde passé avec un être abject. Que dis-je ? Je suis la plus abjecte de tous. Mais au moins, je le sais. Pire, j'en suis fière.
J'ai de la peine à respirer, j'ai chaud, je crache mes poumons sur le sol de la ruelle sombre, je me tiens les côtes. Les larmes ne me montent pas aux yeux, ces pseudos brutes me connaissent pas, elles ont lu quelques lignes d'un bouquin écrit par une adolescente droguée et énervée devant un miroir qui reflétait une société brisée. Ils ne savent rien de moi. Je me relève, du sang s'écoule de ma lèvre, me faisant gouter à ce goût si métallique qui ne me rendait que plus vivante. Je me mets à rire, entre les lampadaires défectueux, devant leur sottises. Les humains sont des bêtes, qu'ils me tuent, rien n'est plus important, j'ai commis un génocide morale de ma famille qui se voulait si parfaite, j'ai jeté mes tripes acerbes sur la société et la critique m'a encensée. Quoi de plus intéressant qu'une adolescente frustrée, qu'ils disaient. Des foutaises, moi je ne cherchais que la vérité, et elle les avait fait souffrir. Les hommes ne sont pas prêts à se confronter à eux-mêmes. « Quoi ? C'est tout ce que vous savez faire ? » les narguais-je. Mon corps se heurta au mur, me coupant brièvement ma respiration, alors que l'un des hommes me retenait, me regardant avec pitié. Comme si je pouvais en avoir besoin. C'était eux qui me rendaient désolés, pour la race humaine. « Tu te crois maline ? » Non, je le suis. C'est cela qu'ils ne saisissent pas, j'ai raison. Je suis folle de raison. Je suis folle de voir la raison. Je suis devenue folle à cause du monde, complètement foutu en l'air. Et moi aussi, je suis foutue en l'air. « Tu te crois fort ? J'ai pas peur de toi. D'aucun de vous. » J'ai assez de sang froid pour les flinguer. Tout les trois. Je prends sa main et la mets autour de ma gorge alors qu'il écarquille les yeux. Je rigole une deuxième fois, ils sont d'un pathétisme. « T'es même pas capable de tuer, trouillard à la con va. Va baiser ta mère après avoir tué ton père, connard. » Je repars en riant, ce sont les seules choses qui m'amusent. Je ne rentre pas chez moi, l'endroit où je suis née et où j'ai grandi m'importe peu, cela ne me construit pas. Alors je vais là-bas, je vais à la cave.
En un mot, la cave c'est... ailleurs. L'endroit où l'on enterre nos rêves maudits et où on se pique. Je finissais toujours par m'endormir comme un cadavre, seule, entre les vestiges d'une soirée posée mais intensive. Je suis si maigre que mes veines manquent d'exploser à chaque dose. Je savoure cette impression de braver la mort. Je la défi en appuyant sur la seringue, essaye de m'attraper cette fois, salope. Tout ces gens vivent dans la peur. La peur d'être attaqué par un junkie, d'en devenir un, d'en fréquenter un, nous sommes une race invisible sans limite. Nous avons un pouvoir insoupçonné et entre nos doses, nous voyons le monde sans cet éternel brouillard qui vous cache les yeux, ce brouillard que vous avez volontairement mis là.
Ma vie n'a rien d'un film palpitant. Je n'ai rien perdu, aucun proche ou pseudo petit-ami. Je n'ai pas d'attaches. Alors que vous vous noyez en famille dans votre long fleuve tranquille, je vogue sur les berges en riant, le sang qui pourrit dans mes veines. Les seuls moments où les eaux troubles de mon cerveau s'apaisaient étaient ceux où, encore jeune, je m'asseyais sur le tabouret recouvert de cuir et que mes doigts parcouraient l'ivoire blanc du vieux piano à queue qui se trouvait dans le jardin d'hiver de la maison. Personne n'était là, les gammes faisaient vibrer le verre et emplissait la pièce de mélancolie. La circulation londonienne disparaissait de mes tympans, je me sentais vide, toute ma rancœur envers le monde me peinait moins. Une porte claquait et je m'arrêtais. Mon père était revenu en pleine nuit, une de ces fois là. J'avais alors dix-sept ans, ma cigarette fumait dans la nuit noire, sous les reflets bleutés de la lune. J'étais comme figée, prise sur le fait, nous étions comme deux étrangers, pourtant il me sourit de son visage fatigué, il posa sa veste de costume sur le bois noir verni et se servi un verre de whisky, sec. « Joue. » Qu'importe. Je tirais une latte de nicotine, l'interrogeant du regard sur ce qu'il voulait entendre. « Improvise. » Je ne souris pas, ce n'était pas dans mes habitudes, tout comme de parler inutilement. J'étais prisonnière de mon insensibilité et baissai les yeux sur les touches avant de fermer les paupières, d'oublier le monde et laisser mes doigts trop maigres courir et danser avec le piano. C'était devenus nos moments, rares mais précieux dont l'instrument avait été seul témoin. La plupart du temps, c'était après ses longs week-end de réunion de famille – les Robinson aiment faire ça bien – il était une heure ou deux du matin et nous nous enfermions des dizaines de minutes entre les notes, la fumée, et les vapeurs d'alcool. Nous profitions du silence musical. Lorsque je vieillis, commençant à sortir, sans pour autant me sociabiliser, au dessus des autres dans mes pensées réfléchies, je me retirais peu avant l'aube, mon père se levait pour travailler et troquait son whisky contre un café. Il partait et je regagnais mon lit à baldaquin vert émeraude, en haut d'escalier en marbre en colimaçon, sur lesquels mes pieds nus se glaçaient à chaque pas. Une de ces nuits, où je ne pouvais dormir, j'avais lu la Bible, sans en croire un mot, avais repoussé le livre noir et parcouru ensuite chaque page de Paradise Lost. Milton me fit tenir debout jusqu'au déjeuner, que je ne pris, et posait de l'encre dans un cahier de partition, acheté en cachette. Le soir même, dans la suffisance du rien, j'avais écrit un livre arceau sur le monde. Je continue encore ces jours de solitude et d'écriture. C'est mon secret entre mes doses de poudre blanche. Je me sentirais presque humaine. Et je me rappelle que mon cœur de pierre brûle de haine pour la race humaine à la lueur d'un cierge. Je suis déjà condamnée aux enfers.
Et j'avais tout laissé, manuscrit, piano. Je ne voulais rien de ça, rien de ses objets, je ne voulais que mes pilules, de plus en plus. Alors je m'étais enfuie. Je m'étais libérée. Je voulais la liberté, putain, dans ce monde de chaînes. Je pourrais crier ma douleur, si simplement, j'en avais une. Je suis une sans-cœur, un monstre d'égoïsme affamé de destruction. Je créer les choses pour les détruire, on m'aurait mit le sort de l'humanité entre les mains, la moindre particule n'existerait plus. Je suis attirée par le rien, le néant, et mon cœur n'est pas un organe mais un trou noir béant qui n'attend que d'englober tout le bonheur du monde dans un seul but : qu'il disparaisse. Je déteste les gens heureux. Ce sont des gens stupides, qui n'ont rien compris, qui ne veulent rien comprendre.
Qu'on me demande qui je suis, j'ai arrêté d'être quelqu'un. Je ne suis plus qu'un objet, sans sentiment ni expression. Et cela me plait, je suis mon propre protocole, sans me soucier des vôtres. Qu'importe si l'on me dit que je ne respecte pas les mœurs de la société: je ne suis pas là pour vous lécher le cul.
« Bonnie ? » Je relève la tête, mes bras sont endoloris et je ne sens plus le reste de mes membres, assise sur le porche d'une maison emplie d'hypocrisie. Un besoin d'air frais, pour ne pas se laisser dépasser, ne pas quitter la terre. Je ne m'envolerais pas dans les étoiles, je creuserais ma propre tombe. La gueule de bois fait rage, je me sentirais presque humaine. Trop d'acides, des choses se déforment encore sous mon dont l'innocence a fuit, j'aurais presque déverser mes tripes sur leur repas si parfait. A la place de me remplir l'estomac, je me satisfais de la fumée acre d'une Camel emplissant mes poumons d'un bonheur factice et éphémère. Tant pis, j'en rallumerais une autre. Charly, un inconnu de ma classe me regarde perdu et j'entends sa voix pour la première fois. Son accent purement britannique me fait manquer mon Illinois natal. « C'est vrai que tu déménages ? » Je tire sur ma clope en haussant les épaules, mes parents me virent à cause d'une honnêteté insolente et crue qu'ils ne peuvent supporter. On me chasse pour avoir ouvert ma gueule et dit ce que je pense. Soit. A la place de cela, je réponds quelques mot si distingués que la reine devrait me baiser les pieds. « Tu voulais me sauter avant que je me casses ? » Il se marre, sans être mal à l'aise, et finit par me regarder en souriant. Je n'aime pas ça. Pas du tout. Ça me donne envie de donner des claques. « Non. Mais j'ai bien aimé ton bouquin, par contre. J'aurais pu l'écrire, en moins poétique, un genre de « allez tous vous faire foutre. », enfin, tu vois. » Totalement. Pourtant, je ne me déride pas, gardant cette inexpression maladive collée au visage. « Intéressant. » Il s'accroupit devant moi et ancre ses yeux dans les miens, je ne rougis pas comme une minette, je sais que je suis plus solide que ça. Et les autres ne m'intéressent pas. Ce ne sont que des insectes à écraser d'un coup de talon. « Qu'est-ce que tu caches derrière tout ça ? Qui t'es vraiment Mademoiselle Robinson ? » J'éclate d'un rire froid et me lève en écrasant ma cigarette de mon pied nu. Insensible. Même pas une once de chaleur. « Pas grand monde. Je vais me perdre et crever en utilisant mon argent sale au japon. Comprendre la vie, celle qui fait souffrir, la vraie et pas cette merde sans nom que nous vend les médias. Je vais détruire les gens avant de m'autodétruire et les faire souffrir de m'avoir connue. Je suis pas grand monde, mais je suis pas comme tout le monde. Ça me ferait mal. »
Dernière édition par Bonnie N. Robinson le Mer 21 Sep - 14:22, édité 8 fois
Syki Kumerlon
PSEUDO : SPACEPATER
Sujet: Re: MRS ROBINSON → ENFIN LIBRES D'ÊTRE LES MONSTRES QUE NOUS SOMMES Mar 20 Sep - 21:05
Ton début de fiche m'a enchanté, le petit texte là en dernier, il est juste divin. Tu va forcément t'entendre à merveille avec Madly pour qui je réserve un lien avec enthousiasme. Et puis bien sûr Frida qu'on prend toujours plaisir à voir -surtout que l'avatar choisie est chamant- Bienvenue sur STV
Invité
Sujet: Re: MRS ROBINSON → ENFIN LIBRES D'ÊTRE LES MONSTRES QUE NOUS SOMMES Mar 20 Sep - 21:18
oh, merci beaucoup ♥ J'avance lentement mais surement (a) (je dis ça, parce que souvent, je fais ma fiche avant de m'inscrire, mais j'ai pas résisté ----> )
Syki Kumerlon
PSEUDO : SPACEPATER
Sujet: Re: MRS ROBINSON → ENFIN LIBRES D'ÊTRE LES MONSTRES QUE NOUS SOMMES Mar 20 Sep - 21:25
mais ne résiste pas, si c'est pour nous présenter un tel personnage c'est un grand plaisir =D (mais d'où as tu trouvé le forum ? maintenant je suis curieuse =>)
Invité
Sujet: Re: MRS ROBINSON → ENFIN LIBRES D'ÊTRE LES MONSTRES QUE NOUS SOMMES Mar 20 Sep - 21:30
Oh, ça va me flatter et tu vas m'avoir sur le dos, faut pas me complimenter (le smiley n'a pas de rapport mais il est chou.)
C'est Likka qui me l'a envoyé sur msn, et patatrack, je suis là
Syki Kumerlon
PSEUDO : SPACEPATER
Sujet: Re: MRS ROBINSON → ENFIN LIBRES D'ÊTRE LES MONSTRES QUE NOUS SOMMES Mar 20 Sep - 21:33
toute ses infos me donnent encore plus l'envie de te complimenter (surtout que j'aime avoir des belles femmes sur le dos )
Invité
Sujet: Re: MRS ROBINSON → ENFIN LIBRES D'ÊTRE LES MONSTRES QUE NOUS SOMMES Mar 20 Sep - 21:44
oh, bah dans ce cas Enfin, le plus judicieux serait d'attendre que je finisse, parce que imagines que j'écris pas si bien tout du long --->
Indy K. Bernstein
PSEUDO : POLTERGEIST
Sujet: Re: MRS ROBINSON → ENFIN LIBRES D'ÊTRE LES MONSTRES QUE NOUS SOMMES Mar 20 Sep - 23:04
Bienvenue Contente de te voir parmi nous
Invité
Sujet: Re: MRS ROBINSON → ENFIN LIBRES D'ÊTRE LES MONSTRES QUE NOUS SOMMES Mar 20 Sep - 23:06
Oh, merci contente d'être là
Invité
Sujet: Re: MRS ROBINSON → ENFIN LIBRES D'ÊTRE LES MONSTRES QUE NOUS SOMMES Mar 20 Sep - 23:43
Bienvenue parmi nous ton gif et ta bannière sont sublime, et le prénom j'adore (:
Invité
Sujet: Re: MRS ROBINSON → ENFIN LIBRES D'ÊTRE LES MONSTRES QUE NOUS SOMMES Mar 20 Sep - 23:48
Merci beaucoup C'est bien la première fois que je vois Mitchell sur un rpg, et c'est une compliment
ERROR 404
PSEUDO : stv staff
Sujet: Re: MRS ROBINSON → ENFIN LIBRES D'ÊTRE LES MONSTRES QUE NOUS SOMMES Mar 20 Sep - 23:50
Ahah, notre nevada est la spécialiste pour prendre de inconnu non-mannequin mais terriblement plaisant à l'oeil (j'en veux encore, continue d'écrire ) (c'est Sady)
Invité
Sujet: Re: MRS ROBINSON → ENFIN LIBRES D'ÊTRE LES MONSTRES QUE NOUS SOMMES Mar 20 Sep - 23:56
Haha en effet je voyais des avatars de lui sur bazzart mais jamais en rp... je me suis que je devais ab-so-lu-ment remédier à cela ma foi XD Merci Madl' de cela, je sais pas si c'est gentil ou pas ( parce qu'on saitr toute les deux d'où il vient le cameron) mais merci :face:
Invité
Sujet: Re: MRS ROBINSON → ENFIN LIBRES D'ÊTRE LES MONSTRES QUE NOUS SOMMES Mer 21 Sep - 0:01
j'ai déjà pris une mannequin inconnue au bataillon, mais non-mannequin, jamais ---> J'trouve pas les célébrités "classiques" filles belles et je sais pas jouer les garçons alors héhé (a)
Je continuerais ma fiche demain, probablement ♥ (sinon, mes phrases auront pas de sens là (a))
ERROR 404
PSEUDO : stv staff
Sujet: Re: MRS ROBINSON → ENFIN LIBRES D'ÊTRE LES MONSTRES QUE NOUS SOMMES Mer 21 Sep - 0:03
Vivement demain alors (puis nom d'un chien la bannière que tu viens d'ajouter est tout bonnement sublime)
Invité
Sujet: Re: MRS ROBINSON → ENFIN LIBRES D'ÊTRE LES MONSTRES QUE NOUS SOMMES Mer 21 Sep - 0:07
awon j'espère que ça te plaira ce que je ferais demain ( n'est-ce pas ? J'adore les couleurs sur celle-là )
Siam O. Sainsburry
PSEUDO : para bellum
Sujet: Re: MRS ROBINSON → ENFIN LIBRES D'ÊTRE LES MONSTRES QUE NOUS SOMMES Mer 21 Sep - 9:00
Pour faire dans l'originalité je vais m'extasier devant Frida et ton texte Mais welcome sinon!
Invité
Sujet: Re: MRS ROBINSON → ENFIN LIBRES D'ÊTRE LES MONSTRES QUE NOUS SOMMES Mer 21 Sep - 13:33
Haha, merci beaucoup ---> ♥
Likka Kļaviņš
PSEUDO : soft parade.
Sujet: Re: MRS ROBINSON → ENFIN LIBRES D'ÊTRE LES MONSTRES QUE NOUS SOMMES Mer 21 Sep - 16:24
Rah, je suis contente de te voir ici. Puis texte magnifique, comme toujours en fait.
Invité
Sujet: Re: MRS ROBINSON → ENFIN LIBRES D'ÊTRE LES MONSTRES QUE NOUS SOMMES Mer 21 Sep - 16:33
héhé, j'allais pas te laisser te débarrasser de moi (a) Merci ♥
FICHE TERMINÉE ♥
ERROR 404
PSEUDO : stv staff
Sujet: Re: MRS ROBINSON → ENFIN LIBRES D'ÊTRE LES MONSTRES QUE NOUS SOMMES Mer 21 Sep - 16:38
je suis vraiment sous le charme de ton personnage et c'est avec un plaisir immense que je te valide. Cette petite demoiselle a de l'avenir, j'en suis certaine. Tu iras chez les Pinky ça aussi ça me parait évident, UP2 puisque l'illégale tu ne fraye pas encore vraiment avec, sans en être si loin que ça. Puis, non vraiment, bravo
ps: vu que j'suis pas sur le bon compte, à voir si mighty passe avant moi pour tout déplacer et te mettre dans ton groupe, mais tu peux poster comme une validée t'inquiète pas
Dead Pixels
Sujet: Re: MRS ROBINSON → ENFIN LIBRES D'ÊTRE LES MONSTRES QUE NOUS SOMMES Mer 21 Sep - 16:49
Comme il se doit, te voilà en couleur. Bienvenue, au passage. J'ai également lu ton histoire, mais Sad' m'a devancé pour le message. Bonnie, j'la trouve assez simple dans l'histoire. Mais vraiment vraiment réaliste. J'dis simple parce qu'elle n'a pas vécu un évènement super marquant, qui la détruit ou qui a fait qu'elle est devenu comme elle est désormais. Et encore, sa famille n'est pas horrible. C'est juste elle qui n'a pas envie d'être heureuse. je souligne aussi le merveilleux choix d'avatar, j'trouve que Frida se colle bien dans un role désinvolte, bien que peu de gens font des personnages comme ça avec elle.
Invité
Sujet: Re: MRS ROBINSON → ENFIN LIBRES D'ÊTRE LES MONSTRES QUE NOUS SOMMES Mer 21 Sep - 16:53
Merci infiniment vous deux ♥
Oui, c'est par choix qu'elle n'a rien vécu, certaines personnes n'ont pas besoin de grands problèmes et mélodrames pour ne pas avoir foi dans le bonheur et la vie, alors j'aime bien en faire des comme ça (a) Et puis ça laisse plus de place pour le reste au niveau des liens, aussi , alors je fais jamais d'histoire précise à fond --->
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Sujet: Re: MRS ROBINSON → ENFIN LIBRES D'ÊTRE LES MONSTRES QUE NOUS SOMMES
MRS ROBINSON → ENFIN LIBRES D'ÊTRE LES MONSTRES QUE NOUS SOMMES